Milieu de partie au jeu d'échecs/Attaque sur le roque

Début de la boite de navigation du chapitre

Nous allons étudier dans ce chapitre comment mener à bien une attaque sur le roque[1].

Attaque sur le roque
Icône de la faculté
Chapitre no 8
Leçon : Milieu de partie au jeu d'échecs
Chap. préc. :Affaiblissement de l'aile roi
Chap. suiv. :Attaque sur l'aile-Dame
fin de la boite de navigation du chapitre
En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Milieu de partie au jeu d'échecs : Attaque sur le roque
Milieu de partie au jeu d'échecs/Attaque sur le roque
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.

Conditions favorables pour envisager une attaque sur le roque

modifier

Il faut clairement préciser que l’on ne décide pas de faire une attaque sur le roque avant de commencer la partie. Une attaque sur le roque se décide lorsque les conditions sont favorables. Bien souvent, un roque adverse affaibli peut être considéré comme une condition favorable mais elle n’est pas indispensable. Si l’on veut énoncer des conditions favorables à une attaque sur le roque, on pourrait dire qu’il y en a deux. La première est que l’on dispose de plus de pièces mobilisées que l'adversaire sur l'aile du roque à attaquer. La deuxième condition est que l’on n'a pas fait un roque sur la même aile que l'adversaire.

Références

modifier
  1. Dr Max Euwe : Les échecs, jugement et plan. Payot, Paris (ed.1966) chapitre 6.