« Recherche:L'infini variable/ensemble volumique » : différence entre les versions

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On ne peut pratiquer un découpage, dans l'''espace'' (tranchage), dans le ''temps'' (séquençage), et ''dans l'espace-temps'' (ordonnancement) sans identification des points de basculement et des marqueurs de fin qui permettent de différencier les éléments-objets et leur état de complétion. Cette remarque anodine permet une différentiation de l'effet de zoom et du découpage. Pour fixer l'idée, on peut « défaire » un puzzle en ses n morceaux composants par diminution de la consistance unitaire, et on peut réduire chaque morceau en p fragments de consistance non définie. Le résultat donne toujours des ensembles dénombrables infinis dans un volume comparable dont la consistance a varié.
 
Pourtant, nous pouvons percevoir une « distinction » de l'ordre du <u>naturel</u> ou de l'<u>artificiel</u>. Notre monde, intelligent donc sémantique, est alors ''fini par morceaux'', quelque soit la ''taille'' des morceaux. L'objectif final serait alors un « bloc » compact, séparable en parties autonomes liées (cs-connectées). La consistance du bloc, ou des parties, est 1, correspondant à la bascule élément-ensemble-objet. Ceci suppose qu'il existe un « état » final unique assemblant toutes choses : un ensemble contenant TOUS les ensembles considérés comme éléments, ou, mieux, un graphe contenant tous les graphes, permettant l'échange sémantique par l'opérateur logique ¬. Le marqueur de fin devient ainsi un « marqueur de début» dans un '''anti-monde'''.
Pourtant, nous pouvons percevoir une « distinction » de l'ordre du <u>naturel</u> ou de l'<u>artificiel</u>.
 
== Applications pratiques ==