Thérapie brève DMS/Sortir du tabagisme ?

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Sortir du tabagisme ?
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Chapitre no 1
Leçon : Thérapie brève DMS
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Comment sortir du tabagisme ?

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La méthode DMS vous propose une technique mentaliste pour vous libérer du tabagisme

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Cesser de fumer peut paraître une chose difficile pour de nombreuses personnes et nous constatons de fréquentes rechutes autour de nous, tout simplement à cause de l’ignorance des mécanismes mentaux qui interviennent dans cette pratique. Une ignorance qui est entretenue par l’industrie pharmaceutique pour protéger ses immenses profits.

Consommer du tabac est nuisible à la santé, encore que cette nuisance varie selon le mode de consommation, selon la qualité du tabac consommé, et selon les personnes. Toute consommation ou inhalation d’un produit de combustion, et non seulement la fumée de la combustion du tabac, peut être cancérigène. Peut être, car ce sont seulement des interprétations de statistiques, que la médecine ignore les mécanismes biologiques qui président au cancer, et que nous ne sommes pas génétiquement égaux face aux maladies, certaines personnes étant sujettes au cancer, et d’autres pas du tout. Les campagnes anti-tabac sont infantiles et abusives, ce qui explique en grande partie leur échec. Cependant, et quoi qu’on puisse reprocher aux fanatiques anti-tabac dont les motivations ne sont pas très claires, la tabagisme reste plus ou moins nuisible à la santé. Il y a donc lieu d’abandonner cette pratique, raison pour laquelle le DMS propose une technique efficace pour y parvenir. Mais d’abord, je vais vous raconter mon aventure personnelle avec le tabac.

Mon tabagisme, premières conclusions

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J’ai commencé à fumer à 15 ans dans le train, au retour d’un camp de vacances, entraîné par les copains d’un été qui avaient eu la mauvaise idée de nous faire acheter toutes sortes de marques de cigarettes différentes et de nous les échanger. On a donc fumaillé toute la nuit, et au petit matin en arrivant en gare de Lyon, j’ai donné le reste de mon paquet de Gauloise sans filtre à l’un d’eux. L’affaire aurait dû en rester là, mais ma mère a bien senti l’odeur du tabac sur mes vêtements, et quelques mois plus tard a eu à son tour la mauvaise idée de m’offrir un paquet de cigarette, pour mon anniversaire. Et voilà, c’était parti pour 15 ans.

J’ai cessé de fumer deux fois dans ma vie, la première fois en fin d’année 1977, et la seconde fois il y a un peu plus d’un mois, le 23 janvier 2019. La première fois, c’était pour satisfaire un vœu de purification spirituelle lors d’une période sabbatique de cinq ans, dans la foulée j’avais aussi cessé de consommer du café et de l’alcool. Ce ne fut alors pas si facile et j’ai dû échouer deux fois avant d’y parvenir. J’ai repris, pour gagner ma vie, mon métier d’ingénieur conseil dans un bureau d’études en Juillet 1981. Ce fut un vrai calvaire d’abandonner mes chères études personnelles, et je fus bientôt accablé d’une spasmophilie des plus douloureuse : colite, hémorroïdes, palpitations cardiaques, et le pire, des crises de tétanie ! Ce sont des crampes musculaires généralisées, qui peuvent durer des heures ! Donc, la totale ! Tous les médicaments que les médecins m’ont prescrits, ce sont avérés totalement inefficace. En mars 1982, je n’en pouvais vraiment plus ! Je me suis dit : « Quitte à crever, payons-nous un dernier petit plaisir : trois clopes et deux bières », ce que je fis. A ma grande surprise, tous les symptômes de ma spasmophilie ont disparu au bout de quelques heures, là où toute la médecine s’était révélée inopérante. C’était les clopes, le tabac qui avait fait son effet curatif médical. Trop content d’être sauvé de cette façon, je me suis bien gardé de cesser de fumer jusqu’à peu de temps.

