Discussion:Anthropologie de l'intelligence artificielle/Considérations sur l'intelligence artificielle

Dernier commentaire : il y a 6 mois par Lionel Scheepmans dans le sujet Piste

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IA et responsabilité

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L'intelligence artificielle de dernière génération ne reçoit plus ses connaissances d'un humain qui la programme. Elle est dotée d'une capacité d'apprentissage. Les connaissances dont elle dispose, elle les a acquises lors de séances d'apprentissage sur de grandes masses d'informations, que ce soit par apprentissage supervisé par un humain ou non supervisé. Cela pose un problème aux humains qui ne comprennent pas les raisonnements qu'elle suit pour arriver à ses conclusions. Dans certains cas, la machine parvient à de meilleurs résultats que l'humain, sans que celui-ci comprenne comment elle y parvient. L'humain décidera de se servir ou de ne pas se servir de ces connaissances. Sur le plan de la connaissance, l'humain se trouve en rivalité avec la machine, mais il lui appartient de choisir, car seul lui peut passer à l'action. Lui seul prend la responsabilité de son action.

Un pas supplémentaire consiste à transférer la compétence d'apprentissage à des robots et donc à la prolonger avec des capacités d'action. Ces machines auront une certaine autonomie, non prévue par un humain, puisqu'elles enrichissent leurs connaissances en fonction des apprentissages qu'elles réalisent. Les finalités qu'elles poursuivront leur donneront un champ d'action plus ou moins large. Voici quelques exemples : transporter un passager d'un endroit à un autre (voiture autonome) ; dans le cadre d'un conflit armé, tuer des ennemis ; diriger une entreprise (suivi des résultats et gestion du personnel).

Dans des cas de ce type, l'humain, qui leur a assigné leur finalité, garde une responsabilité sur leurs actions, même si elles restent en partie imprévisibles. Cette responsabilité, il la prend a posteriori, alors que pour les machines du premier type, il la prend avant l'action, vu que l'action dépend uniquement de lui.

Un pas supplémentaire consisterait à fabriquer des machines qui fonctionnent comme un organisme et donc qui agissent pour s'auto-conserver. Cela les amènera à développer elles-mêmes des finalités. Dans ce scénario, nous entrons dans un monde qui relève encore aujourd'hui de la science-fiction, dans lequel une machine peut se voir reconnaître des droits et des devoirs, par exemple ne pas nuire aux humains. À quoi pourrait servir une telle machine ? Par exemple, à l'exploration spatiale, dans des contrées lointaines pour lesquelles une vie humaine ne suffit pas. Fernand Schmetz (discuter) 24 octobre 2023 à 20:52 (UTC)Répondre

Bonjour @Fernand Schmetz. Merci pour ce partage d'idée et d'information. Cela nourrit ma propre réflexion. Si tu veux poursuivre ta propre réflexion au sujet de l'avenir possible. Je te conseille de t'intéresser aussi à ce qui se passe en biologie synthétique. On est en train d'avancer sur la construction de « machines organiques ». Le génome est aujourd'hui perçu comme un jeu de légos qui permet de construire ce que l'on veut au départ de bio-brique.
Tout ceci nous ramène à notre propre ontologie. L'être humain peut aussi être vu comme une machine hyper sofistiquée dont la particularité est d'avoir un stage de conscience très élaboré (voir Damasio à ce sujet). Une machine qui n'est pas inimitable en soi.
Je reste disponible pour poursuivre cette conversation. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 27 octobre 2023 à 09:20 (UTC)Répondre

"AI Act" et IA génératrice de contenu

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Cet aperçu de l'analyse du terme "intelligence" quand on aborde l'IA est intéressant. Dans quelle mesure les lois et réglementations actuelles sont-elles adéquates pour encadrer le développement et l'utilisation de l'intelligence artificielle, notamment en ce qui concerne la responsabilité et la protection des droits humains ? Nous voyons désormais l'émergence d'IA génératrice de contenu. L'Union Européenne, via le cadre règlementaire de l'AI Act, reconnaît qu'il y a différents (4) niveaux de risques associés aux systèmes d'IA (risques non-acceptables, élevés, limités, et minimaux). Bien que cela représente un premier pas en avant considérable concernant la règlementation de ces systèmes, il semble que cet AI Act puisse être presque renommé comme étant un "High risk Act", de par sa focalisation majeure sur ceux-ci. Selon moi, cela risque de se faire au détriment des autres risques, qui pourtant portent atteinte aux individus : prenons l'exemple des deepfakes (via contenu audio et/ou vidéo), qui n'est placé qu'au niveau de "risque limité"... Pourtant, cela pose de nombreux préjudices, tels que la manipulation de l'opinion publique, la désinformation, la diffamation, voire même des recherches d'humiliation via des "nudification"/créations de deepfakes pornographiques - en majorité au détriment des femmes. Kassandra Parvais (discuter) 30 mars 2024 à 10:17 (UTC)Répondre

