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De [[Utilisateur: Lionel Scheepmans|Lionel Scheepmans]]
{{Sommaire à droite}}</noinclude>
Il existe dans l'espace numérique Wikimédia comme sur l'ensemble de l'espace Web, d’innombrables archives au départ desquelles il est possible de revivre les évènements qui ont conduit à la naissance du mouvement. Toutes ces archives font partie d'un d'un espace informatique bien plus vaste encore que je nome « écoumène numérique » dans le but d'y voir un lieu d'activité humaine comparable, dans une certaine mesure, à ce qui se passe en dehors de l'espace numérique. Selon ma vision des choses en effet, l'espace que représenteconstitue le système informatique global fut petit à petit [[w:fr:Anthropisation|anthropisé]] au même titre que le fut antérieurement l'espace terrestre nommé [[w:fr:écoumène|écoumène]].
 
C'est au sein de la partie archivée de cet espace que j'ai récolté ce qui me semblaient être les informations les plus importantes, mais aussi les plus pertinentes, en vue de mes analyses futures. Cette sélection est bien sûr à la fois limitée et subjective. Cependant, rien n'empêche le lecteur de poursuivre ses propres recherches en parcourant lui-même ces archives au départ des nombreuses références que j'ai produites sous forme d'[[w:fr:hyperlien|hyperliens]]. Tous ces liens offrent ainsi la possibilité de consulter d'autres informations adjacentes qui n'auraient pas été retenues par mes soins, afin d'en évaluer l'importance, et de ce fait, resituer selon des critères autres que les miens, la pertinence de mon argumentation.
 
Pour bien comprendre l'histoire de Wikimédia, il m'a semblé indispensable de parler de sa préhistoire. Cette démarche se justifie d'une part, par le simple fait que sans l'avènement d'une multitude d'évènements antérieures au mouvement, celui-ci n'aurait jamais vu le jour, mais aussi d'autre part, parce que sans avoir saisi les enjeux du développement de l'espace informatique, il me semble très difficile, voire impossible, de saisir pleinement les enjeux que soulevèrentsoulèvent le développement du mouvement Wikimédia.
 
C'est à partir de 2005 et grâce au site [[w: fr: Framasoft|Framasoft]]<ref group="W">{{Lien web|langue=fr|auteur1=Framasoft|titre=Changer le monde, un octet à la fois|url=https://web.archive.org/web/20201012224115/https://framasoft.org/fr|site=|date=12 octobre 2020|consulté le=2020-11-02}}</ref>, que j'ai eu l'opportunité de découvrir les racines du mouvement Wikimédia. Créé moins d'un an avant la version francophone de Wikipédia, ce réseau francophone d'éducation populaire, m'a effectivement fourni une documentation concernant le développement du système informatique, d'Internet et des applications qui s'y sont développées. C'était durant mes premiers pas sur le Net et peu de temps après la démocratisation de l'[[w: fr: ADSL|ADSL]] dans mon pays. Je venais de faire l'acquisition d'un ordinateur d'occasion équipé d'un microprocesseur [[w: fr: Pentium|Pentium]] sur lequel tournait le [[w:fr:Système d'exploitation|système d'exploitation]] [[w: fr: Windows XP|Windows XP]].
 
Dans cette situation, le site Framasoft avait retenu toute mon attention, puisqu'il répertoriait une liste de logiciels librement et légalement téléchargeables, alors qu’au sein de mon entourage les gens utilisaient généralement des versions « craquées » de logiciels commerciaux. Après avoir profité de cette gratuité de manière légitime, je me suis ensuite intéressé à la philosophie de partage qui en était à l'origine. Au fil de mes lectures, j'ai fini par découvrir l'existence des [[w: fr: Logiciel libre|logiciels libres]], mais aussi et surtout peut-être, de [[w: fr: Richard Stallman|Richard Stallman]] en tant qu'initiateur du [[w:fr:mouvement du logiciel libre|mouvement du logiciel libre]] et de sa philosophie.
 
