Recherche:Une ville électronumérique
Ce texte est une présentation du monde informatique et du cyberespace tel que je l'ai découvert et appréhendé à travers ma propre histoire durant laquelle j’ai eu l’occasion de faire différentes recherches et expérimentations personnelles liées un travail universitaire de deuxième année de bachelier en sociologie-anthropologie intitulé « Un site de rencontres crée ou dévoile-t-il des inégalités entre les hommes et les femmes ».
Pour cette présentation du cyberespace, si je vais tenter de tirer profit de la métaphore de la ville, afin de rendre plus « visible » cet univers qui pourrait être incompréhensible à des personnes non initiées. Avant de commencer la rédaction de ce travail, j’ai pris la peine de me documenter sur l'anthropologie de la ville et sur la méthodologie en anthropologie en lisant deux ouvrages récemment édités dans la collection anthropologie prospective : Esquisses d'une anthropologie de la ville de Michel Agier (AGIER, 2009) et La rigueur du qualitatif de Jean-Perre Olivier De Sardan (OLIVIER DE SARDAN, 2008). En tant qu'autres sources de savoir, je tiendrai aussi à remercier Laurie, Hubert et Julien, qui m'ont aidé en tant qu’informaticiens à mieux comprendre leur univers de travail.
L'ordinateur esseulé
modifierEn septembre 2005, je décidais de m'abonner à une connexion Internet à mon domicile. Cela faisait des années que je n'utilisais plus l'outil informatique. J'avais bien un ordinateur, mais c’était un vieux Macintosh complètement obsolète que je gardais en me disant qu’il pourrait toujours me servir un jour pour retaper mon curriculum vitae. L’informatique, je n'en ai jamais été un grand fan, pas plus que la télévision d’ailleurs. J’ai bien eu des périodes où j’y consacrais pas mal de temps, mais ça m’est passé.
Mon vieux Macintosh, c’était mon premier ordinateur. Je l'ai acheté alors que je venais de rentrer d’Afrique en 1994. Comme j’avais un peu d’argent et de temps libre, j’ai décidé d’acquérir un ordinateur pour me familiariser un peu plus avec le monde de l'informatique. Si j’ai choisi un Mac plutôt qu'un PC, c’est parce que je m'étais déjà habitué aux fonctionnalités du Macintosh du bureau durant la réalisation d’une étude ethnobotanique intitulée Contribution à l'étude des espaces boisés et arbustes de la préfecture de Kissidougou (Scheepmans, 1993) et puis aussi parce que la marque venait de sortir une toute nouvelle série à des prix démocratiques.
Sur cet ordinateur, j’ai passé des heures et des nuits à jouer à des jeux de toutes sortes, à découvrir le contenu de CD-ROM, à retravailler sur mon CV, à revisiter mon travail d’ethnobotanique. J’ai acheté des magazines, installé des dizaines peut-être des centaines de logiciels gratuits parfois pour les désinstaller dès le premier essai. J’ai fait des backups qui prenaient toute la nuit. J’ai configuré, reconfiguré, re-reconfiguré mon installation pour la personnaliser, la rendre plus pratique, plus intuitive. Bref, j’ai été fasciné par l’interactivité, la plasticité, la puissance créatrice et adaptative de ce nouveau média, cette machine qui calcule, garde en mémoire, diffuse, transforme, du texte, des images, du son, une machine capable de monopoliser complètement la conscience de son utilisateur des heures durant.
Puis, les capacités de mon ordinateur sont devenues rapidement dépassées, et ce, d'autant plus vite que je l'avais acheté en promotion en raison du fait qu’il faisait partie d'une fin de série. Plus le temps passait, plus il aurait fallu que je réinvestisse de l’argent pour le rendre compatible avec les nouveaux programmes qui apparaissaient sur le marché. Je n'en ai pas ressenti l’utilité et mon ordinateur a commencé à prendre la poussière…
L'ordinateur connecté
modifierDix ans plus tard, avec l’ouverture et la démocratisation de l'accès à internet, j’ai ressenti à nouveau le besoin d’avoir un ordinateur. Cette fois, il n'était plus question de découvrir l'outil, mais l'espace auquel il me donnait accès. Et pour un accès internet, il n’est pas nécessaire d’avoir un ordinateur « dernier cri ». J’ai donc pu acheter un ordinateur d'occasion qui faisait très bien l'affaire, un PC cette fois, question de découvrir une nouvelle configuration d'utilisation. Vous trouverez la description de mes premières expériences dans l’introduction d'un autre travail de recherche intitulé Nouvelles formes de Management dans la création de produits numériques.
