Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-arquesse, -arque

Dans le corpus considéré concerne énarquesse et énarque.

Comme indiqué dans la section dédiée aux mots épicène en -arque, énarque connaît bien un emploi épicène. Cela étant, force est de constater que l'alternance énarquesse connaît quelques occurrences[1][2][3][4].

Pour l'isonèphe et les ostentatoires, la proposition se contente ici de reprendre ce qui à déjà été suggéré par ailleurs pour -estre, soit -arquestre, -arquiēstre, -arquìstre, -arquāstre, -arquǫstre, -arquûstre. En effet, -estre qui se retrouve dans des termes comme bourgmestre évoque une notion de commandement tout à fait en phase avec celle de -arque.

Références

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  1. Hélène-Yvonne Meynaud, « Femmes et positions de pouvoir : le cas des entreprises françaises aujourd'hui », Les Cahiers du Genre, vol. 14, no  1, 1995, p. 27–41 [texte intégral lien DOI (pages consultées le 2024-01-23)]
  2. Catherine Marry, « Les femmes ingénieurs : au-delà de l’antinomie : entre le métier et la carrière, la famille... », Les Cahiers du Genre, vol. 11, no  1, 1994, p. 73–83 [texte intégral lien DOI (pages consultées le 2024-01-23)]
  3. Sandrine Lévêque, « «L'entrée en politique». Bibliographie sur les conditions sociales de la professionnalisation et de la «réussite» politique en France », Politix. Revue des sciences sociales du politique, vol. 9, no  35, 1996, p. 171–187 [texte intégral (page consultée le 2024-01-23)]
  4. Modèle:Fr-FR « Politix, vol. 9, n°35, Troisième trimestre 1996. Entrées en politique. Apprentissages et savoir-faire, sous la direction de Michel Offerlé et Frédéric Sawicki. », {{{périodique}}}, vol. 9, no  35, 1996 [texte intégral (page consultée le 2024-01-23)]