Un an plus tard, dans le cadre de ma première année de bachelier en socio-anthropologie, ma passion pour le sujet m'avait déjà inspiréconduit à réaliser un travail consacré aux ''[[Recherche: Nouvelles formes de management dans la création de produits numériques|Nouvelles formes de management dans la création de produits numériques]]''<ref group="B">{{Lien web|langue=|auteur1=Lionel Scheepmans|titre=Nouvelles formes de management dans la création de produits numériques|URL=https://fr.wikiversity.org/wiki/Recherche: Nouvelles_formes_de_management_dans_la_création_de_produits_numériques|site=|lieu=Wikiversité|date=2006|consulté le=2020-08-12}}</ref>. C'est donc sur base de cette première expérience de recherche et des nombreuses autres réalisées durant mon parcours universitaire, que repose cette présentation sur la préhistoire du mouvement Wikimédia. Le but de ce parcours est de découvrir les soubassements d'une révolution culturelle, que je préfère pour ma part qualifier de « contre-culturelle », qui aura traversé le [[w:fr:Mouvement du logiciel libre|mouvement du logiciel libre]] avant de se transmettre au mouvement Wikimédia suite à l'arrivée du [[w: fr: Web 2.0|Web 2.0]].
 
=== L'écoumène numérique ===
 
Alors que l'on parle de Système d'information géographique numérique ([[w:fr:Système d'information géographique|SIG]])<ref group="B">{{Article|langue=|prénom1=Jean-Louis|nom1=Tissier|titre=L'écoumène à l'ère numérique|périodique=Médium|volume=35|numéro=2|date=2013|issn=1771-3757|lire en ligne=https://www.cairn.info/revue-medium-2013-2-page-82.htm|pages=82}}</ref>, c'est au sein même du système informatique qu'est apparu une extension de l'[[w:fr:Écoumène|écoumène]] terrestre que je nome pour ma part « écoumène numérique ». Ce nouvel espace se situe dans une intersection [[w:fr:Émergence|émergente]] entre deux des espaces répertoriés par [[w:fr:Vladimir Vernadski|Vladimir Vernadski]] que sont [[w:fr:Noosphère|noosphère]], réputée sphère de la pensée, et la [[w:fr:Technosphère|technosphère]], definie comme sphère résultante des activités humaines. ICe nouvel L'écoumène numérique se distingediférencie donc des trois autres espaces investis par l'homme que sont la [[w:fr:Lithosphère|lithosphère]], bien que les composants informatiques en soient pour la plupart issus, l'[[w:fr:Atmosphère|atmosphère]], bien que cette espace soit parcouru par des ondes communicationnelles produites au sein de la technosphère, et finalement la [[w:fr:Biosphère|biosphère]], bien que l'ingénérie génétique et autres sciences apparentées rendent lasa frontière avec la technosphère de plus en plus ténue.
 
Jusqu'à ce jour, l'écoumène numérique ne pourrait donc être considéré comme quelque chose de vivant au sens biologique du terme., Maisalors qu'il peut l'être pard'un contrepoint aude sensvue socio-historique du terme. EtCeci cecice estjustifie d'autantpar plusle vraifait qu'il s'y déroule une part toujours plus gande de l'activité sociale humaine quis'y déroule et qu'une fois celle-ci archivée, elle se transforme en documents historiques. Grâce l'[[w:fr:Interface (informatique)|interface]] que constituent l'ensemble des personnes en interaction avec le système informatique, l'écoumène numérique a donc comme spécificité importante de pouvoir archiver l'activité humaine de façon plus complètes que tout ce qui avait été fait au par avant. Comparé aux écritures anciennes ou de tout autres types d'artéfacts analogiques, l'espace numérique, qui par ailleurs est devenu le lieu de stockage privilégie de tous types d'archives, offre aujourd'hui une capacité d'enregistrement et de partage sans limite théorique.
 
