DMS 2/Facultés nouvelles
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MONOGRAPHIE n°45 Développement de facultés particulières
modifierL’analyse complexe
modifierPar 2 PROP/ l’analytique construit des p2 qu’il propose en conscience, principalement à la demande de D7d et 9, mais aussi parfois suite à des coïncidences associatives. Il utilise pour cela son tableau de travail, crée des assemblages de concepts, des concepts complexes, des chaînes de concepts qui peuvent être pilotées dans la durée par D7d. Il sert aussi 3 hors de toute conscience. Ses structures comportementales peuvent aussi réagir sur des signaux indépendamment de toute demande quand la situation mentale l’exige. Cette modalité est très active dans les synergies Y (1 2 5 6 7) et Y (1 2 5 6 7 9). En période de sommeil il propose aussi des rêves qu’il crée dans son espace de travail, il est alors dominant D2/ et les autres fonctions sont en servitude ou effacées. Dans ses trois modalités l’analytique se présente comme une fonction automatique réactive, quoiqu’il soit difficile de comprendre ce qui initie ses rêves.
Structures comportementales de 2
modifierComme 2 est une fonction automatique on pourrait considérer que toutes ses opérations s’effectuent dans le cadre de structures comportementales, à la différence près que si les structures comportementales des autres fonctions se construisent par agglutination, celles de 2 sont des processus logiques. Par exemple quand 2/ signale à 7j l’irruption de quelque chose de nouveau non présent en mémoire ou quand il stocke des informations en l’attente de l’achèvement d’un PROG 7/. PROG p’7 (non fin) (implique) non 2 PROP/p7d Je présente dans le paragraphe suivant l’implication de l’analytique par D7dj dans des programmes de recherche PROG p7/2, en demande d’élucidation d’un ensemble de sens flous, l’assemblage de concepts complexes ou la construction de nouvelles architectures.
Système général de structuration (S G S)
modifierDans un tel programme qui implique une synergie Y (1 2 5 6 7) il n’y a pas au départ de groupe de sens précis à structurer, mais un objectif p7 souvent flou et un lot d’informations incomplètes et floues à structurer. 2 est incapable de fournir une réponse automatique rapide (sauf si elle existe par hasard toute faite quelque part en mémoire). C’est donc un processus laborieux qui prend du temps et qui peut échouer, piloté par 7dj en compagnie de 6 MOUV/ dans ses phases B et C dans lesquelles en général de nouveaux éléments peuvent apparaître qui peut être interrompu ou reporté par 7d.
Il comprend quatre phases : A – Décomposition des ensembles flous à structurer par 2/Ո, distinction par 2 des G(w) flous à qualifier, de relations entre ces sous-ensembles et de formes partielles. Les phases B et C sont menées ensemble, selon les cas à traiter l’une aboutit plus rapidement que l’autre. B – Recherche d’une architecture en assemblant par 2/Ae sur l’espace virtuel de travail EVT des formes et des relations. C – Recherche de catégories pour chaque sous-groupe de la décomposition initiale, à l’aide d’un tableau de sens Ta(SGS) recouvrant à la fois l’analytique, le monde mental et leurs relations au monde extérieur, relié aux autres tableaux généraux tels que l’AFM et le TGM et leurs ramifications en « sapin de noël ». Contrôle de cohérence des formes, des nombres et des relations apparaissant sur les deux lignes de travail parallèles B et C qui aboutissent l’une à la création d’une architecture, l’autre à un ensemble de G(w) qualifié de catégories. D – Assemblage par 2/Di.U des sens qualifiés et de l’architecture qui mène à la création d’un ensemble structuré.
De nombreuses facultés peuvent être acquises
modifierCompte tenu du potentiel immense et pratiquement sans limite de nos fonctions mentales, à l’exclusion de certaines contraintes formelles qui assurent à nos mondes de ne pas sombrer ou disparaître dans le chaotique, telles que : se déplacer physiquement plus vite que la lumière, voyager dans le temps, transformer les fermions en bosons, créer d’autres modèles de la matière inerte ou du vivant, autres que ceux que les lois universelles permanentes imposent, prendre la place pour diriger le mental d’un autre, au-delà du pouvoir restreint de la suggestion. Donc il y a l’embarras du choix, plus que vous et moi ne puissions imaginer, jusqu’à la fin des siècles. Certains mentalistes qui se donnent en spectacle pour animer les cabarets, music halls et les soirées de divertissement à la télévision, ont acquis la maîtrise de pratiques diverses : acuité physionomiste, manipulation des personnes, trucs d’illusionnistes, et surtout une bonne connaissance de la psychologie humaine. Vous trouverez dans Google par centaines tous les exercices qu’ils proposent pour vous entraîner à ces pratiques, ce n’est pas la raison d’être de ces monographies. L’objectif de ces cours est de mener des étudiants au point de disposer des moyens nécessaires à trouver ou à construire seuls, en eux, tous les outils mentaux dont ils pourraient avoir besoin, et de pouvoir les transmettre à d’autres personnes. Cette base acquise, ce sera à eux de choisir ensuite les chemins de développement qu’ils souhaitent librement poursuivre, car ils sont multiples, ou… de faire toute autre chose.