Recherche:Les abolitions des traites et des esclavages/Travail & appropriation de Anthropocène

Début de la boite de navigation du chapitre
Travail & appropriation de Anthropocène
Icône de la faculté
Chapitre no 5
Recherche : Les abolitions des traites et des esclavages
Chap. préc. :Migrations & peuplement de la Planète
Chap. suiv. :Migrations & esprit de conquête
fin de la boite de navigation du chapitre
En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Les abolitions des traites et des esclavages : Travail & appropriation de Anthropocène
Les abolitions des traites et des esclavages/Travail & appropriation de Anthropocène
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Le travail aux XIXe siècle & XXe siècle
Sur la propriété, évolution de la pensée philosophique et économique
  • 1650 - André Desolmes, La claire et parfaicte connoissance du vice damnable de proprieté : non seulement tres-vtile, mais aussi tres-necessaire à toute sorte de personnes religieuses, & à tous leur confesseurs & directeurs : tirée du droict canon & des docteurs iuristes & theologiens, Claude Prost, , La propriété d'un point de vue théologique, par opposition au vœu de pauvreté
  • 1706 - 1734 - Samuel von Pufendorf, Le Droit De La Nature Et Des Gens, Ou Systeme General Des Principes les plus importans De La Morale, De La Jurisprudence, Et De La Politique: Avec des Notes du Traducteur, & une Préface qui sert d'introduction à tout l'Ouvrage, , la propriété du point de vue de la philosophie du droit naturel
  • 1762-1999 - Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social, ou Principes du droit politique, Marc-Michel Rey, Amsterdam,
Influence du droit romain à l'époque de Louis XIV

« L’influence du Droit Romain dont la doctrine fut tour à tour enseignée officiellement, interdite, maintenue subrepticement, puis rétablie au grand jour par Louis XIV[1], l’a définitivement pénétrée de l’esprit séculier[2] et l’a fait changer de nature pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui »
— George Péries, La Faculté de droit dans l'ancienne Université de Paris, (1160-1793)[3].

Le développement capitaliste modifier

Le système de John Law = modifier

La transformation du patrimoine en "biens nationaux" modifier

Bibliographie (Le développement capitaliste) modifier

  • 1848 - Alphonse Jobez, Une préface au socialisme : ou, Le système de Law et la chasse aux capitalistes, Comptoir des imprimeurs-unis, Paris,
  • 1926 - Henri Sée, Les Origines du capitalisme moderne, esquisse historique, Armand Colin (OCLC 1556113, notice BnF no FRBNF31344372, lire sur Wikisource, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
1939 - Citation à propos du Chevalier d'Eon utilisant le mot "capitaliste" en 1763

« Le mot, en effet, devait être, déjà avant Turgot et dans un sens très voisin de celui qu'il lui donne, familier à la langue des gens d'affaires. Témoin un texte, sensiblement plus ancien, que le hasard d'une lecture me permet de verser au dossier : en quoi j'ai le sentiment de ne faire qu'obéir à ce principe de collaboratiom qui est, ici, celui de M. Hauser comme le nôtre. Les Archives du Ministère des Affaires étrangères (Correspectivement politique Angleterre, n° 451) conservent une lettre, à tous égards fort curieuse, par où, en date du 2З août 176З, le chevalier d'Eon proposait au Ministre de se rendre maître, sur la place de Londres elle-même, du marché des fonds d'Etat anglais. On y lit le passage suivant (le mot souligné l'est dans l'original) : "Il y a, Monseigneur, deux sortes de personnes qui négocient ici dans les fonds publics. Les premières sont celles qui, ayant de l'argent à placer, achètent pour garder. Je les appelle les capitalistes. Les secondes sont celles que l'appas du gain engage à s'y intéresser ; c'est pour elles une espèce de jeu de hazard. Je leur donnerai le nom de joueur." »
Marc Bloch, cité par Lucien Febvre et Henri Hauser, "Mots et choses : capitalisme, capitaliste[4]".

Bibliographie modifier

  • 1650 - André Desolmes, La claire et parfaicte connoissance du vice damnable de proprieté : non seulement tres-vtile, mais aussi tres-necessaire à toute sorte de personnes religieuses, & à tous leur confesseurs & directeurs : tirée du droict canon & des docteurs iuristes & theologiens, Claude Prost, , La propriété d'un point de vue théologique, par opposition au vœu de pauvreté
  • 1706 - 1734 - Samuel von Pufendorf, Le Droit De La Nature Et Des Gens, Ou Systeme General Des Principes les plus importans De La Morale, De La Jurisprudence, Et De La Politique: Avec des Notes du Traducteur, & une Préface qui sert d'introduction à tout l'Ouvrage, , la propriété du point de vue de la philosophie du droit naturel

-

  • 1920 - Marc Bloch, Rois et serfs : un chapitre d'histoire capétienne, Honoré Champion, Paris,
    • 1922 - (en) François Louis Ganshof et Marc Bloch, Rois et Serfs, Un chapitre d'histoire capétienne, Compte-rendu de lecture (ISSN 0035-0818 et 2295-9068) 

-

  • 2011 - Ragip Ege, Le concept de travail chez Friedrich Engels et ses implications éthiques et politiques (lire en ligne) 
  • 2012 - Christophe Lavialle (dir.), Le travail en question, XVIIIe-XXe siècles, Tours, Presses universitaires François-Rabelais, 434  p. (ISBN 978-2-86906-271-9, notice BnF no FRBNF42601587, DOI 10.4000/BOOKS.PUFR.12767, lire en ligne) 
  • 2016 - Alexis Cukier et Centre de recherches interdisciplinaires en sciences humaines et sociales, Exploitation, marxisme et droit du travail, Montpellier (lire en ligne) , lectures marxistes. Le travail comme chose comme dans l'esclavage ou comme élément constitutif de la personne. Dimension non patrimoniale du corps du travail (abolition de l'esclavage).
  • 2017 - Peter Downs, L’Anthropocène : origine, effets, avenir (lire en ligne) 



  1. L'Édit de Saint-Germain-en-Laye (1679) est une affirmation de l'autonomie du droit français par rapport à l'ensemble formé du droit romain et du droit canonique, qui formaient jusque-là l'essentiel des études juridiques.
  2. Désigne le pouvoir temporel, la justice de l'État, qu'il faut distinguer du pouvoir spirituel.
  3. Note de l’auteur "Nous nous étendrons un peu plus sur cette période, car nous dirons en nous appropriant la remarque de M. Jourdain (Histoire de l'Université de Paris etc. Avertissement p. II) : "À partir du dix-septième siècle, l'histoire de l’Université de Paris n’est pas écrite, elle ne l'est pas du moins avec les développements qu’elle comporte et que les documents qu’on possède permettraient de lui donner", George Périès, La Faculté de droit dans l'ancienne Université de Paris, (1160-1793), L. Larose et Forcel, Paris, , 1890, page 2.
  4. Lucien Febvre et Henri Hauser, Mots et choses : capitalisme, capitaliste (ISSN 0395-2649, 1243-258X, 1953-8146, 1243-2563 et 0003-441X, DOI 10.3406/AHESS.1939.3008) , 1939