Ce que j’ai retenu de cette expérience, c’est que la nicotine était un médicament précieux, un anxiolytique et un antidépresseur, l’un des meilleurs psychotrope qui existe. On peut donc se demander pourquoi cette molécule est présentée comme toxique et l’une des plus dangereuse au monde, à l’égal de l’héroïne et des opiacés ?

En septembre 2015, suite à mes pratiques mentalistes, je suis devenu ataraxique. Donc, félicité permanente, libérée de tout stress. J’ai un peu tardé à abandonner la pipe et les petits cigares doux, peut-être parce que je ne risque pas de développer un cancer. Mais mon corps a fini par insister par de la rhinite et un peu de bronchite : “Tu devrais t’arrêter de fumer, mec, tu n’en as plus besoin depuis que tu es ataraxique”. Et puis dans ma démarche actuelle de transmission, je rencontre davantage de gens, que la fumée peut indisposer. Donc, j’ai fini par me résoudre à abandonner le tabac à la fin du mois de janvier 2019. Ce fut beaucoup plus facile qu’en 1977, et comme je suis mentaliste, je dispose de tous les outils mentaux pour analyser et résoudre ce qui se passe, ce qui me permet à présent de proposer cette méthode pour vous libérer du tabagisme.

Analyse préalable

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Les gens ne fument pas pour le plaisir d’attraper un cancer, mais pour une double raison : les bienfaits que leur apporte la nicotine et l’effet du choc, le “shoot” de la bouffée de l’inhalation de la fumée de combustion. Il faut savoir que la nicotine augmente la glycémie, libère de l’adrénaline, stimule la formation et la libération de neurotransmetteurs, dopamine, sérotonine et noradrénaline, dans le cerveau, et que la bouffée crée une micro-hypnose, une coupure de détente dans la conscience du fumeur. Si on ne nous le dit pas, c’est que la nicotine est une molécule non brevetable, bon marché, qui ne présente aucun intérêt pour l’industrie pharmaceutique, qui préfère vendre des molécules de synthèse brevetables, même si elles présentent des effets secondaires dangereux pour la santé. Or la connaissance des mécanismes mentaux qu’entraîne l’action de fumer est importante pour celui qui veut s’en passer, car savoir contre quoi il lutte favorise le succès de son objectif.

Au contraire du tabac, la nicotine n’est pas cancérigène, par contre tous les produits de combustion le sont, au même titre que les fumées et les gaz d’échappement des moteurs à essence. Pour le professeur Robert Molimard spécialiste et pionnier de la tabacologie en France, il n’est pas prouvé que la nicotine soit addictive comme de nombreuses études qu’il considère biaisées le prétendent. Personnellement, je pense que l’on ne sait pas bien interpréter le phénomène de dépendance. Il faudrait parler de la dépendance à la dopamine, médiateur du plaisir, surnommée la molécule du bonheur, que le cerveau qui la reconnait, adore, et en redemande, surtout quand il en manque. Il en est de même pour les deux autre monoamines, la sérotonine et la noradrénaline.

La diabolisation de la nicotine par les lobbys de l’industrie pharmaceutique qui sont parvenus à la faire classer par l’OMS comme la septième substance la plus nuisible à la santé humaine, par confusion avec le tabac, accule donc aussi bien les non-fumeurs, que ceux qui cessent de fumer et tous ceux qui pourrait en avoir besoin, à la dépendance des psychotropes proposés par l’industrie pharmaceutique, avec tous leurs effets négatifs que l’on oublie pour trouver le sommeil et réduire l’anxiété, alors que l’on pourrait fabriquer des médicaments à base de nicotine qui rempliraient mieux cette fonction. D’autant plus que ces médicaments existent, qu’ils sont en vente libre en pharmacie, que chacun peut s’en procurer, mais que les médecins n’ont pas le droit de les prescrire, sauf pour faciliter le sevrage tabagique. La nicotine pure, n’est donc pas aussi dangereuse qu’on voudrait nous le faire croire.

