Utilisateur:Frigory/Théorie de l'expérience
La théorie de l’expérience est une théorie du tout, dont le principal objet est de mettre en évidence l’existence de quatre dimensions de l’expérience biologique, et la nécessité de les considérer de manière équitable dans une société.
Présentation
modifierFondamentaux
modifierLes dimensions, les agents et les arbres de l’expérience
modifierLes quatre dimensions de l’expérience sont les quatre directions dans lesquelles l’expérience se développe. Elles se manifestent sous la forme d’ondes. Elles se nomment l’intellectualité, l’affectivité, la sensorialité et la motricité. Ces quatre dimensions connaissent les mêmes phénomènes, mais ont un rôle différent, une couleur spécifique, une présence particulière pour chaque sujet.
Les agents, appelés respectivement constatation, distribution, imprégnation et expression, sont quatre personnages imaginaires, qui traitent chacun une dimension pour un sujet. Ils représentent le sujet dont ils s’occupent de façon implicite : lorsque l’on parle d’un sujet, on parle en fait indirectement d’un ou plusieurs de ses quatre agents. Ils sont comparables à d’assidus jardiniers, faisant pousser et entretenant leur arbre, à leur rythme.
Les arbres sont les composants de l’expérience. Ils sont formés des ondulations sélectionnées par l’agent, et sont liés aux autres arbres par des courroies formant des toiles complexes. Les ondulations se nomment vibrations, mouvements, passages et finalités.
L’être vivant, porteur de l’expérience
modifierUn sujet vivant ou être vivant est simplement l’association de deux éléments : un tempérament et une expérience.
Un tempérament correspond à quatre valeurs ancrées dans la constitution du sujet, fixées pour la vie. Elles déterminent le rythme auquel chaque agent réalise sa mission d’instruction, c’est-à-dire de faire pousser son arbre. Voici un exemple de tempérament humain :
C | 8 | |
D | 4 | |
I | 5 | |
E | 8 |
Comme expliqué ci-dessus, une expérience est formée de quatre arbres d’ondulations liés entre eux par de multiples courroies. Le tempérament détermine la pondération de l’expérience ; ainsi, un sujet ayant le tempérament ci-dessus aura une expérience composée de beaucoup de passages et de mouvements, de peu de vibrations et d’encore moins de finalités.
On remarque qu’une ondulation spécifique se définit en fonction de trois attributs :
- son ondulation mère, qui mène jusqu’à elle ;
- les ondulations des autres arbres auxquelles elle est liée ;
- sa courbure propre.
Les missions des agents
modifierLes agents ont trois missions : l’instruction, la perception et le jeu.
- L’instruction consiste en l’ajout et la réorganisation des ondulations dans l’arbre, indépendamment des courroies. Elle affecte l’emplacement des ondulations ainsi que leur forme.
- La perception est la mise à jour des courroies entre les ondulations. Pour accomplir cette mission, un agent doit s’entendre avec un autre.
- Enfin, le jeu est l’émission d’une ondulation dans l’environnement, sur la dimension correspondante.
Lorsqu’on parle d’agents ou de missions, il peut y avoir des imprécisions ou de l’implicite :
- on peut parler d’un agent sans préciser les missions concernées ;
- on peut parler d’une mission sans préciser les agents concernés : dans ce cas, on parle de tous les agents en même temps ;
- on peut parler d’une mission pour faire allusion aussi bien à l’action de son accomplissement qu’à ce qu’elle produit.
Des mots permettent de désigner plusieurs missions à la fois :
Instruction | Disposition | Acte | Saisie | |
---|---|---|---|---|
Perception | Sollicitation | |||
Jeu | Acte |
Ainsi, on parle simplement de saisie pour désigner toute l’action sur une expérience.
Compléments
modifierLes parties de l’expérience
modifierUn groupe de plusieurs dimensions s’appelle une partie de l’expérience. Les mots peuvent être utilisés aussi bien pour parler des dimensions elles-mêmes, des agents qui les traitent ou des ondulations qui les composent.
