« Colorimétrie/Lois de Grassmann » : différence entre les versions
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# Dans un mélange additif de lumières, le résultat évolue graduellement si on modifie graduellement l'intensité d'une ou plusieurs lumières.
}}
On retrouve fréquemment ces règles énoncées par des formules mathématiques comme indiquées dans la suite de ce chapitre<ref name="biblio02">{{ouvrage|langue=fr |prénom1=Jacques |nom1=Gaudin |lien auteur1= |titre=Colorimétrie appliquée à la vidéo |sous-titre= |numéro d'édition= |éditeur=Chalagam |lien éditeur= |lieu=Paris |jour= |mois= |année=2006 |volume= |tome= |pages totales= |passage=71-72 |isbn=2-10-049515-1 |lire en ligne= |consulté le= }}</ref>. Les notations utilisées diffèrent considérablement selon les auteurs. Les lois de Grassman, sous cette forme, sont applicables à tous les systèmes colorimétriques linéaires<ref group="N">Quelques exemples de systèmes dits linéaires : [[
== Première loi : trichromie ou trivariance visuelle
{{Cadre définition
|titre = Principe de la trivariance visuelle
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}}
== Deuxième loi : additivité
{{Cadre définition
|titre = Principe d'additivité
Ligne 60 :
}}
== Troisième loi : continuité ou dilatation
{{Cadre définition
|titre = Principe
|contenu =
Si une lumière colorée baisse ou augmente en intensité, il faut, pour l'égaliser, modifier les trois primaires dans les mêmes proportions<ref name="biblio02" />.
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