Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-ande, -and

Dans le corpus considéré concerne brigande et brigand, chalande et chaland.

Réflexions paradigmatiques
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Pour l'isonèphe, l’emploi de -ände permet de différencier de l'ambigu et de l'équivoque tout en restant morphologiquement très proche, et en s'inspirant de länder (/lɛn.dœʁ/) pour la prononciation.

L'adjonction d'un -i- épenthétique à l'inanimé permet d'éviter l’homophonie qu’entraînement marchandǫm avec marchand d’homme et donc d’évoquer le trafique d'êtres humains. Les autres formes ostentatoires suivent la même matrice en -i*me, en retenant -iúme pour le thélyphène pour une prononciation jugée plus fluide que ce que ne donnerait -iûme. Pour l'arrhénophène c'est pour éviter le hiatus -iì- qu'est retenue une forme en -uìme.