Agents désignés | Termes | Dénomination des couleurs |
---|---|---|
Division appréciant la relation directe du sujet avec le monde | ||
C D | compréhension, intérieur | couleurs des profondeurs |
I E | appréhension, extérieur | couleurs des forêts |
Division appréciant le rapport interne du sujet au monde | ||
C I | conception, entendement | couleurs froides |
D E | interaction, comportement | couleurs chaudes |
Division appréciant le progrès du sujet dans le monde | ||
C E | développement, compétence | couleurs tenaces |
D I | intéressement, appétence | couleurs vives |
Expérience excluant une dimension | ||
C D I | évaluation | couleurs composantes |
C D E | exécution | couleurs tranchantes |
C I E | application | couleurs servantes |
D I E | relation | couleurs clinquantes |
Lorsque l’on désigne une partie ou même une dimension, il faut considérer que les autres ont leur arbre déjà saisi et fixé, auquel les arbres étudiés se lient par des courroies.
Principes
modifierDualité
Le vivant est constamment soumis à un double jeu : ce dont il dispose est à la fois un outil qui peut lui servir, et un boulet dont il doit s’occuper. Exemples :
- la quantité d’instruction à réaliser sert à développer l’expérience mais doit être utilisée ;
- l’expérience acquise permet au sujet de réaliser des tâches, mais elle va en fait jusqu’à le pousser à le faire dans la situation prévue.
Quotas
Les agents ne réalisent pas leurs missions de façon scrupuleusement régulière, mais obéissent à des quotas, c’est-à-dire qu’ils peuvent s’écarter un peu de la régularité tout en restant autour du quota. On peut dire qu’un quota :
- s’appuie sur un réservoir qui se remplit de façon continue (et scrupuleusement régulière) ;
- puise dans ce réservoir, qui peut être vide ou être trop plein.
Les missions d’instruction et de jeu obéissent à des quotas proportionnels au rythme de l’agent. La mission de perception a un quota qui est le même pour tous les individus.
Ouvertures
modifierRécursivité
Une communauté d’êtres vivants constitue un être vivant plus grand. Chacun des sujets composant cet organisme contribue à son équilibre. Le vivant est ainsi soumis à beaucoup de récursivité :
- l’Univers est composé de galaxies ;
- les galaxies sont composées de corps célestes (qui peuvent s’unir en systèmes célestes) ;
- les astres peuvent comporter des écosystèmes, des sociétés ;
- ces sociétés sont composées d’organismes et d’individus indépendants ;
- ceux-ci comportent eux-mêmes des organes et des micro-organismes.
Totalitarisme
La théorie de l’expérience étant une théorie du tout, elle conçoit toute particule et toute onde comme de l’expérience. Lorsqu’elle est appliquée dans une société, celle-ci subit alors le totalitarisme de l’expérience. Même si l’on distingue, chez un être vivant, son expérience et son tempérament, il faut considérer que ce dernier émane d’une expérience de ses géniteurs.
Les corruptions de l’expérience
modifierIl y a 12 corruptions élémentaires. On dit que l’agent indiqué à gauche (première colonne) « écrase » l’agent indiqué en haut (première ligne), c’est-à-dire qu’une grosse partie de l’arbre de l’agent de la première ligne a une répartition de courroies avec l’arbre de l’agent de la première colonne qui est très irrégulière. Plus concrètement, cela signifie qu’il y aurait un gros sous-arbre de l’agent de gauche avec très peu de courroies vers l’arbre de l’agent du haut, le reste de l’arbre de l’agent de gauche ayant en quelque sorte trop de courroies avec l’arbre de l’agent du haut, ce qui a pour conséquence que le jeu de l’agent de la première colonne a une considération très faible pour une grosse partie des ondulations de l’agent de la première ligne.
