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Gardons-nous de sous-estimer Fermat, de minimiser son discernement. Il était conscient qu’on pouvait le prendre pour un vantard et il en a joué, avec ses façons peu orthodoxes et provocantes. La plus célèbre de ses ‘’''observations‘’'', Fermat pouvait-il être assuré qu’une démonstration qu'il y aurait cachée, hermétique à l'extrême, serait un jour découverte ? Non bien sûr, mais nous pensons qu'il était confiant. À première vue, à première vue seulement, il semble incroyable qu'il ait fallu attendre 339 ans pour que ce soit un amateur, ancien militaire expérimentateur des radars-sol, qui ait l'idée d'aller observer l'''OBSEVATIO'' de Fermat « à la loupe ». Il est vrai qu'un bon militaire possède ces qualités : 1) Rigueur, ponctualité, goût de le discipline. 2) Adaptabilité, curiosité. 3) Vigilance, efficacité. 4) Honnêteté, esprit de corps. 5) Formation continue. Ce chercheur tenace, Roland Franquart, fut l’auteur de ''« Commutation des voies radar-Fizeau par découpage des échos des voies linéaires »'' et de ''« Contrôle de la superposition des vidéos radars primaires »,'' qui fut intégré par l’industriel aux Programmes Opérationnels de l’Armée de l’Air.
 
{{Cadre|épaisseur bordure=2px|style bordure=points|couleur bordure=#0F0|'''Postulat de Fermat'''<ref>Si Fermat n’a jamais formulé ce postulat, cette étude, cette étude prétend montrer que sa démarche y est résumée.</ref> — « Mais que ce soit un [[w:Pr%C3%A9_carr%C3%A9#Sens_moderne|pré carré]] en deux prés carrés ou un [[w:Quarteron|quarteron]] en deux quarterons & en général jusqu'à l’infini, aucune puissance supérieure au [[w:Équipe_en_binôme|binôme]] ne pourra être partagée en deux autres d’avis contraires. Une admirable démonstration en sera faite par ceux qui me suivront. »|2}}Mettons-nous dans la tête d'un mathématicien du XVIII<sup>e</sup> siècle (ou suivant) ouvert d'esprit. Regardons-le lire l'observation de Fermat dans une édition semblable à celle de Lyon (sur le mot ''de'''t'''exi'', une tache soigneusement exécutée, qui dans le contexte appelle la lettre ‘t’). Il réfléchit ainsi : « C'est vraiment bizarre cette tache, personne ne s'en étonne, et pourtant Samuel de Fermat a retranscrit fidèlement les 48 observations de son père. Pourquoi donc cette anomalie ? ». Mais notre homme n’est pas un fin connaisseur de la langue latine, il s'en tient à une traduction approximative (et toutes le furent). Il ne voit pas non plus l’autre anomalie dans le premier mot de la note. Son seul indice c’est une tache. A-t-il le réflexe de regarder plus avant et de noter que le point qui suit ''de'''t'''exi'' est surchargé lui aussi ? Comment pourrait-il envisager que Fermat ait pu cacher de nombreux autres indices dans son texte, pour finalement réussir le tour de passe-passe de révéler sa preuve à l’aide de seulement trois lignes et demie écrites en latin, ''« le marqueur du sublime par excellence » ?'' C’est surtout cette dernière question que les commentateurs n’ont jamais pu, jamais osé surtout, imaginer. Reconnaissons à leur décharge que Fermat a tout fait pour qu’il en soit ainsi, mais il y a de quoi être horriblementterriblement vexé de n’avoir jamais su lire ce que leurFermat disait Fermatécrivait. '''''DeEt de ne pas avoir pensé à faire appel à un latiniste''''' pour traduire exactement l’ ''‘’OBSERVATIO‘’'''OBSERV'''ATIO DOMINI PETRI DE FERMAT’’''. Pouvez-vous imaginer mai tenant un mathématicien contemporain clamer : ''« On s’est tous trompéstrompé ! Fermat nous a tous bernés, il avait caché sa démo dans sa note et nous on n'avait rien vu ! » ''? Moi je ne peux pas. Cette dernière question est d’un grand intérêt et, bien qu'elle soit conçue interrogativement, elle est négative, puisque reconnaître que Fermat avait bien une preuve, ce serait reconnaître que ''« quelques uns de nos éminents savants ont fait preuve d'une distraction confondante ».''
 
Roland Franquart, mathématicien amateur plein de ressources, et moi-même qui suis plutôt analyste, avons découvert tout ce qu'il nous était possible. Nous sommes tous deux convaincus que l'explication/démonstration de Fermat, bien que beaucoup plus elliptique que les autres, est exacte. Elle aurait maintenant à être finalisée et le flambeau devrait maintenant être passé à un mathématicien plusprofessionnel compétent. Voici le profil que je lui vois : jeune et extrêmement doué, très enthousiaste, l'esprit non cadré par ses études, très intuitif et très ouvert d'esprit bien sûr, très audacieux évidemment, qui ne craint pas d'aller loin dans le «fondamental » (dans les fondements, les briques élémentaires de l'arithmétique) et surtout ''se fichant éperdument de sala caste'', ayant même, à l'occasion (et de préférence) une dent contre elle {{Clin}}. Un tel oiseau rare peut-il vraiment exister ? JAyant parcouru en long et en large, pendant des années, de nombreux commentaires sur Fermat, et même les plus élogieux, j'aien beaucoupdoute fort, ce qui est réjouissant pour la beauté (éternelle dans ce cas !) de malcette énigme hors du commun. Elle a résisté pendant 339 ans (= 2009–1670) à tous les assauts, seulement vaincu par un ancien militaire (spécialiste des... radars) passionné de mathématiques. Il y a bien eu 1000 pages de calcul très savants écrits par Andrew Wiles en 1994 et que personne ou presque ne comprend, mais arrivent-elles seulement ''à la cheville'' du cryptage magistral, fabuleux, mirifique, etc. réalisé par le ''Prince des amateurs'', qui nous ''dévoile'' — c'est le mot même de Pierre de Fermat, « detexi », parfait de l'imaginerindicatif de ''detego'' : ''mettre à découvert, révéler, mettre à nu, ôter ce qui couvre'' — son explication (''i.e.'' sa démonstration) en 3 lignes 1/2... de latin.
 
== Quelques anecdotes liées au théorème ==