Aujourd’hui, l'accès à internet m’est devenu indispensable. L'ordinateur connecté à internet a remplacé la télévision que je n'ai jamais eue, ma boîte aux lettres (celle accrochée sur ma façade reste vide la plupart du temps), mon téléphone fixe et portable que j’ai fini par abandonner pour des raisons d'économie et de tranquillité, ma bibliothèque que je consulte de plus en plus rarement, et bien d'autres choses encore à tel point que sans cette connexion, sans cet accès aux données et informations numériques, je me retrouverais rapidement dans une situation problématique, voire catastrophique.
Mais au fait, quelle est cette chose appelée Internet, dont je suis devenu si dépendant ?
Une connexion internet, c’est une porte d'accès à un réseau d'ordinateurs interconnectés sur lequel se trouve un ensemble de données et d'informations numériques stockées et véhiculées sur et par un support électromagnétique et plus récemment optique. Il s'agit donc d'un espace ayant à la fois une composante matérielle et une composante immatérielle.
Pour l'utilisateur que je suis, le cyberespace, c’est physiquement parlant et en premier lieu, l'ordinateur que j'utilise. De nos jours, un ordinateur peut tenir dans une main et être connecté à internet à peu près partout dans les espaces habités par l'homme. L'accès à internet devient donc illimité dans le temps et dans l'espace. Cet ordinateur quand je l'utilise, c’est quelque part une extension audio visuelle de mon corps. C'est lui qui me sert d'intermédiaire ou « d'interface » entre mes sens et l'information numérique incommensurable que contient et véhicule le cyberespace.
Autrement dit, c’est lui qui me donne « physiquement » ou « sensoriellement » accès aux signaux numériques et informatiques provenant du cyberespace en les transformant en images et en sons perceptibles et compréhensibles par l'homme. La communication dans le cyberespace est essentiellement audiovisuelle, même si l'encodage des informations passe encore souvent par l’utilisation d'un clavier pour la communication textuelle ou d'autres périphériques ergonomiques d'intrant pour la manipulation et la transformation de ce qui est visible et audible via ordinateurs[N 1].
Si dans le monde informatique, on utilise souvent le terme « numérique », c’est parce que la composante conceptuel du monde informatique a pour support une écriture appelée « langage binaire » dont le code d'écriture ou disons l'alphabet, est composé de deux signes, ou commandes : le « un » et le « zéro ».
Tous les ordinateurs utilisent ce même alphabet, mais ils ne parlent pas tous la même langue ou pour le dire correctement : le même « langage machine », un peu comme l'italien et le français utilise le même alphabet, mais le configure différemment pour signifier la même chose.
D'autres langages binaires variés que l’on appelle « protocoles » sont aussi utilisés pour le transfert d'informations sur les réseaux informatiques. Par convention dans le langage binaire, le « 1 » commande l'ouverture, le « 0 » la fermeture. C'est d’ailleurs le premier signal et la première opération nécessaire pour mettre en fonction la plupart des appareils électroniques. Lorsque l’on met le bouton d'allumage d'un ordinateur sur la position d'ouverture ou que l'on ouvre l'alimentation électrique d'un appareil, on appuie généralement sur le symbole « I » alors que si on appuie sur le « O » on commande sa fermeture.
Dans le cas d'un ordinateur, le bouton de démarrage sert à lancer la lecture d'un premier « programme » qui n'est rien d’autre qu'un scripte (ou texte) en langage binaire (composé d'une succession de symboles « 1 » et « 0 ») qui va commander et faire fonctionner d'autres programmes qui vont tous ensemble gérer le fonctionnement de l'ordinateur, et ce, aussi bien dans sa partie matérielle qu'immatérielle. Tous ces programmes se trouvent dans différents lieux de stockage appelés mémoires que peuvent être un disque dur, un CD-ROM, une clef U.S.B., etc.