Trois questions, un technique

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Premier questionnement, il faut savoir pourquoi vous désirez cesser de fumer

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Cela peut être pour une raison de santé, comme pour réduire votre risque de cancer, ou tout autre chose, pour un imaginaire ou pour ce que vous souffrez réellement, pour vous même ou pour les autres, pour une raison financière ou pour une purification spirituelle, ou encore pour ne plus verser à l’état une taxe exorbitante qui ressemble à l’ancienne Gabelle. Il vous faut le savoir avec précision puisque c’est dans cette raison que vous allez trouver la force qui vous permettra de mener votre projet de sortir du tabagisme à son terme. Et chaque fois que vous vous sentirez en difficulté, proche de flancher et de tout abandonner, malgré les efforts que vous avez déjà accomplis, vous pourrez vous y ressourcer, et y trouver l’énergie et la puissance, qui vous permettra de vous ressaisir et de poursuivre vos efforts, pour en définitive, triompher de cette addiction.

Deuxième questionnement, il faut savoir ce que fumer vous apporte

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Il est possible que vous fumez uniquement par plaisir, quoique la fumée du tabac soit âcre et relativement désagréable, dans ce cas je vous conseille de fumer des cigarettes sans tabac, à base de plantes non cancérigènes, avec des arômes qui vous plaisent, de menthe, de réglisse ou de vanille par exemple. Tout produit de combustion est cependant cancérigène, même si ces cigarettes sont moins toxiques que le tabac naturel, lui même moins toxique que le tabac ordinaire chargé d’agents complémentaires par les cigarettiers.

Cependant, en plus de ce qui a déjà été dit, la nicotine est un coupe faim, qui peut vous protéger de la boulimie et par conséquence du diabète, qu’elle a une action sur le locus coeruleus, sur la qualité de la concentration et de la mémoire, qu’elle peut vous aider à travailler, à créer et à vous maintenir en éveil, qu’elle peut vous éviter la tentation d’autres vices, des drogues dures, et d’addictions diverses, car la nicotine est un psychotrope régulateur de vos états psychologiques et mentaux. Il est donc probable que vous ne fumez pas uniquement pour le plaisir, mais pour tout ou partie des raisons précédentes, en plus du besoin de votre cerveau en monoamines. Il vous est donc nécessaire de le déterminer au plus juste, avant de vous engager dans une tentative qui peut être éprouvante, et qui, même si elle réussit, peut présenter des séquelles nuisibles et des effets indésirables à long terme. A moins d’être comme moi, ataraxique, donc préservé de tous ces troubles, il vous faudra éviter de vous lancer tête baissée dans une aventure dont vous ignorez tout des conséquences.

Troisième chose, il faut savoir comment remplacer ce que vous apporte le tabac par quelque chose d’aussi efficace

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Cette condition est essentielle, car si vous faites l’impasse sur cette question, elle ne tardera pas à se rappeler à vous par un besoin irrésistible de fumer, et a provoquer une aggravation de votre fébrilité, de votre irritabilité et de troubles psychiques divers.

Vous pouvez avoir des faiblesses physiques ou psychiques que vous ignorez, que le tabac, ou plutôt la nicotine, qu’il contient, compense. Ce sera le cas si vous souffrez d’hypoglycémie, une solution sera simplement de prendre des comprimés de glucose. Fumer peut aussi vous servir de coupe faim, et vous éviter de prendre du poids. La nicotine étant connue pour non seulement diminuer l’appétit, mais aussi pour réduire la masse graisseuse, et la prise de poids est l’une des causes principales de l’échec du sevrage tabagique. Il vous sera donc souvent nécessaire d’examiner votre rapport à la nourriture et d’accepter un sensation de légère faim qui n’est pas obligatoirement désagréable. Sortir du tabagisme est une bonne occasion pour revisiter votre régime alimentaire, absorber davantage d’eau, prendre éventuellement des compléments vitaminiques et vous nourrir plus sainement. Enfin, reste l’important problème d’un manque de monoamines, en particulier de dopamine et de sérotonine, cause de troubles cérébraux, ou encore de tendances à l’anxiété, à la dépression et à des troubles du sommeil, plus ou moins liés à ces déficits, qui seront avérés si vous prenez déjà occasionnellement des psychotropes pharmaceutiques. Vous pourrez pour autant sortir du tabagisme sans renoncer pour autant à la nicotine, qui n’est pas cancérigène et ne peut pas nuire à votre santé, si vous ne voulez pas aggraver ces troubles. Il existe pour cela des compléments nicotiniques, en particulier avec les spray, en vente libre en pharmacie. Vous aurez en ce faisant avantage à quitter une absorption excessive de médicaments neuroleptiques, stimulants, dépresseurs, sédatifs ou narcotiques, plus nuisibles pour votre santé que la nicotine.

