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== De la continuité au continuum ==
Nous désignerons par '''continuum''' tout enchainement d'événements liés par un ''pont logique'' 0-hypercomplexe de consistance non nulle, c'est-à-dire ne comportant pas de ''trous'' dans l'énumération des parties, décrivant une concordance entre l'événement rencontré et l'événement attendu. Si un tel continuum existe (par ex <math>\mathbb {N}</math>), doit aussi exister un non-continuum sémantiquement axé ne présentant aucune concordance logique (par ex <math>\mathbb {R}</math>). Et alors, entre ces deux horizons connectés, nous devons avoir un état intermédiaire qui soit (ni-l'un ; ni-l'autre) ou (soit-l'un ; soit-l'autre) : <math>\mathbb {Q}</math>. C'est la raison pour laquelle nous associons un ensemble à un volume muni d'une unité permettant de « mesurer » le remplissage à partir d'un état quelconque, de le numéroter, de suivre l’enchaînement (raccordement et consolidation).
 
 
=== Séquençage ===
Nous pouvons travailler « à l'intérieur » d'un continuum (<math>\mathbb {Cont}</math>) considéré comme un « bloc » sans ''trous'' puisque les horizons extrêmes sont <u>atteints</u>. Ceci va nous permettre de distinguer un '''continuum fini''' comportant un nombre déterminé de ''maillons'' reliés par des ''ponts logiques'' 0-hypercomplexes (des 0-ponts pour abréger) et encadré par des ''canaux de raccordement'' logiquement contraires (par exemple ''cinq''), d'un '''continuum infini fini''' comportant un nombre déterminé fini de ces maillons (par exemple n). Nous avons alors la certitude que l'ensemble des parties intermédiaires N'EST PAS infini non-fini. En effet :<br><br>
<center>''∀[a , b] ∈ <math>\mathbb {Cont}</math> : [a , b] = {a , g , b} avec a, g, b sont 0-ponts<br>et donc ∀x ∈ [a , b] on a a ≤ x ≤ b et x N'EST PAS infiniment accroissant''</center><br>
<center>{{Encadre|contenu=On appelle '''séquençage''' d'un continuum tout ''découpage'' en parties ne créant pas de ''trous''}}</center><br>
 
On vérifie qu'un séquençage est un ensemble de parties, dénombrable, numérotable, raccordable et consolidable, continu et dérivable en tous points intermédiaires. Le nombre de ''séquences'' est fini. Chaque ''maillon'' peut ainsi avoir une taille quelconque (un nombre quelconque d'unités structuratives) sans que le total soit supérieur au nombre maximal du continuum. Par exemple on peut séquencer un ''segment'', le mot ''quelconque'', un ''plan'', une palette de ''boites de conserve'', ...
 
Le séquençage se distingue du fractionnement par le fait que les « morceaux » n'ont pas nécessairement la même taille (unitaire), mais sont des multiples de cette taille unitaire structurative.
 
 
=== Interruption séquentielle ===
 
== Unité de charge ==