Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-ètre
La terminaison est surtout présente dans les noms terminant en -mètre, parmi lesquels figurent surtout des unités et des outils de mesures, mais au moins géomètre sert de désignatif personnel épicène. En plus de cela, bien qu’extrêmement rare, se trouve falètre, personne qui conduit un attelage[1]. Dans les deux cas le suffixe -iste serait pertinent pour porter le sens de personne qui pratique une activité relative à, d’autant que géométriste aurait notament l’avantage de distinguer morphologiquement de l’outil et de l’unité et du reste ne s’avère pas strictement néologique[2][3][4][5]. Toujours est-il que la proposition retient pour les alternances ostentatoires un calque sur celles déjà fournies pour -iste.
De surcroît se trouve les termes unigenres désignant des poissons :
- un gymnètre ;
- un osciètre ou ossiètre.
- ↑ Jules Verne, « Claudius Bombarnac », dans {{Chapitre}} : paramètre
titre ouvrage
manquant, J. Hetzel et Compagnie, (lire en ligne), p. 1–13 - ↑ Géométriste (Guy Bellinger) - texte intégral - Poésie - Atramenta [lire en ligne]
- ↑ Patrice Leraut, « Étude de quelques Sterrhini (Lepidoptera, Geometridae) », Bulletin de la Société entomologique de France, vol. 110, no 4, 2005, p. 413–414 [texte intégral lien DOI (pages consultées le 2023-05-08)]
- ↑ Germán Portillo, « Biographie et exploits du philosophe Anaximandre de Milet », sur Meteorología en Red, (consulté le 8 mai 2023)
- ↑ Bernard Lévy, « Mais où sont les artistes mexicains? », Vie des arts, vol. 26, no 106, 1982, p. 70–72 (ISSN 0042-5435 et ISSN 1923-3183) [texte intégral (page consultée le 2023-05-08)]