« Recherche:Grand Théorème de Fermat/La légende urbaine » : différence entre les versions

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== Pour l'honneur de la caste ==
Nous avons mentionné cette étude à quelques rares scientifiques réputés, 5 ou 6 peut-être, depuis 2009, parmi tous ceux, innombrables, que nous estimons grandement. Toute pudeur écartée j’avoue qu’il m’est arrivé – il y a quand même un bout de temps – d’espérer une réponse de l’un d’entre eux, ne serait-ce qu’un simple ‘’merci de votre courrier’’. J’allais dire que je n’en avais jamais reçu aucune, en fait j’en ai eu deux Une prermièrepremière réponse en 2018 ou 2019 était très courtcourte (que voulez-vous on est ‘’un Grand’’ ou on ne l’est pas). La voici : ''« Ce qu’il faudrait, c’est un nouvel outil ».'' C’était pourtant exactement ce que le découvreur de l'explication de Fermat, Roland Franquart, lui fournissait : un nouvel outil, l'usage du ‘’triangle de Pascal’’, grâce à un minutieux et formidable travail de décryptage (même si son texte comporte 2 petites erreurs qui ne sont même pas mathématiques et ne concernent ni la note ni le théorème). Seulement voilà, quand on est un scientifique réputé – ce mathématicien ne m’en voudra pas si je dis qu’il n’est pourtant pas si renommé – on a les sourcils chatouilleux. C’était exactement la réponse qu’il ne fallait pas me faire (notre travail, à Roland Franquart et à moi-même, l’avait peut-être irrité pour une raison particulière que je tairai par discrétion). Toujours est-il que grâce à sa drôle de réponse je repris mes recherches de plus belle.
 
Une autre réponse, indirecte — je ne lui avais rien demandé, je connais trop bien ce genre de personne — fut cette perle magnifique du mathématicien et (excellent) joueur de go français Pierre Colmez, titulaire du prix Fermat 2005{{Clin}}, qui tenta ce ''coup de go'' de débutant, naïf et désastreux, comme cela peut arriver chez les plus grands champions : ''« Ce qui est sûr, c'est que toutes les démonstrations auxquelles Fermat aurai<u>'''en'''t</u> pu penser à son époque se cassent la figure. »'' C'est le commentaire le plus ubuesque que l'on puisse trouver sur le théorème. J'ai laissé la faute d'orthographe, révélatrice d'une propension à l'exagération chez les détracteurscontempteurs, et à prétendre détenir, et eux seuls, la vérité. Comment peuvent-ils connaître tout le savoir de Fermat, génie universel encensé par Pascal, autre génie ? Par excès de confiance en eux-mêmes ils veulent croire que « le plus grand homme du monde », qui s'était attaché avec une passion quasi métaphysique, à sonder les plus grands mystères des nombres, qui a initié les plus grands progrès en théorie des nombres, était doté d'un discernement inférieur au leur. Dans quel aveuglement peuvent être entraînés certains scientifiques confortés par la reconnaissance académique...
 
[[w:Christophe Breuil|Christophe Breuil]], « mathématicien spécialisé dans la géométrie algébrique et la théorie des nombres » (Wikipédia), nous livre quelques réflexions qui aident à comprendre la psychologie du savant :