Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-ifa, -if

Dans le corpus considéré concerne chérifa et chérif.

L’isonèphe peut s'inspirer du terme épicène ḥibb/حبّ : amour, personne que l'on chérit, ou encore se référer à toubib qui vient de ṭabīb/طَبِیب : médecin, pour former chérib. Ou alternativement, s'inspirer de l'anglais qui traduit ce titre par sharif ou xerif et les transposer en charif et xérif. Et par suite former les ostentatoires chéĩrif, chìrif, chāïrif chǫrif, chûrif, ou xériẽf, xérìlf, xérāf, xérǫf, xérûf.