Le cyberespace, nous l'avons déjà vu, est donc composé d'ordinateurs liés en réseau, autrement dit connectés les uns aux autres via différents systèmes de transmission par impulsions électriques, optiques ou électromagnétiques. Il n’y a donc dans le cyberespace toute une architecture matérielle, sans pour autant qu’il n'y ait aucun échange de matière en soi. Ceci est un fait très important, car dans le cyberespace, on peut tout partager sans d'autres frais qu'un accès au réseau Internet. Les textes, les sons, les images contenus sur un ordinateur contenu sur un ordinateur distant une fois rendus accessibles peuvent de plus êtres copié et multiplié à partir du moment où comme nous le verrons plus loin leur accès n'est pas payant.
Un ordinateurs connecté sur Internet dans le but de partager de l'information est souvent appelé un « serveurs informatique » un nom qui conviendra tout aussi bien dans le cadre d'un réseau domestique ou privé. Les serveurs sur internet sont en général de gros ordinateurs ayant accès à des connexions plus rapides pour servire efficacement un nombre important de requète ou autrement dit de demande d'information situé généralement sur son ou ses disques dur.
Pour des raisons d'accès, ces ordinateurs restent allumés 24 heures sur 24, et la vitesse de transfère des informations contenues sur leurs disques dur ou leurs connexions à haut débit est extrêmement rapide pour permettre un accès simultané à de nombreux ordinateur d'internautes. Pour comprendre le cyberespace, il est donc important de connaitre l’existence de ces serveurs, car ils sont d'une grande importance dans tout ce qui concerne les questions de propriété.
En effet, chaque fois que l’on « upload », c'est-à-dire que l'on dépose des informations sur Internet, ou sur le cloud pour reprendre une expression commune à ce jour, que ce soit du texte, des photos, des films ou autre, on l'enregistre dans la mémoire d'un de ces gros ordinateurs. De ce fait, toutes les informations non cryptées enregistrées sur un serveur pourront être lues voir réutilisées dans certains cas par le propriétaire du serveur selon les termes du contrat de stockage souvent méconnus par les dépositaires d'information.
Aussi, en cas de litige, la législation en vigueur sera bien souvent celle du pays où se trouvent stockées les informations et donc celle où se trouve la présence physique des serveurs. Ce genre de litige n'est par rare comme en témoinge les nombreux cas recenssés au niveau de l'utilisation de la plate-forme et du réseau social Facebook[W 1].
Grâce à ces explications, nous pouvons à présent mieux comprendre que les deux composantes, matérielles et immatérielles du monde informatique et du cyberespace, sont très étroitement liées et interagissent en permanence. Les programmes, ordres écrit en alphabet binaire, commandent le matériel qui traite et stocke des informations dans les espaces de mémoires en étant susceptible de la sorte de modifier ainsi le comportement des programmes eux-même Ce jeux de va et vient entre commande et modification du code informatique peut ainsi parfois paralyser un système informatique dans une boucle sans fin parfois rechercher par les créateurs de virus.
Il me semblait donc important de rappeler que derrière chaque ordinateur connecté au cyberespace, il y a un ou plusieurs êtres humains propriétaire qui façonnent, construisent, développent dans un processus continu un espace matériel et immatériel avant d'utiliser la ville dans une méthaphore euristique comparative qui a pour but d'humaniser un espace souvent très obscure pour qui ne comprend pas grand chose à son aspect technique.
La découverte de « Cyberespace city »
modifierÀ mes premiers pas dans le cyberespace, je me suis retrouvé comme un touriste dans une grande ville cosmopolite. On y arrive souvent pour la première fois dans le but de visiter un « site » dont nous avons l'adresse et dans lequel se trouve l'information dont nous avons besoin. Le site que l’on cherche doit forcément se trouver sur un ordinateur mais pour y avoir accès il faut connaître son adresse. Aussi, pour ordonner et simplifier leurs lectures, les adresses internets sont répertoriées par quartiers ou « domaines » comme on les appelle dans la ville « Cyberespace city ».
