« Recherche:L'infini variable/L'infini fini » : différence entre les versions

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<center>''[a , b] = [a , g] ∪ [g] ∪ [g , b] = [a , g<sub>—</sub>] ∪ [g<sub>—</sub> , g<sub>+</sub>] ∪ [g<sub>+</sub> , b] = [a , g<sub>—</sub>] ∪ {g<sub>—</sub> , g<sub>0</sub> , g<sub>+</sub>} ∪ [g<sub>+</sub> , b]''</center><br>
 
Et nous nous concentrerons sur le groupe central (le 0-pont). [a , b] étant un continuum, la trajectoire est continue et dérivable en tous points, et donc aussi en g<sub>0</sub>. C'est en ce point que peut intervenir l'interruption.<br><br>
<center>''On appelle '''coliaisons''' d'un <u>pont logique</u> les liaisons internes [g<sub>—</sub> ← g<sub>0</sub>[ et ]g<sub>0</sub> → g<sub>+</sub>]''</center><br>
 
Le rôle de ces liaisons dont on vérifiera la nature logique, est de maintenir la continuité, la valeur iota et l'angle d'incidence sur le parcours de la trajectoire (resp. l'antitrajectoire). Elles n'apparaissent « séparées » qu'en dehors de Δ sur lequel elles sont pratiquement '''confondues''' (définition du 0-hypercomplexe). Seule la consistance résiduelle non nulle et inférieure à 1 assure le transit dans un sens ou dans l'autre. Nous en déduirons que :
 
[g<sub>—</sub>] et [g<sub>+</sub>] sont sur Δ' à la distance y<sub>6</sub> de [g<sub>0</sub>] ; que [g<sub>0</sub>] qui est (ni-l'un ; ni-l'autre) ou (soit-l'un ; soit-l'autre) se situe entre les deux et appartient également à Δ de telle sorte qu'il détermine la réalité de l'espace et la concordance des temps objectifs et subjectifs. Nous pouvons alors définir un repère sur Δ' par analogie avec celui de Δ. Ce qui revient, en quelque sorte à « garder les pieds sur terre ». Sans coliaisons à espace constant, un coureur ne pourrait s'élancer sur la piste ou créerait une infinité de « faux départs » : 3 ... 2 ... 1 ... partez.
 
 
=== Repère spatio-temporel ===
 
== Unité de charge ==