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=== Découpage minimal ===
« Il existe un objet minimal qui appartient à tous les ensembles » parait être une conséquence logique de ce qui précède. Et nous pouvons ajouter : « cet objet est de taille 1 ». Il possède un point stationnaire et un marqueur de fin (ou un point de basculement unique). Reste à le définir.
 
Sur un plan philosophique, l'existence d'un tel module fondamental semble naturelle pour « organiser » le volume créé, c'est-à-dire y appliquer des lois d'ordre, d'équivalence, d'analogie ... ; établir des normes métriques et vectorielles ; développer des programmes d'agencement modulaires ; bref, gérer une mécanique globale en permettant un passage intelligent de RIEN à TOUT. La conscience apparait avec un différentiel d'observations. Elle permet d'influer sur une trajectoire dans l'intervalle séparant deux états intermédiaires discrets, aussi rapprochés soient-ils.
 
'''« Une intelligence sans conscience est une intelligence sans intelligence, une contradiction radicale, une hypothèse, une chimère. »''' ({{w|Kant}}). Nous pourrons ajouter que l'intelligence est d'autant plus « pointue », que la conscience est « fine » (perception sur un intervalle réduit). À la limite, l'intelligence absolue est la perception <u>instantanée</u> d'un gradient. Quel réflexe ! Faire varier l'infini en fractionnant la consistance n'est-il pas un leurre en soi ? Que vaut π autrement que lui-même ? Pour nous, il est la concordance parfaite de l'espace et du temps permettant de construire une structure.
 
Un volume sans objet minimal est indénombrable, déraisonnable, inaccessible, non organisable. C'est un mode sémantique non-intelligent qui ne peut s'éclairer que par l'inclusion de cet objet minimal qui fait que tout devient dénombrable, raisonnable, accessible, organisable. N'est-ce pas là une fameuse « bascule » ?
 
== Applications pratiques ==