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Autrement dit : La plus petite partie séquentielle d'un continuum est 2-hypercomplexe logiquement articulée autour d'un centre de gravité telle que l'on puisse identifier une partie '''AVANT''', une partie '''APRÈS''' et une partie '''PENDANT''' (= (ni-avant ; ni-après) ou (soit-avant ; soit-après)). Ce découpage comporte un ''pivot'', un ''point stationnaire'' et un ''point de basculement''.
 
 
===== Tissu séquentiel =====
Si on désigne par '''tissu séquentiel''' l'organisation d'une séquence quelconque d'un continuum formant partition, c'est-à-dire reproduisant le continuum sans modification de la numérotation (parties assemblées d'un puzzle), alors nous constatons que <u>le tissu réalisé ne comporte aucun trou</u>. Soit '''aucune partie infinie non-finie'''.<br><br>
<center>''Soit <math>T</math> un tissu de <math>\mathbb {Cont}</math>, alors T = ∑ [a<sub>i</sub> , b<sub>i</sub>], i étant le nombre de parties séquentielles''</center><br>
 
Ce qui permet d'affirmer : <br><br>
<center>''Dans un continuum, il est impossible d'extraire une partie de la forme ]a , b] , ]a , b[ ou [a , b[''</center><br>
 
En effet, une telle partie serait ''infiniment accroissable'', donc ''infinie non-finie'', et le tissu comporterait un trou. Cette remarque implique qu'il est impossible de séparer une « onde » des horizons entre lesquels elle se propage. Et encore que, s'il existe un ''trou'' dans un continuum, alors il existe un ''canal de raccordement'' et un ''pont logique'' entre deux parties séqentielles. Par conséquent, il existe un « chemin » imaginaire sur Δ' tel que le pont permette un couplage entre ces parties.<br><br>
<center>''∀ [a , b] ⊂ <math>\mathbb {Cont}</math> [a] et [b] sont des 0-ponts''</center><br>
 
Donc liés par un hypercomplexe imaginaire sur Δ'. Ce que nous pouvons constater dans le carré SATOR.
 
== Unité de charge ==