Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-ante, -ant, -änte
Pour l'isonèphe, l’alternance se base sur l'ambigu augmenté d'un tréma qui vient suggérer l'oralisation autonome de la voyelle par rapport à la consonne qui la suit. Les ostentatoires peuvent dès lors intuitivement s'inférer à partir de la série pré-établie ẽ, ì, ā, ǫ, ú, et la convention déjà exposé de l'emploi du n cédillé pour marquer nettement son autonomie phonatoire, à ceci près que c’est -iāņte qui est retenu pour le générique afin d'éviter l'homophonie avec l'isonèphe en -änte.