Pour [[w:fr:Arjun Appadurai|Arjun Appadurai]], cet espace de globalisation du savoir nous invite à revoir notre compréhension de la mondialisation<ref group="B">{{Article|langue=|prénom1=Arjun|nom1=Appadurai|titre=Globalization and the research imagination|périodique=International Social Science Journal|volume=51|numéro=160|date=1999|issn=0020-8701|lire en ligne=https://www.deepdyve.com/lp/wiley/globalization-and-the-research-imagination-ISWPqEaUTO|pages=229}}</ref><ref group="N">En anglais : ''globalization of knowledge and knowledge of globalisation'' </ref>, tel que le fait d'ailleur brillament je trouve Boris Beaude lorsqu'il écrit : <blockquote>Internet est le seul espace que nous ayons toujours en commun ! Bien qu'il se limite à des relations informationnelles, cette qualité suffit à lui conférer une efficacité considérable. on a longtemps commis l'erreur de ne pas le considérer comme un espace, mais comme une simple technologie de communication. Or, l'espace est une composante fondamentale de notre existence. Il ne sert pas de cadre ou de support à notre relation au Monde, il est notre relation au Monde. Souvent, nous pensons l'espace comme ce qui est là, autour de nous. Mais ce qui est autour de nous (les objets, les individus, notre environnement biophysique ou social) est situé, tout comme nous. L'espace ne commence pas hors de nous, car nous serions dès lors toujours l'espace de quelqu'un d'autre. L’espace, ce n’est que l’ordre des choses, leurs relations et leur agencement. Internet est un espace en ce sens, le plus fort, le plus puissant, celui qui conditionne notre expérience du Monde, notre capacité à agir. C'est en relation avec ce qui nous entoure que nous existons, que nous nous projetons et que nous vivons. Internet est en cela l'un des plus puissants espaces qui organisent le monde contemporain.<ref group="B">{{Ouvrage|langue=|prénom1=Boris|nom1=Beaude|titre=Internet : changer l'espace, changer la société|passage=66|éditeur=FYP editions|date=2012|isbn=978-2-916571-69-0|lire en ligne=https://web.archive.org/web/20210523115412/http://www.beaude.net/icecs/}}</ref></blockquote>
[[Fichier:Lawiscodeieufi-140122050206-phpapp02.pdf|alt=Page de garde d'une présentation de Lionel Maurel sur les conséquence de la guerre au partage sur l'architecture d'Internet|vignette|Fig. Page de garde d'une présentation de Lionel Maurel sur les conséquence de la guerre au partage sur l'architecture d'Internet (source : https://w.wiki/3Qx9).]]
MalheureusementCependant, utiliser le terme Internet de façon générique peut apparaitre quelque peut maladroit dès lors que l'on veut décrire en détail à quoi ressemble l'écoumène numérique. quiCe dernier ne se limite effectivement pas à tout ce qui fut rendu possible au sein du réseau Internet, mais bien à toutestous les lieux de « relations informationnelles » pour reprendre les termes précédement utilisés, réaliséecréé par les êtres humains au sein des systèmes informatiqueinformatiques, et ce, peu importe qu'ils soient connectés ou non. Pourquoi les ordinateurs personnelles ou smartphones non connectés Internet, ou encore d'autres ordinateurs centraux reliés à plusieurplusieurs terminaux, etainsi desque les réseaux [[w:fr:Intranet|intranet]] ou extranet autre qu'Internet, ne pourraient-ils pas être reprisreconnu aucomme seinpartie intégrante de l'écoumène numérique. LeÀ lui seul, le mot [[w:fr:Internet|Internet]], ne désigne en effet à lui seul qu'un seul type de réseau informatique, parmis d'autres, quiet aurontnon permispas laun création d'espace numérique investità parproprement lesparlé, êtresqui humainsselon moi se situe d'avantage au niveausein des ordinateurs et de leurs interactionsmémoire qu'au sein des réseaux qui les socialesconnectes.
 