Par exemple, dans le cas de la paranoïa, une grosse partie des vibrations n’est que très peu reliée à des passages, les courroies entre vibrations et passages impliquant ainsi anormalement trop peu de vibrations. Cela a pour implication que la communication de vibrations à passages est limitée lors du jeu de ces derniers, et ainsi que la constatation a tendance à ignorer le travail de l’imprégnation, causant le délire paranoïaque : des constructions intellectuelles qui ignorent l’effort sensoriel.
Constatation | Distribution | Imprégnation | Expression | |
---|---|---|---|---|
Constatation | — | Labilité émotionnelle | Paranoïa | Évitement |
Distribution | Schizotypie | — | Schizophrénie | Antisociété |
Imprégnation | Obsession-compulsion | Schizoïdie | — | Catatonie |
Expression | État limite | Histrionie | Hystérie | — |
Connexions avec la connaissance humaine
modifierThéories diverses
modifierLa théorie des quatre éléments est une théorie remontant au Ve siècle av. J.-C. et utilisée jusqu’au XIXe siècle. Elle propose comme éléments de base l’eau, le feu, l’air et la terre (les associations ne sont que supposées) afin de construire une analyse de différents domaines scientifiques.
En psychologie de l’éducation, le constructivisme élaboré par Jean Piaget en 1923 reconnait bien les quatre dimensions de l’expérience. Il commet l’erreur de considérer qu’il y a un ordre imposé chez tous les sujets. Son idée de base est que le sujet doit appréhender pour comprendre, afin de pouvoir finalement appliquer.
La physique théorique reconnait quatre interactions élémentaires : gravitationnelle, nucléaire forte, nucléaire faible et électromagnétique (les correspondances sont encore à démontrer). La représentation de l’espace-temps comporte elle aussi quatre dimensions.
En informatique théorique, on distingue quatre catégories d’instructions : traitement, stockage, entrée et sortie.
Les partis politiques tendent à n’étudier les défauts que d’une seule des quatre dimensions. C’est à eux que la théorie de l’expérience a emprunté ses couleurs : gauche, droite, centre, écologie.
Classifications psychiatriques
modifierAssociées à des tempéraments
modifierLes classifications psychiatriques associées à une condition neurodéveloppementale correspondent à des tempéraments extrêmes, qui supportent difficilement la société imparfaite dans laquelle la psychiatrie s’est construite. C’est notamment le cas pour les classifications retenues par le mouvement de la neurodiversité.
Pour les extrêmes en appréhension, certains symptômes retenus par la psychiatrie peuvent correspondre aussi bien à des sujets qui ont un excédent (donc un rythme plus rapide que ce qui est supporté) que des sujets qui ont une lacune (donc un rythme plus lent que ce qui est supporté). Par exemple, lorsque la psychiatrie retient une difficulté dans la réalisation d’une tâche, elle peut être aussi bien due à des capacités lacunaires qu’à un excédent traumatique.
Lorsqu’elle attribue un diagnostic, la psychiatrie peut très bien reconnaitre chez un individu des symptômes relevant d’une autre classification, et lui attribuer plusieurs diagnostics d’un coup.
Les chiffres ci-dessous sont donnés à titre indicatif. La théorie de l’expérience ne reprend pas elle-même ces classifications, mais avec ces chiffres propose des définitions transitoires afin que soient mieux séparés l’inné et l’acquis.
Extrêmes du quotient intellectuel
Le rythme de constatation est déterminant. Dans la relation, plus le sujet est décalé de la médiane, plus il peut avoir du mal à suivre les consignes (parce qu’il est distrait ou maladroit). Toutefois, s’il a des rythmes supérieurs à la médiane, cela peut être un atout en vitesse ou en connaissances. On retient les chiffres suivants.
- Handicap mental : le sujet constate peu (C ⩽ 4) ou constate assez peu et a la relation bien renversée (C ⩽ 5, 2D + 5 ⩽ I + E).
