Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-ivesse, -ive
Dans le corpus considéré concerne uniquement khédivesse[1][2] et khédive.
Pour les ostentatoires, à la suite de la proposition déjà faite pour -esse, -e, -urge il sera suggéré ici d'alterner avec khédiviẽse, reevìsse, reevāste, reevǫsse, reevússe.
Pour l'isonèphe, c'est -aire plutôt -urge car dans le cas de khédiv-, la sémantique étymologique renvoie à la notion de prince, roi, souverain, seigneur, maitre, divinité, hors contrairement au démiurge qui signifie littéralement qui travaille pour le peuple, il ne s'agit pas de travailler pour l'entité désigné par la base — sauf à considérer quelque monarque qui travaille pour sa seule vaniteuse gloriole.
- ↑ « La Molécule Bleue - Neovel, votre plateforme de lecture », sur neovel (consulté le 11 janvier 2024) : « — Bonjour Candice. Je n'imaginais pas que le poids des responsabilités m'assommerait si vite. — Vous êtes la Khédivesse du suzerain, la seconde en droit de suppléer à l'Héritière. — Je sais. Je lui ai présenté le sceau d'Amensis au retour d'Hontélyon. »
- ↑ E. Minnaert, Le Caire et la justice internationale en Egypte, P. Weissenbbuch, 1899 [lire en ligne]