LaOn voit par ailleurs très souvent apparaitre certaines confusionconfusions entre le réseau [[w:fr:Internet|Internet]], [[w:fr:Web|l'espac web]], l'infrastructure informatique mondiale, l'espace numérique qu'ilcréé fitpar naîtrecette infrastructure, et la partie de cet espace habitée par l'homme et au sein de celuilaquel [[w:fr:Web|l'espachomme web]]développe quiune nouspart préocuperade très prochainement est trèssa courantesociété. Pour remédier à ce grand floueaux conceptuelconfusions, mj'estaime ainsipour venuma l'idéepart de mobiliser une « métaphore vive »<ref group="B">{{Ouvrage|langue=Undetermined|auteur1=|prénom1=Paul|nom1=Ricœur|titre=La métaphore vive.|passage=|lieu=|éditeur=Éd. du Seuil|date=1985|pages totales=|isbn=978-2-02-002749-6|oclc=1070245546|lire en ligne=|consulté le=2020-12-05}}</ref>, celle d'''[[Recherche: Une ville électro numérique|uneutiliser villedes informatiquetermes urbanistiques]]''<ref group="B">{{Lien web|langue=|auteur1=Lionel Scheepmans|titre=Recherche: Une ville électro numérique — Wikiversité|url=https://web.archive.org/web/20201104011900/https://fr.wikiversity.org/wiki/Recherche: Une_ville_%C3 %A9lectronum%C3 %A9rique|site=|lieu=Wikiversité|date=2011|consulté le=2020-11-04}}</ref>. Lepour butdécrir del'espace celle-ciinformatique estau travers d'offrir une « métaphore vive »<ref group="B">{{Ouvrage|langue=Undetermined|auteur1=|prénom1=Paul|nom1=Ricœur|titre=La métaphore vive.|passage=|lieu=|éditeur=Éd. du Seuil|date=1985|pages totales=|isbn=978-2-02-002749-6|oclc=1070245546|lire en ligne=|consulté le=2020-12-05}}</ref>. Cette « redescription heuristique de la réalité »<ref group="B">{{Ouvrage|langue=|auteur1=|prénom1=Jean-Patrice|nom1=Ake|titre=Une lecture africaine des trois métamorphoses de l'esprit de Nietzsche|passage=14|lieu=|éditeur=Harmattan|date=2014|pages totales=|isbn=978-2-343-03941-1|lire en ligne=|consulté le=2020-12-05}}</ref> pouroffre permettreainsi aux personnes peu familières avec le domainejargon de l'informatique, de contourner lace complexitéproblème. langagièreCe afintype de mieuxméthaphore distinguer les choses. En plusest de rendre l'espace numérique plus compréhensible, cette démarche permetune aussiopportunité de mieux comprendre àles quelincidences pointqui touspeuvent changementsdirectement structurels au sein de l'écoumène numérique peut affecter directementtoucher la vie des êtresutilisteurs humainde qui le fréquente. Utiliser les mots familiers que l'on utilise pour décrire une ville en remplacement des termessystèmes informatiques gardés entre parenthèses permet effectivementlors de mieuchangements comprendre les enjeux qui sestructurels cacheimportant au sein de l'écoumène numérique.
 
Dans l'espacecette otpique, une infrastructure informatique mondialpeut queêtre représenteperçue l'ensemblecomme desun infrastructures« informatiquevillage et» donclorsque lacelui-ci totalitése deslimite informationsà numérisées,un ilpetit existentnombre desde « maison » (ordinateurs) reliées localement par un « réseau routier local » (réseaux [[w:fr:Intranet|intranetsintranet]]) dontcomposé l'accèsde estroutes, lechemins pluset souventsentiers privédivers et(cable réservé[[w:fr:Ethernet|ethernet]], à[[w:fr:Wi-fi|Wi-fi]], un[[w:fr:Bluetooth|bluetooth]], nombreetc). limitéDans d'ordinateursle interconnectéscas quiou sicertains ilaccès sontroutier égalementoffrent connectéune auconnexion avec l'extérieur du village (réseau [[w:fr:Internet|Internet]] mondialpar et publicexemple), établissentceux-ci lasont plupartalors dule tempsplus unesouvent frontièreéquipés entred'un lesposte deuxde résaucontrôle quelimitant l'onle appeltransit aux visiteurs de confiances ([[w:fr:Pare-feu informatique|pare-feu informatique]]). DansAu ce contexte, la métaphoresein d'uneun village (infrastructure informatique connectéelocale àau un réseau intranet sera donc celle d'un village (le réseau informatiquesein d'une entreprise par exemple), tout chacunle monde se connait et se fait confiance, bien''a qupriori''. Mais il soitest toujours possible de « fermer sesl'entrée de sa portespropriété à clef » (protéger l'accès à son ordinatuer par un [[w:fr:Mots de passe|motsmot de passe]]) et même de « fermer sesla porte et les rideaux de sa maison » ([[w:fr:Chiffrement|crypter]] le contenu du disque dur et le protéger par un mot de passe), pourceci afin d'éviter qu'une connaissancefois quila emprunteraitgrille uned'entrée routeforcée ou(forçage d'un sentiermot de passe), un visiteur puisse y découvrir l'intérieur ([[w:fr:Ethernet|ethernet]]disque dur) pour y voler des choses, le cas échéant, ou les prendre en photo (suppression ou copie des [[w:fr:Wi-fiFichier informatique|Wi-fifichiers informatiques]]). puisseDans venird'autre regardercas cefigures, queil lest aussi possible qu'onun faitvisiteur enmalveillant regardanty parinstalle lades fenêtresystèmes, ettransmissibles mêmede pourquoimaison pasen fairemaisons deslors photosde (copiecertains d'écranéchanges, oudans un but de destruction ou d'espionnage ([[w:fr:FichierVirus informatique|fichierVirus informatique]], ou[[w:fr:Cheval encorede enregistrementtroie d'une(informatique)|Cheval communicationde troie]], ect.).
 
