« Recherche:L'énigme de Fermat passée au crible » : différence entre les versions

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Bof. Ca sert à rien
m →‎Bilan de la recherche : laisser ça ?
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2) C<sup>Vbum,</sup> . L’exposant n’est pas écrit selon la règle habituelle.
 
3) Une première version avec un  ‘’detexi’’ différent (‘’de'''''t'''''exi’’).
 
4) Une deuxième version avec un  ‘’detexi’’ différent (‘’detex'''s'''’’).
4) Une deuxième, idem.
 
5) ‘’detexi’’ ne signifie pas ‘’j’ai trouvé’’ mais ‘’j’ai (assurément) révélé’’, ‘’j’ai mis‘’mis à nu’’, ‘’j’ai mis‘’mis à découvert’’.
 
6) ‘’detexs’’se‘’detexs’’ se traduit, exactement, par ‘’tu tisses complètement’’. Or l’expression ‘’tisser complètement’’ avait déjà été trouvée grâce à un autre codage (plus complexe) découvert dans l’observation par Roland Franquart. Les deux occurrences se renforcent mutuellement.
 
7) L’adverbe ‘’sane’’ (assurément), par la façon inhabituelle dont il est placé, s’applique à la fois à ‘’detexi ‘’ (‘’assurément révélé),
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Nous dénombrons au moins 27 arguments en faveur de l'existence d'une preuve par Fermat de son grand théorème et il est possible que nous en ayons omis. Il convient d'ailleurs d'y ajouter ceux, plus complexes (désolé...) développés sur le site de Roland Franquart.) D'un autre côté aucun des arguments avancés contre Fermat n'est pour nous recevable. Cette disproportion est d'autant plus significative que nous avons montré combien le principal argument de ses détracteurs – une interprétation de la lettre à Carcavi sur les nombres de Fermat selon laquelle il se serait trompé «une première fois» (''sic'') – était non seulement illusoire mais au contraire, en analysant judicieusement le texte de Fermat nous trouvons un argument vital supplémentaire en faveur de notre thèse. Nous pourrions même dire que l'acharnement compréhensible avec les détracteurs ont tout tenté pour discréditer Fermat constitue un autre argument de taille, mais soyons magnanimes pour une fois dans cette lutte contre l'ignorance envers des mathématiciens tellement atteints dans leur amour propre et si profondément déçus qui ont cherché sans la trouver la preuve de Fermat pendant 350 ans, jusqu'au jour où Wiles livra une démonstration d'une complexité monstrueuse.<br>
Étonnamment le lendemain la terre continuait de tourner.
 
Les joies qu’on éprouve en mettant au jour petit à petit la pensée de Fermat peuvent difficilement se transmettre. Tentons de faire une analogie avec une expérience de pensée que toute personne peut tenter si elle possède quelques notions de physique et une bonne imagination. Nous savons qu’un électron est à la fois onde et «particule», particule-énergie donc. Partons du postulat, pas du tout farfelu, que les ‘’particules élémentaires’’ elles-mêmes, dans l’infinitésimal, ne sont pas réellement de la matière, de la ‘’matière solide’’, mais que ''toute'' la matière est constituée uniquement d’énergie vibratoire.
 
Je peux donc penser le monde comme immatériel. En somme, je suis dans un rêve, mais un rêve éveillé. Si me trouvant dans la nature en train d’observer un très beau paysage, conscient d'être dans ce “rêve éveillé”, et en même temps voyant de mes yeux l’image du monde ''(avec ses couleurs et ses formes, que je perçois grâce à mon sens de la vue, image dont je sais qu'elle n'est qu'une illusion physique produite par des phénomènes physiques [fréquences des différentes couleurs] et chimiques [yeux] )'', je peux ressentir une sensation étrange et émouvante, qui peut être une joie profonde devant ce fabuleux spectacle qu’est l’Univers : « Ce magnifique paysage n'existe pas vraiment ''et pourtant il est là devant mes yeux. » ''
 
== Fermat et la publication ==
S'il a fait connaître par courrier quelques uns de ses travaux de géométrie (des petits Traités), il n'a jamais rien publié à son nom. Fin 1652, une épidémie de peste sévit dans le Sud-Est de la France. Comme beaucoup Fermat est atteint mais il en réchappe. En 1659, encore affaibli par la maladie qui l'a frappé, il tente de faire publier ses travaux. Il sollicite pour cela la contribution active de Carcavi et de Pascal, à leur charge de tout mettre en ordre dans ses écrits et de trouver un éditeur. Il leur précise que l’ouvrage ne devra pas porter pas son nom :