@Kassandra Parvais. Je t'avoue que je ne suis pas encore très avancé concernant le sujet de l'Intelligence artificiel. De plus, c'est quelque chose en plein développement et expérimentation et il n'est donc pas toujours facile d'en faire la synthèse ni de prendre du recul. Ce qui explique pourquoi ce chapitre est encore peu développé.
C'est aussi la raison pour laquelle je vous propose, comme exercice dans le cadre du séminaire, d'améliorer vous-même le chapitre. En conséquence, vas-y lance-toi puisque tu sais des choses que je ne connaissais pas encore. De mon côté, j'avais juste sous la main deux articles de la libre qui offrait un exemple concret des problèmes moraux et même légaux, auquel on peut être confronté avec l'intelligence artificielle. Les liens vers Internet archive sont repris ci-dessous. J'espèrais ainsi trouver une version des pages web accessible sans abonnement, mais cela ne semble malheureusement pas possible.
https://web.archive.org/web/20240123040315/https://www.lalibre.be/belgique/societe/2023/03/28/sans-ces-conversations-avec-le-chatbot-eliza-mon-mari-serait-toujours-la-LVSLWPC5WRDX7J2RCHNWPDST24/
https://web.archive.org/web/20230328044230/https://www.lalibre.be/belgique/societe/2023/03/28/le-fondateur-du-chatbot-eliza-reagit-a-notre-enquete-sur-le-suicide-dun-jeune-belge-VGN7HCUF6BFATBEPQ3CWZ7KKPM/
N'hésite pas à récupérer ses deux liens dans les améliorations que tu comptes faire au chapitre. Et bravo pour ta motivation. En tant qu'enseignant, c'est précieux pour la motivation d'avoir des participantes comme toi. Belle fin de journée ! Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 1 avril 2024 à 17:32 (UTC)Répondre

L'IA et Robotique

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Je n'ai pas de question concernant le chapitre, mais je voudrais partager mes impressions sur celui-ci, que j'ai trouvé extrêmement captivant. En particulier, je souhaite exprimer mon émerveillement face aux avancées réalisées dans le domaine de l'intelligence artificielle, notamment avec des création telles que le "robot Sophia" que vous avez cité. Ces réalisations sont véritablement impressionnantes et témoignent du potentiel incroyable de la technologie moderne.

L'année dernière, alors que j'étais en troisième année de psychologie, j'ai eu l'occasion d'assister à une conférence qui parlait du lien entre la robotique et la psychologie cognitive. Que des robots étaient entrain d'être conçu dans le but d'aider les personnes autistes à progresser dans leur développement. Cette expérience a été à la fois fascinante et édifiante, car elle illustrait clairement la manière dont la technologie peut être utilisée pour le bien être des individus.

De plus, j'aimerais rajouter que malgré ces avancées prometteuses, je ressens également une certaine inquiétude quant à l'impact de l'intelligence artificielle sur notre propre intelligence. La question de ce qu'est réellement l'intelligence est complexe et sujette à débat, mais je crains que la facilité d'accès à l'information offerte par l'IA ne contribue à une forme de régression intellectuelle, à une perte de la capacité à réfléchir de manière critique et à générer des idées innovantes.

C'est évidemment personnel, mais je trouve ca intéressent de le partager avec toi. Margrd (discuter) 4 avril 2024 à 16:50 (UTC)Répondre

@Margrd, quand tu t'adresses à quelqu'un de particulier dans un message posté sur une page de discussion, prend la peine d'utiliser la fonction de notification accessible par l'icône d'un petit bonhomme surmonté d'un + à droite. Exactement comme je l'ai fait en début de ce présent message.
Tes commentaires sont intéressants et je t'invite, puisque cela fait partie des tâches à réaliser dans le cadre du séminaire, à améliorer le contenu du chapitre avec des informations sourcées qui font référence à ce que tu as appris lors de la conférence dont tu fais mention ci-dessus.
La question de la perte de capacité cognitive de l'humain par la délégation de tâches intellectuel à des machines est pertinente. On pourrait d'ailleurs certainement y trouver réponse dans la littérature, ce qui serait une autre amélioration a apporté au chapitre. Car le remplacement et le renforcement des habileté humaine par la technique ne date pas d'hier. L'écriture par exemple fut une révolution qui permit à l'humain d'être moins exposé à des problèmes de mémoire. Tout comme la machine à calculer, une intelligence artificielle, elle aussi, finalement, à remplacer l'usage des calculs écrits. Est-ce pour autant que les êtres humains furent sujets à « une forme de régression intellectuelle, à une perte de la capacité à réfléchir de manière critique et à générer des idées innovantes » ? Ce serait intéressant de répondre à la question en enrichissant le chapitre. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 4 avril 2024 à 17:30 (UTC)Répondre