Il y a par exemple différents domaines indiquant une relation quelconque avec un pays quelconque, comme le domaine «.be» ou l’on y retrouve pas forcément des ordinateurs situés en Belgique, mais dans tous les cas utilisés par des gens ou organismes qui portent un certain intérêt au pays. Dans les domaines, on peut y trouver des «sous domaines». Le sous domaine «.ac», par exemple, indique qu’il s'agit de l'adresse d'un ordinateur dont le ou les utilisateurs sont sensés être liés aux activités académiques.
En connaissant le nom d'une université, et le pays dans laquelle elle se situe, il devient alors facile de déduire l'adresse complète du serveur principal: «http://www.ucl.ac.be/», «http://» indiquant le protocole (ou langage informatique) utilisé pour la communication. Quant au «www» (acronyme anglais de Word Wide Web soit en français, grande toile mondial), il signifie que l'adresse est un endroit public accessible à tous les utilisateurs d'internet via un « navigateur » qui n'est rien d’autre que le programme permettant à un ordinateur de « naviguer » dans les informations situés sur les différents ordinateurs connectés à Internet. Le regroupement des sites peut aussi se faire en fonction des secteurs d'activités. Par exemple, le domaine «.org» regroupe les organismes, le domaine «.com» rassemble les sites commerciaux, etc.
À partir du moment où l’on est dans l'espace public de « Cyberespace city » et que l’on a un peu de temps devant soi, il peut être tentant d'y faire un petit tour. Mais dans ce cas, il vaut mieux avoir un guide appelé ici « moteur de recherche », car dans cette grande ville, il n'existe pas de carte pour s’orienter d'où la nécessité d'avoir un guide. Ils sont plusieurs dizaines, mais le plus connu s’appelle Google et pour le visiteur de la ville, il est gratuit. Il est multilingue, mais pour qu’il parle votre langue, il faut le contacter dans le domaine approprié comme par exemple « .fr » pour le français.
Grâce à notre navigateur et en compagnie de notre moteur de recherche, on peut donc faire du tourisme dans « Cyberespace city », et visiter ainsi la ville de site en site et de page en page. Le moteur de recherche nous dirigera en fonction de nos intérêts et de notre curiosité vers les sites les plus renommés en fonction des informations que nous lui donnons. Cependant, si ces moteurs de recherche ne sont que des robots, il ne faut pas être dupes car ils sont dressés par des hommes qui peuvent influencer le choix des proposition faite par le robot. Et l’intérêt de ces hommes qui travail sur ces robot reste bien sûr les gain que peuvent leurs rapporter la publicité affichées en même temps que l'information.
Mais le jeu en vaut la chandelle et cela ne nous empêche pas d'observer les vitrines des magasins «en ligne» de notre choix où l’on peut y acheter des biens avec les codes d'une carte bancaire appropriée. Les biens sont livrables à domicile, soit le votre s’il s'agit de bien matériels, soit celui de votre ordinateur s’il s'agit de bien « numérisés » comme du texte, des programmes informatiques, de la musique, des films, etc. Dans « Cyberespace city » il existe de tout y compris par exemple des sites pornographiques.
En novembre 2007, sur l’ensemble de la ville, un site sur cent proposait de la pornographie (PHILIP, 2007, 15). Et quelle que soit la nature du site, il est toujours conseillé de se méfier des «virus» qui risquent d'infecter votre ordinateur pour autant que celui-ci n’est pas protégé par un bon antivirus mis à jour. Certains ordinateurs ont une meilleure immunité par la nature au niveau de l’ensemble des programmes qui les font fonctionner l'ordinateur et que l’on appelle: « système d'exploitation ». Parmi les systèmes d'exploitation les plus connus, à savoir, GNU Linux, Macintosh OS et Microsoft Windows, le dernier est de loin le plus sensible au virus mais curieusement reste toujours le plus plus utilisé.
Je pourrais ainsi continuer ma description du cyberespace par analogie avec la ville en faisant par exemple référence aux boites postales que sont les « adresses email », aux agences immobilières que sont «les hébergeurs de site Web», aux sites de rencontres comme celui que j’ai pu observer lors de mon travail de sociologie, au cinéma « YouTube », à la salle de vente « Ebay », aux musés, banques, écoles et ainsi de suite, mais malheureusement, l'espace qui m'a été attribué pour ce travail ne me le permettra pas. Place donc à la conclusion.
