Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-ende, -end
Dans le corpus considéré ne concerne que révérende et révérend.
l'isonèphe se contente d'ajouter un tréma sur la voyelle initiale du suffixe pour en sugérer la prononciation isolée en /ɛnd/ plutôt qu'en considérant une diphtongue à prononcer /ɑ̃d/. Les ostentatoires poursuivent sur la même logique d'alternance vocalique en amont d'un -n- sonore (/n/), marqué par une cédille (ņ) : -iẽņde, -ìņde, (/ind/), -āņde, -ǫņde, -ûņde.
Pour rappel le diphtongue -nh- peut substituer le n cédille en cas de difficulté de saise.