Athlétisme/Matériel
L'athlétisme nécessite, comme tous les sports, du matériel ; cependant, une pratique non compétitive ne nécessite pas de matériel. Ce matériel peut parfois nécessiter un apprentissage de son usage.
Matériel commun
modifierVêtements
modifierle facteur aerodynamisme est important , ne pas négliger le frottement air-corps humain , privilégier des vêtements Légers et moulant pour éviter un surpoids (+ou- 1kg) non négligeable surtout en sprint et les épreuves de vitesse
Matériel de course
modifierStarting-block
modifierLes blocs de départ, ou starting-blocks en anglais sont utilisés seulement lors des épreuves de sprint, tant lors des compétitions en plein-air que celles en salle. Le starting-block est un élément important des courses de sprint, surtout dans le 60 m et le 100 m, course où le temps de poussée est beaucoup plus court que le 200 m ou le 400 m, ce qui rend le départ très important. On n'utilise pas de « starts » pour les évènements de plus longue durée parce qu’ils ne nécessitent pas de départs explosifs.
On doit la popularisation du placement qui engendrera l'invention du starting-block à l'américain Thomas Burke qui sera double-champion olympique en 1896 sur 100 et 400 mètres. Avant l'invention du starting-block, et à l'image de Jesse Owens ou des coureurs de la finale d'Athènes ci-contre, les sprinteurs creusaient la cendrée afin d’avoir un appui stable avant le départ. Peu à peu et avec l'apparition des « Pointes », les starting-blocks se sont transformés en outils permettant un départ bas essentiel à la bonne poussée du sprinteur. Il est devenu un élément obligatoire dans les courses de haut niveau, preuve de son utilité et de son utilisation massive.
Leur utilisation nécessite un apprentissage. D'abord, chaque sprinteur règle ses starting-blocks à l'aide des éléments déplaçable de façon à avoir sa jambe la plus forte devant. Il faut ensuite apprendre à se placer dans les blocs ; pour ce faire, il suffit de s'accroupir devant les blocs puis d'y poser les pieds tout en gardant les mains au sol. On ramènera après les mains derrière la ligne en attendant le commandement du starter. Une fois le « prêt » (set en anglais) du starter annoncé, le coureur se place en déséquilibre (cela aidera la poussée qui va suivre le départ) en avançant ses épaules jusqu'à ce qu’elles dépassent la ligne. Au coup de feu, le sprinteur appuiera très fort sur les blocs et poussera encore après le début de la course.
Chaussures à pointes
modifierLes pointes désignent les extrémités pointues et fines souvent vissées ou parfois moulées sur la semelle des chaussures de course, de lancer de javelot ou de saut qui permettent notamment d'améliorer l'adhérence.
Il s'agit de jeu de pointes qui se fixent à l'aide d'une « clé ». Très souvent en acier, avec une forme pyramidale ou en aiguille, elles existent en plusieurs tailles : 4 mm, 6 mm, 9 mm, 12 mm, 15 mm, voire 17 mm. Plus celles-ci sont longues, plus elles correspondent à la pratique du cross-country avec des terrains boueux et herbeux par exemple, tandis que les courtes sont plus adaptées à la pratique d'épreuves sur piste. Elles ont une utilité proche de celle des crampons au rugby ou au football. Le matériel d'entraînement Speed-band pour améliorer la vitesse des sprinteurs et hurdleurs ( sauts de haies ) mais il s'agit là de matériel de perfectionnement tout comme les gilets lestées
Matériel de lancer
modifierdes poids de 2,3,4,5,6,7 kg pour le lancer de poids , des javelots de plusieurs poids différents selon les catégories ( hommes - femmes , benjamins ou vétéran etc idem pour le lancer de poids et le Lancer de marteau
Matériel de saut
modifierutilisation du Plint à l'entraînement et d'exercice de pliometrie , utilisation de haies pour le saut en longueur est toute à fait possible si cette haie est placer au début du saut dans le sable , il s'agit là de sauter dans le sable en sautant au dessus de la haies pour donner un angle de saut .
Conclusion
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