- Douance : le sujet constate beaucoup (C ⩾ 8) ou constate relativement beaucoup et interagit beaucoup (C ⩾ 7 et D + E ⩾ 15).
Variantes du trouble du spectre de l’autisme
Classiquement, il est associé à un rythme de distribution lent (D ⩽ 4), et l’on distingue entre bas et haut niveaux de fonctionnement selon qu’il y a ou non déficience intellectuelle. Des rythmes d’appréhension atypiques peuvent cependant accroitre les symptômes et faciliter l’obtention des diagnostics. On retient les chiffres suivants.
- Autisme à bas niveau de fonctionnement ou de Kanner : le sujet comprend peu (C + D ⩽ 9) ou comprend assez peu et appréhende beaucoup (C + D + 5 ⩽ I + E).
- Autisme à haut niveau de fonctionnement : le sujet distribue peu et constate au moins modérément (D ⩽ 4, C ⩾ 6).
- Autisme d’Asperger : le sujet distribue peu et développe au moins modérément (D ⩽ 4, C ⩾ 6, E ⩾ 6).
- Autisme savant : le sujet distribue peu et conçoit beaucoup (D ⩽ 4, C + I ⩾ 15).
- Génie : le sujet distribue peu et constate beaucoup (C ⩾ 8 et D ⩽ 4).
On considère parfois que l’autisme à haut niveau de fonctionnement et l’autisme d’Asperger sont confondus. La psychiatrie la plus actuelle ne retient que la qualification de trouble du spectre de l’autisme, auquel peut ou non être adjoint une déficience intellectuelle.
Le terme de « génie » a une connotation sensationnelle. Il désigne très souvent des personnes qui ont pu diffuser une constatation épurée de distribution dans la société. Les autres dimensions peuvent pourtant avoir leur génie à eux, parfois tout aussi transcendant.
Variantes du trouble du déficit de l’attention
Classiquement, il est associé à un rythme d’imprégnation rapide (I ⩾ 8). Un rythme de distribution lent décale également fortement le sujet du mouvement dominant et peut lui permettre d’obtenir l’un des diagnostics ci-dessous.
- Trouble du déficit de l’attention simple : le sujet imprègne beaucoup (I ⩾ 8).
- Trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité : le sujet applique beaucoup et distribue peu (C + I + E ⩾ 22 et D ⩽ 5).
- Rythme cognitif lent : le sujet exécute assez peu et imprègne relativement beaucoup (14 ⩽ C + D + E ⩽ 16 et I ⩾ 6).
- Hypermnésie : le sujet a l’imprégnation très en avant (I ⩾ 8, C + D + E ⩽ 16).
Ces diagnostics peuvent souvent être associés à de la synesthésie.
Extrêmes motrices
Le syndrome de Gilles de La Tourette correspond à de l’expression excédentaire, pas suffisamment comprise. La dyspraxie est associée à des difficultés motrices, qui peuvent venir soit d’une expression lacunaire, soit d’un traumatisme découlant d’une appréhension excédentaire. Elle est fortement diagnostiquée.
- Dyspraxie : le sujet exprime peu (E ⩽ 4) ou comprend moins qu’il appréhende (C + D + 1 ⩽ I + E).
- Syndrome de Gilles de La Tourette : le sujet exprime beaucoup (E ⩾ 8), avec éventuellement l’évaluation renversée (C + D + 3 ⩽ I + E).
Associées à des corruptions
modifierLa plupart des corruptions de l’expérience ont trouvé leur noms dans les troubles de la personnalité de la psychiatrie :
- émotionnellement labile (voir bipolarité) ;
- paranoïaque ;
- évitante ;
- schizotypique ;
- antisociale ;
- obsessionnelle-compulsive ;
- schizoïde ;
- état-limite ;
- histrionique.
Les corruptions de l’expérience ont également repris les termes d’hystérie, de catatonie et de schizophrénie. Ainsi, pour la théorie de l’expérience, la schizophrénie n’est pas en principe une corruption plus grave que les autres.