MêmeAlors sique la métaphore du « village planétaire » fut déjà utilisé pour dénoncerdécrire une certaine [[w:fr:L'utopieUtopie de la communication|utopie''Utopie de la communication'']] qui ne put finalement échapper à la violence et l'exclusion<ref group="B">{{Ouvrage|langue=|prénom1=Philippe|nom1=Breton|titre=L'utopie de la communication|lieu=Paris|éditeur=La Découverte|date=2020|isbn=978-2-348-06559-0|oclc=1191840220|consulté le=}}</ref>, la métaphorecelle de la ville me semble toute fois beaucoup mieux adaptée pour décrire cel'infrastructure quiinformatique semondiale passeconnectée auà niveauInternet ou autres types de l'infrastructureréseaux informatiquepublics connectéequi auéchappaient réseauà Internetma connaissance. Car dans cette ville informatique quidont l'accès, ne l'oublions pas, n'est accessiblepayant qu'aprèsau avoirniveau payéde sonceux droitqui d'entréeen auouvre niveaules deporte ses portesd'entrée ([[w:fr:Fournisseur d'accès à Internet|fournisseur d'accès à Internet]]), il devientest impossible decomme connaitredant toutestoute lesle personnes actives au seinville, de sonconnaitre espacetous etle encoremonde moinsni tout ce qui s'y passe. D'ailleursOn touty retrouve de plus, comme au village, mais à uneplus grande échelle plus importante, communique entre eux toute une série d'objets qui communiquent entre eux ([[w:fr:Internet des objets|Internet des objets]]) sans que l'on soitpuisse toujours au courant desavoir ce qu'ils s'échangent entre eux. À côté de cela heureusementHeureusement, ilune existe lagrande partie de lacette ville est humainement accessible et intelligiblecompréhensible (l'[[w: fr: Web|espace Web]]) dans laquelle on retrouve des « bâtimentsespaces publiques » ([[w: fr: Sites Web|sites Web]]), composé de pièces ([[w: Page web|pages Web]]) que l'on peut répartir sur plusieurs étages ([[w: fr: Répertoire (informatique)|répertoires]]).
 
Tous ces bâtiments sont fabriqués grâce à des engins de construction ([[w: fr: Éditeur HTML|éditeur HTML]]), dans le respect de normes et d'une réglementation ([[w: fr: Hypertext Transfer Protocol|hypertext Transfer Protocol]]) pour posséder ensuite leur propre adresse soit en chiffre ([[w:fr:Uniform Resource Locator|Uniform Resource Locator ou URL]]) soit en lettre ([[w:fr:Nom de domaine|nom de domaine]]) qui comprend alors des indications sur le type de bâtiment ([[w:fr:Domaine de premier niveau|Domaine de premier niveau]]) et d'autre permettant de rejoindre les étages et les pièces ([[w:fr:domaine de deuxième niveau|domaine de deuxième niveau]] et chemin absolu). Ces bâtiments sont parfois isolés ([[w: Serveurs informatiques|serveurs informatiques]] privé), mais le plus souvent regroupés dans des grands quartiers ([[w:fr:Hébergeur web|hébergeur web]]) localisable dans les deux cas par un code postal ([[w: Adresse IP|adresse IP]]). Pour circuler d'un quartier à l'autre, on utilise un « réseau routier » ([[w: Internet|Internet]]) et un « véhicule » ([[w: fr: navigateur Web|navigateur Web]]) équipé du [[w:fr:GPS (assistant de navigation)|assistant de navigation GPS]] de son choix ([[w: fr: Moteur de recherche|moteur de recherche]]). Lorsqu'un bâtiment est inconnu par les GPS il faut alors obligatoirement connaitre son adresse ([[w: fr: IP|IP]] ou [[w: fr: URL|URL]]) pour y accéder dans ce que l'on appelle alors les quartiers sombres ou profonds de la ville ([[w: fr: Dark web|dark Web]] ou [[w: fr: Deep web|deep Web]]).