Une fois ces trois questions résolues, il faut employer une technique de restructuration mentale

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Car il ne suffit pas de vouloir cesser de fumer pour y parvenir, il faut déloger la structure en place et la remplacer par une autre. C’est là qu’intervient une technique que je nomme : la communion mentale, qui se pratique en méditation de pleine conscience.

La restructuration mentale consciente est présidée par les cinq grands barons de la vie mentale : la fonction volontaire qui les a convoqués, la conscience, la concentration, l’analytique et la foi. Ils se réunissent en une sorte de communion intense. Il est alors nécessaire de concevoir clairement la structure ancienne et la nouvelle, de les rapprocher et de les lier. Dès que cette liaison est suffisante la foi opère, elle transfère ce qu’elle avait mis d’elle dans la première, dans la seconde, cela ne prend qu’un instant, et c’est fait. A ce moment la fonction affective restée jusqu’alors discrète envoie généralement une grande bouffée de stress positif qui déstabilise la concentration et rompt de ce fait la communion qui n’a plus de raison de perdurer.

Dans le cas qui nous occupe la structure ancienne est l’image de notre acte de fumer accompagné de toutes les motivations et les raisons que nous pouvons percevoir dans notre désir, et la structure nouvelle le rejet mental de cet acte avec ses propres motivations, éventuellement accompagné de l’image d’un acte de remplacement non toxique, qui pourrait simplement être de boire un verre d’eau ou un petit exercice physique. Évitez d’y mettre du grignotage pour ne pas prendre de poids, ni aucun comportement qui pourrait devenir addictif.

Le suivi

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Le malaise physiologique ou l’inconfort dû au sevrage ne dure guère plus d’une vingtaine d’heure, voire trente-six heures au maximum. Le besoin psychologique de fumer peut par contre perdurer s’il a des causes véritables de déficit en monoamines. Enfin la présence insistante du souvenir du plaisir peut persister, un mois après le début du sevrage, dans ces circonstances analogues à celles des habitudes anciennes de la prise de tabac. Par exemple en prenant un café, à l’apéritif, ou après les repas, qui sont les plus fréquentes.

Vous pouvez commencer votre sevrage progressivement en diminuant votre consommation de tabac sur deux ou trois semaines, ou vous arrêter brutalement, cela n’a pas beaucoup d’importance.

Le premier jour du sevrage, et bien qu’ayant appliqué soigneusement les procédures du chapitre précédent, il sera plus sage de rester sous la couette en révisant point par point vos préparatifs, veiller à ce qu’il ne manque rien en attendant que que la pression de mal-être physique retombe sous un seul acceptable au bout d’une vingtaine ou d’une trentaine d’heures.

Au cours de ce premier mois vous aurez des accès de désir de tabac et des tendances au grignotage. Vous pourrez bien entendu vous permettre quelques bonbons, quelques chocolats, un verre de vin doux après le repas, mais sans excès, pour éviter la prise de poids. La meilleure solution pour compenser exactement votre absence de consommation de tabac, est d’avoir recours à des substituts nicotiniques, qui vous éviteront tous ces problèmes. Comme déjà dit, après avoir un peu tout essayé, je vous conseille un spray, bien dosé en menthol comme en nicotine, avec l’avantage du double effet, nicotinique et le “shoot” d’une micro-hypnose déstressante provoquant une coupure de détente dans votre état mental. Vous pourrez aussi pratiquer l’Autonomous Sensory Méridian Response (ASMR), https://developpement-mentalemantique.com/le-geste-mental/ anciennement appelé “orgasme mental”, comme des millions de personnes de par le monde, qui procure ce même effet de micro-hypnose en déclenchant un frisson nerveux le long de la colonne vertébrale. N’utilisez qu’une vaporisation à chaque envie irrépressible de fumer, en principe pas plus de cinq par jour, et essayez de vous en passer à partir de quinze jours à trois semaines. Si vos envies persistent, c’est peut-être que vous avez un réel besoin physique et psychique de dopamine et de sérotonine, donc d’un agent tel que la nicotine. Ne cherchez pas alors à systématiquement vous en passer, contentez-vous de réduire les doses, c’est déjà bien d’être parvenu à vous débarrasser du tabagisme.

