Méthode mentaliste/9 fonctions

Début de la boite de navigation du chapitre
9 fonctions
Icône de la faculté
Chapitre no 8
Leçon : Méthode mentaliste
Chap. préc. :Sciences humaines
Chap. suiv. :Pour la foi
fin de la boite de navigation du chapitre
En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Méthode mentaliste : 9 fonctions
Méthode mentaliste/9 fonctions
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.

9 fonctions mentales

modifier
         Pour revenir aux fonctions mentales, vous avez pu constater qu’à ce jour j’en utilise neuf. Pendant longtemps je n’en considérais que sept mais cela ne marchait pas vraiment bien, j’ai essayé tout ce que je pouvais pour que cela marche mieux et puis j’ai fini par admettre que j’étais dans une situation d’échec. Il y a environ quinze ans je suis passé à neuf et depuis avec neuf cela fonctionne bien. Qu’est-ce que cela signifie que cela fonctionne bien ? C’est que dans mes recherches, je progresse plus vite et de plus en plus vite. Donc je ne fais pas de fixation sur le nombre neuf, c'est-à-dire que je tente d’éviter toute démarche dogmatique, mais au contraire de pratiquer une démarche empirique, pragmatique et rationnelle. Je pourrais en avoir dix au lieu de neuf car la fonction volontaire présente deux facettes qui toutes deux décident : la direction volontaire et le jugement arbitraire, l’une qui dirige mais ne juge pas ce qu’elle fait, l’autre qui juge mais ne dirige pas. Nous pourrions donc considérer qu’il y a deux fonctions volontaires qui ne s’empiètent pas mais se complètent. Moi je préfère considérer que la fonction volontaire se divise en deux sous-fonctions et ceci pour une raison bien simple, c’est que toutes deux sont gouvernées par le même principe, et ce principe (liberté-choix-doute), c’est un principe de liberté qui leur permet de choisir face à la présence permanente d’un doute, ce qui caractérise une fonction volontaire. C’est le choix et le doute cartésien que j’ai évoqué au début de cet exposé. Chaque fonction semble être fondée sur un principe différent qui lui donne sa qualité et sa saveur, même si je n’arrive pas encore aujourd’hui à cerner parfaitement tous ces principes. Pour la conscience cela semble être la singularité qui fait de nous des êtres individuels et non un être collectif, pour l’analytique la spatialité, pour la pathologique la puissance de l’énergie qu’elle utilise et avec laquelle elle s’impose. En ce qui concerne l’analytique, j’ai constaté que cette fonction s’exprimait à travers trois modalités (STRU-GEST-PROP) :
       • Premièrement : la structuration du sens.
       • Deuxièmement : la gestion du sens en mémoire.
       • Troisièmement : des propositions en conscience chaque fois qu’elle est sollicitée par une autre fonction.    
       Mais toutes ces modalités utilisent les mêmes outils, donc c’est toujours la même fonction.