Empirismes
modifierL’empirisme désigne les phases qu’un organisme traverse avant d’accéder à l’état de maturité, c’est-à-dire l’état dans lequel il résorbe tous les maléfices et ne dégage que du bénéfice. Si la théorie de l’expérience est applicable sur cet organisme, il faut que ses membres adoptent la théorie de l’expérience comme modèle suprême pour que cela se produise.
Cas géologique
modifierSur la Terre, on distingue essentiellement deux catégories d’êtres vivants.
- Les végétaux sont des êtres enracinés. Leur immobilisme fait qu’il est naturellement plus profitable pour eux d’avoir l’imprégnation en avant et la distribution en retrait (cas des arbres notamment), ou l’appréhension en avant et la compréhension en retrait. Plus généralement, ils ont en moyenne la hiérarchie de tempérament suivante : I > E > C > D. Ils vivent en appréciant les plus petites modifications de leur environnement et en y grandissant.
- Les animaux sont des êtres mobiles. De ce fait, ils sont naturellement gagnants lorsqu’ils distribuent beaucoup et imprègnent peu. En moyenne, hiérarchie suivante : D > C > E > I. Ils vivent en se construisant constamment des sentiments de conquête, de victoire, qui leur donnent l’impression de structurer leur environnement et d’avoir de l’influence dessus.
Il y a des catégories plus ou moins intermédiaires qui viennent jouer un rôle de levier.
- Les félins, les champignons et les reptiles sont des développeurs.
- Les insectes et les plantes carnivores sont des intéresseurs.
- Les amphibiens et les plantes aquatiques sont des conceveurs.
Ces différentes catégories n’accueillent pas forcément des êtres ayant toujours la même hiérarchie de tempéraments, mais la sélection naturelle favorisant un certain secteur de tempéraments, les nouveaux-nés étant en dehors de ce secteur tendent à décéder rapidement sans avoir pu adapter leur environnement à leur condition.
Cas colonial
modifierLa stratégie pour intégrer la théorie de l’expérience et remédier au déséquilibre consiste essentiellement à employer le triangle suivant :
- vie personnelle : les individus confrontent les règles de la collectivité à leurs besoins personnels et acquièrent des aspirations ;
- vie professionnelle : les individus élaborent des projets par lesquels ils transmettent leurs aspirations et transforment la collectivité ;
- vie collective : des règles publiques offre une base qui permet aux groupes d’interagir et d’améliorer progressivement cette base.
Au fur et à mesure des réincarnations de leur tempérament, les individus qui étaient au départ éliminés par le phénomène de sélection naturelle, ayant donc un tempérament émergent, trouvent des solutions qui conviennent à leurs semblables et rendent ainsi la société accueillante pour de nouveaux tempéraments. Les créations des individus déjà adaptés demeurent inadaptées aux tempéraments émergents et perdent leur poids en se heurtant à eux, ce qui permet aux créations émergentes de s’épanouir progressivement.
Cas anthropologique
modifierPour les êtres humains, la convention est que le rythme de chaque agent est un nombre réel entre 3 et 9. Pour simplifier, on n’utilise que des nombres entiers entre 4 et 8, qui représentent alors des quintiles selon le tableau suivant :
Code | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 |
---|---|---|---|---|---|
Intervalle | 3 – 4,2 | 4,2 – 5,4 | 5,4 – 6,6 | 6,6 – 7,8 | 7,8 – 9 |
En attendant que l’humanité ait remédié au déséquilibre naturel, on considère ainsi que la personne médiane a le tempérament suivant :
C | 6 | |
D | 7 | |
I | 5 | |
E | 6 |
Il est visible que, comme la plupart des espèces animales, les êtres humains sont plus des distribueurs que des imprégneurs.
Le triangle anthropologique correspond simplement aux trois divisions de l’expérience :
- compréhension/appréhension : division théologique ;
- conception/interaction : division psychologique ;
- développement/intéressement : division économique.