Il vous faudra surtout éviter de substituer au tabagisme d’autres addictions, telles que médicamenteuses, prise de drogues, boulimie, alcoolisme, et diverses toxicomanies, qui peuvent se révéler plus dangereuses que le tabac lui-même, et a fortiori la nicotine, qui n’est pas cancérigène. Tous les roubles du comportement qui peuvent apparaître suite au sevrage nicotinique, devront faire l’objet d’une attention, de soins, et de traitements particuliers.

Pour réduire plus facilement les retours des souvenirs du plaisir tabagique, il est bon de changer certaines de vos habitudes qui les rappellent. Par exemple, en cessant de consommer du café, ce qui ne présente guère de difficulté, de changer vos types d’apéritifs, d’alcools, et de boissons en général, et tous vos comportements associés à votre ancien tabagisme.

Enfin il vous sera utile, au cours de ce premier mois, de refaire des analyses des causes de votre tabagisme, en méditation de résolution de problèmes, pour y voir apparaître des éléments qui vous auraient manqués lors de votre examen préalable, et de refaire en conséquence de nouvelles restructurations mentales consolidant votre nouvel état, ceci pour éviter les séquelles qui pourraient subsister de votre sortie du tabagisme. De temps en temps, contrôlez que vous éprouvez la satisfaction de vous sentir mieux, afin de raffermir votre détermination de rester éloigné du tabagisme.

Conclusion

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La plupart des méthodes de sevrage tabagique ne font que diaboliser le tabac, tentent de vous motiver davantage, et insistent par la suggestion sur l’aspect toxique et dangereux du tabac pour votre santé et celle de vos proches. Elles ne s’adressent qu’à votre fonction volontaire, sans intervenir sur vos structures mentales, et de ce fait, vous laissent bien démunis face à l’ensemble des problèmes que vous risquez de rencontrer après avoir cessé de fumer, avec le risque de vous faire plonger dans des dépendances pharmaceutiques et d’autres addictions beaucoup plus graves. Par contre la méthode que je propose prend en compte d’une façon globale l’ensemble des problèmes psychologiques en corrélation avec le tabagisme, et intervient en modifiant en profondeur vos structures mentales.

Il ne faut pas non plus tomber dans l’obsession anti nicotine, car c’est un bon régulateur de vos état cérébraux et mentaux, non cancérigène, et probablement moins addictif et moins cher, que beaucoup d’autres produits. Je ne conseille pas la vaporette, dont l’inhalation de la vapeur est le plus souvent irritante pour la gorge, malgré ce qu’en disent les professionnels du secteur. Par contre, il existe des produits bon marché à base de nicotine pure, patchs, gommes à mâcher, inhalateurs d’évaporation de nicotine, et spray, en vente libre en pharmacie. Je conseille le spray sur la langue qui bien dosé, a un effet immédiat, et qu’on peut trouver fortement mentholé, ce qui qui procure un “shoot” comparable, sur le plan de la micro hypnose, à la détente que procure une bouffée de fumée d’une cigarette de tabac.

Vous trouverez toutes les références de cet article, lettre du professeur Robert Molimard à la HAS, loi Evin, points de vue de l’association des droits des non fumeurs, de Doctissimo, et des vapoteurs, dans le dossier Nicotine de notre Blogger associé Economie Humaniste. https://economiehumaniste.blogspot.com/p/dossier-nicotine.html