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Les deux états sémantiques issus de la division sont dits '''états contradictoires d'une individualité'''. Et nous avons deux espaces distincts « de part et d'autre de ''g'' » qui sont des continuums raccordés, donc continus, infinis fini de bornes —n/2 et +n/2, de taille 1, donc fragmentables en 12 états quantiques.
=== Intégration sémantique ===
Jusqu'ici <u>ABS</u> est un ensemble « spirituel », une notion (not), certes élaborée (de consistance proche de 1) mais non utilisable sur le plan « matériel ». En effet, tant que ''g'' est 0-hypercomplexe, les deux parties restent confondues en une seule, donc hors du monde sémantique. Autrement dit ¬<u>ABS</u> n'est pas singularisé. Il reste dans un flou artistique nébuleux au même titre que <u>ABS</u> lui-même. Pour y appliquer le développement de notre étude et ainsi définir deux horizons (notre postulat initial), il faut définir ¬<u>ABS</u>.
On pose <u>REL</u> = ¬<u>ABS</u> sur la valeur sémantique que ce qui est « relatif » n'est pas « absolu », et on définit une trajectoire « intellectuelle » entre eux (intelligente). Étant hypercomplexe, cette trajectoire est à double sens. Partant de <u>ABS</u> on atteint <u>REL</u> par dissociation (relativisant) ; et, partant de <u>REL</u> on atteint <u>ABS</u> par regroupement (synthétisant). La trajectoire intellectuelle constitue le ''développement'' (dlp). Ce dernier, contenu entre deux horizons, est infini fini, donc séquençable. Il prend le nom (habillage) de '''raisonnement''' (rsn) et suit un ''axe causal''.br><br>
<center>''Tout artefact suit un axe causal entre une notion et un concept''</center><br>
Nous venons de « créer » un ensemble absolu, par raisonnement causal entre une notion purement spirituelle exprimée par des <u>symboles</u> et une définition matérielle équivalente au concept. Nous pouvons, dès lors « dissocier » le groupe dual (<u>ABS</u> , <u>REL</u>) sur proposition sémantique grâce à l'équivalence d'espaces, sans perdre de vue que les deux mondes créés ne font qu'un.<br><br>
<center>''<u>ABS</u> = [<u>ABS</u> , <rsn> , <u>REL</u>] = [<u>ABS</u>] ∪ ]<u>ABS</u> , <rsn> , <u>REL</u>[ ∪ [<u>REL</u>]''</center><br>
Expression dans laquelle la « taille » du raisonnement ne peut être nulle. En quel cas les deux parties seraient confondues et <u>ABS</u> serait unique. Il constitue donc un « centre de gravité » intellectuel , ni-spirituel, ni-matériel ou soit (l'un ; soit-l'autre). Le plus petit raisonnement est de taille 1. Il existe alors un (art) intelligent contenant le couple (<u>ABS</u> , <u>REL</u>) et incluant les valeurs « absolues » 0 et ∞ et se matérialisant par [—∞ , +∞] : <math>\R</math> équivalent à [—n , +n] : <math>\N</math>.
On vérifie que <math>\N</math> = 2n = <u>ABS</u>.
=== le Christos ===
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