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On notera que ''« dans sa jeunesse André WEIL espérait la démontrer [la conjecture de Fermat] avant la date du centenaire et la publier en 1959. Il a éclaté de rire le jour où, après la publication de ses Œuvres complètes, je lui ait fait observer que s’il en trouvait finalement une démonstration en quinze pages, Springer-Verlag serait obligé d’ajouter un très mince volume à son édition. »'' (Roger Godement, ''Analyse mathématique IV'', Ed. Springer-Verlag, 2003, p 281, note 4). Pour mémoire, il a suffi de deux pages à Fermat, ou plutôt trois lignes et demie. Moralité : le sourire est plus spirituel que le rire. ''[https://blog.psychotherapie-integrative.com/le-sourire-baiser-de-l-ame/ « Il est vrai que le regard intérieur ne fait malheureusement pas partie de l’épistémologie scientifique actuelle »].'' André Weil fut l'un des mathématiciens qui par leurs travaux ont considérablement aidé celui de Wiles. Il ne pouvait qu’être fier d’avoir contribué à la preuve trouvée en 1994 par ce dernier. De là à sous-estimer les capacités de Fermat il n'y a qu'un pas. L'historien Jean Itard quant à lui s’en était pris à Fermat en 1950 (année de ma naissance {{Sourire}}) avec cette affirmation péremptoire et cassante : ''« Jamais Fermat n’a été en possession d’une preuve de son Grand Théorème ».'' Bonjour l'ambiance.
Citons Évariste Galois (1811-1832) :<br>
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