Conclusion
modifierAvant de terminer cet exercice, j'aimerais apporter l'attention sur la valeur heuristique qu’apporte le rapprochement du cyberespace au milieu urbain. Celle-ci réside, me semble-t-il, dans le fait que certains thèmes et analyses déjà existants en anthropologie de la ville pourraient être exploités dans le cadre du cyberespace. Je pense notamment aux analyses faites sur les thèmes tels que le nomadisme urbain, l’exclusion, les non-lieux, la culture métisse, etc.
Quant aux particularités de cet espace urbain « élctronumérique » que forme le cyberespace, nous pouvons certainement dire qu’il s'agit d'un espace de grande liberté, en partie auto-régulé par les utilisateurs, un espace de liberté à l'origine de l’émergence d'une culture alternative, peut-être même d'une révolution latente qui semble remettre en cause certaines valeurs et normes tant économiques que politiques.
Ce sujet fait déjà l’objet d'une littérature avec, pour exemple, trois auteurs qui me passent par l'esprit: Lazaro qui nous parle de La liberté logiciel (LAZARO 2008), Joël De Rosnay qui nous parle de La révolte du pronétariat (DE ROSNAY 2006) ou encore Thierry Crouzet qui écrit sur Le peuple des connecteurs (CROUZET 2006) qui, selon lui, ne votent pas, n’étudient pas, ne travaillent pas, mais changent le monde.
Dans le cyberespace, les lieux sont accessibles quasiment instantanément au départ d'un même ordinateur. Cette compression de l’espace-temps permet une accélération importante dans la diffusion des informations et du savoir au sein de l'humanité où la fracture numérique ne cesse de se réduire. Pourrions-nous en émettre l'hypothèse que cette accélération des information pourrait entraîner une accélération plus globale dans l'évolution et les changements historiques de notre humanité tout entière ?
L'hypothèse est crédible bien qu’il soit encore tôt pour y apporter réponse. D’ailleurs, ne poussons pas plus loin la spéculation, le temps est venu de terminer ici la lecture de ce travail, pour vous donner rendez-vous dans un travail ultérieur, mon mémoire de fin de master, dans le quelle je compte approfondir le sujet à travers de nouvelles observations et de nouvelles analyses.
Notes
modifier- ↑ Remarquons au passage qu’il existe aussi d'autres types d'émetteurs et récepteurs ergonomiques spécialisés pour les amateurs de jeux ou les personnes comportant certains handicapes moteurs. Et pour ces derniers, le cyberespace devient donc un espace très attractif par son accès et sa convivialité.
Webographie
modifier- ↑ Zone Bourse, « Bons résultats pour Facebook malgré le coût d'un litige juridique | Zone bourse », sur www.zonebourse.com (consulté le 27 octobre 2020)
Bibliographie
modifierAGIER M., 2009, «Esquise d'une anthropologie de la ville Lieux situations, mouvements», Academia Bruyant, collection anthropologie prospective, Louvain-la-Neuve.
CROUZET T., 2006, «Le peuple des connecteurs: Ils ne votent pas, ils n’étudient pas, ils ne travaillent pas... mais, ils changent le monde, Bourin éd, Paris.
DE ROSNAY J., 2006, “La révolte du pronétariat”, fayard, transversales, Paris.
LAZARO C., 2008, “La liberté logicielle: une ethnographie des pratiques d’échange et de coopération au sein de la communauté Debian", Academia Bruyant, collection anthropologie prospective, Louvain-la-Neuve.
OLIVIER DE SARDAN J.P., 2008, "La rigueur du qualitatif Les contraintes empiriques de l'interprétation socio-anthropologique’, Academia Bruyant, collection anthropologie prospective, Louvain-la-Neuve.
PHILIP B., 2007, «The Effectiveness of Internet Content Filters», Departement of Statistics, University of California, Berkeley. Accessible en ligne à l'adresse: http://docs.google.com/viewer?url=http%3A%2F%2Fwww.stat.berkeley.edu%2F%7Estark%2FPreprints%2Ffilter07.pdf