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C'est la superposition de ces deux repères qui génère la réalité grâce aux coliaisons du pont logique. Le TGV qui relie Lyon à Paris est objectivement décrit par une trajectoire entre ces deux villes ; mais subjectivement vécu sur tout le parcours. Le verrouillage des deux repères peut se constater <u>en tous points intermédiaires</u>.
 
 
=== Repérage séquentiel ===
Soit [a , b] un ''continuum'' (éventuellement infini). Un mobile parcourant l'intervalle entre les horizons suit une trajectoire ''continue'' (a et b sont <u>atteints</u>). Défini comme ensemble-objet, il peut être considéré globalement comme 1_hypercomplexe (matériel, donc). Et puisqu'il est fini, il est séquençable en p morceaux. En tant que volume associé, il comporte au moins 2 unités élémentaires logiquement opposables et un centre de gravité :<br><br>
<center>''[a , b] = {a , g , b} = [a , g] ∪ [g] ∪ [g , b]''</center><br>
 
dans laquelle [a , g] = ¬[g , b] ; [g , b] = ¬[a , g] et [g] = (ni-l'un ; ni-l'autre) ∨ (soit-l'un ; soit-l'autre). Ces 3 morceaux forment la plus petite séquence complète, raccordée et consolidée assurant la continuité. Cette séquence est une '''image''' du continuum sur le repère quantique. C'est-à-dire que [a], [g] et [b] sont marqués sur Δ aux abscisses δ<sub>0</sub>, δ<sub>6</sub> et δ<sub>12</sub> et sur Δ' aux abscisses y<sub>0</sub>, y<sub>6</sub> et y<sub>12</sub>.
 
Nous avons 3 coliaisons assurant le raccordement en a, g, b du contour et de l'anticontour.
 
Or, les 3 morceaux de la séquence sont des ''continuums'' (éventuellement infinis). La trajectoire d'un mobile entre les horizons est ''continue'' et infiniment fractionnable. En tous points, la valeur iota et l'angle d'incidence sont les mêmes. Nous pouvons dissocier chaque morceau selon :<br><br>
<center>''[a , g] = [a] ∪ ∑]a<sub>j</sub> , g<sub>j</sub>[ ∪ [g]''</center><br>
 
Le morceau intermédiaire est globalement '''infini non fini''', soit infiniment accroissant. Or, nous avons démontré que ]—∞ , +∞[ ⊂ [—n , +n], ce qui permet de borner les trous sur Δ grâce au ''canal de raccordement''. En conséquence, nous pouvons décrire ce morceau intermédiaire dans un repère classique fixé au repère quantique en chaque horizon et centre de gravité et projeter Δ et Δ' sur les axes réels (espace) et imaginaires (temps). Nous pouvons ainsi définir une '''transformation''' entre un repère quantique et un repère classique telle que les trajectoires soient <u>isomorphes</u> dans l'espace et dans le temps. Cette transformation, purement imaginaire, laisse globalement l'espace invariant de telle sorte que l'on puisse choisir (soit-l'une ; soit-l'autre) ce qui rend la description mathématique idéalement (ni-l'une ; ni-l'autre).
 
 
=== Vitesse et mobilité ===
 
 
== Applications pratiques ==
 
 
=== Carré SATOR ===
Identifier et définir la transformation entre espace quantique et espace classique qui exprime l'invariance globale.
 
== Unité de charge ==