Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-e, -eau
Dans le corpus considéré concerne taure et taureau.
Réflexions paradigmatiques
modifierIl convient d'abord de noter que si taure alterne bien avec taureau, c'est évidement plutôt vache qui est employé dans la quasi-totalité des cas courants. Cela étant, toute rare soit-elle dans sa fréquence cette lexie ambigüe qui possède une base commune à l'équivoque est suffisante pour inspirer la reprise de cette base pour l'isonèphe et les ostentatoires. Au vue de l'existence de termes comme taurelière et taurellerie, il vient intuitivement un isonèphe en taurèle, confère -èle. D’où tauréliēne, taurélìne, taurélāne, taurélǫne, taurélûne.