Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-ownesse, own

Dans le corpus considéré, ne concerne que clown et poisson-clown. Il faut noter d’abord que clown est aussi bien employé de manière épicène qu’en alternance de clownesse.

Sur le plan étymologique, l’anglais à d’abord connu des variantes morphologique comme clowne et cloyne avant de se stabiliser sur clown[1]. Son origine antérieure reste controversée et donne possiblement :

  • d’un dialecte scandinave, par comparaison avec l’islandais klunni : camarade malhablie ou rustre, au suédois kluns : imbécile pénible, camarade malhabile, le danois klunt : bûche, bloc, qui peut être rapproché par exemple de tête de bûche ou de l’anglais blockhead : imbécile ;
  • d’un dilacte du bas allemand, par comparaison au frison klönne et au néerlandais kloen, personne malhabile ;
  • du latin colonus : colonist, paysan — cette hypothèse n’étant cependant souvent mentionné que pour mieux la désavouer.
  1. « clown | Search Online Etymology Dictionary », sur www.etymonline.com (consulté le 18 mars 2023)