Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-aïe, -aï
Dans le corpus considéré concerne bahaïe et bahaï ainsi que la variante béhaïe et béhaï, Daïe et Daï, Nogaïe et Nogaï.
Le terme rachaï désignant un curé et ce titre étant traditionnellement réservé à la gente masculine, il n'est guère étonnant de ne trouver d'attestation qu'à l'équivoque. Cela dit, avec les volontés existante de faire bouger les traditions sur ce plan qui ont déjà mené à l'emploi de la flexion à l'ambigu de curée, il serait sans surprise de le voir rejoint par une rachaïe[1][2].
Pour la série ostentatoire, elle peut être calé sur celle déjà donné pour le -aï épicène, soit -äiẽse, -äìsse, -āste, -äǫsse, -äússe. Pour rappel celle-ci s'inspire elle-mêm de la série rattachée à -i, -o, -ès. D’où l'isonèphe -aès, ce qui donnera donc par exemple béhaès.
- ↑ Modèle:Fr-FR « Femme évêque ou curé ? Des catholiques engagées revendiquent plus de féminin dans l'Eglise », La Croix, 2020-09-26 (ISSN 0242-6056) [texte intégral (page consultée le 2023-11-22)]
- ↑ « À la découverte de la plus petite des Églises suisses », sur SWI swissinfo.ch, (consulté le 22 novembre 2023)