Des échecs répétés

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Bonjour @Lionel Scheepmans,

Merci pour ce chapitre. Il me rappelle deux expériences qui ont eu lieu autour de l'IA. L'une était celle de Tay par Microsoft. C'était une IA censée se développer, notamment dans ses connaissances, via Twitter. Le fait amusant (et très embêtant) est que l'IA est devenue totalement raciste et hors de contrôle en un temps record (prouvant principalement la toxicité de ce réseau en particulier). La deuxième est une série de simulations de l'armée française (celle-ci s'intéresse de près à l'IA, donc brise déjà la 3ᵉ règle de la robotique). Toutes les simulations finissaient par l'IA qui se retournait contre les humains. Bien sûr, cela ne vaut pas grand-chose, mais tout de même là où l'IA compose le rêve chez certains, on voit que pour le moment, il semble plutôt intéressant que le développement reste géré humainement. Et malgré cet état non fini de l'IA, on en voit déjà les dérives dans son utilisation, comme Kassandra l'a très justement souligné dans son commentaire. Rémi Maillo (discuter) 15 avril 2024 à 14:13 (UTC)Répondre

C'est intéressant en effet @Rémi Maillo. Mon opinion d'ailleurs est que l'IA a beaucoup à nous apprendre, non pas à travers ce qu'elle est capable de produire, puisque ce ne sera jamais que du plagiat inspiré des productions humaines préalables, mais bien à travers ce qu'elle dévoile du fonctionnement des sociétés et de certaines logiques humaines. Tes exemples sont en ce sens explicite. L'IA a démontré la toxicité des réseaux sociaux, tout comme elle dévoile l'absurdité de la guerre, comme tout autre système menant à la destruction d'êtres humains.
À mon sens, et comme je le dis entre les lignes dans l'ébauche du chapitre, l'IA est une intelligence bien plus rationnelle que celle des hommes d'affaires ou des maitres de guerre. Mais donc, n'hésite pas à développer ton idée directement dans le chapitre, grâce à des références que tu pourrais trouver sur le net sur les deux cas de figure dont tu fais mention. Cela fait en effet partie des tâches à effectuer dans le cadre du séminaire. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 15 avril 2024 à 15:30 (UTC)Répondre
Ce que tu dis là me parait très intéressant. En tout cas, tu mets des mots que je ne parvenais pas à mettre. Je vais aller chercher quelques sources puis je vais compléter comme je peux. Merci beaucoup. Rémi Maillo (discuter) 15 avril 2024 à 16:59 (UTC)Répondre

Réduction du fossé numérique grâce à l'intelligence artificielle dans les zones rurales

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Bonjour Lionel, Merci pour ce chapitre sur l'IA! Je me demande, comment l'utilisation de l'intelligence artificielle pourrait-elle aider à réduire le fossé numérique entre les zones urbaines et rurales, en particulier dans les pays en développement où l'accès à la technologie est limité ?

Bon cours aujourd'hui! Mathias Wauthy (discuter) 17 avril 2024 à 08:03 (UTC)Répondre

Encore une question intéressante @Mathias Wauthy, merci de la poser. Ta question touche une technologie très récente et pour laquelle on manque de recul pour en faire une réelle analyse. Mais je peux déjà te donner une application concrète de l'intelligeance artificiel dans les jeux vidéo qui permet à des personnes vivant en milieu rural et qui aurait la chance de pouvoir jouer à un MMORPG. Il s'agit des systèmes automatiques de traduction des messages échangés entre les joueurs. Grâce à l'IA un joueur qui ne connait pas l'anglais, qui bien souvent est utilisée comme ligua franca dans toutes les activités sociales internationales, peut sans trop de difficulté et de limitation, converser par écrit avec d'autres joueurs.
En supposant que les personnes en milieu rural ont statistiquement moins de chance de connaître l'anglais, l'IA conversationnel permet ainsi de réduire le fossé dont tu parles et qu'il, comme déjà exprimer dans le précédent message que je t'ai adressé, n'existe pas uniquement pour des raisons économique et technique, mais aussi pour des raisons culturelles. Tel que la non maitrise de la langue anglaise alors que celle-ci est utilisée pour plus de 50 % des contenus accessibles via le réseau internet.
Je t'invite donc si tu le veux à améliorer toi-même le chapitre de la leçon sur l'écoumène numérique que tu viens de lire en ajoutant un paragraphe au sujet de l'usage des traducteurs automatique dans les sites de rencontre. Cela fait en effet partir des tâches à faire pour le séminaire et reprise dans les critères d'évaluation. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 17 avril 2024 à 13:29 (UTC)Répondre

Ajout de texte

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Bonjour @Lionel Scheepmans,

Au début de cette lecture, je me suis dit que j'allais te proposer comme commentaire de ce chapitre, qu'il serait intéressant de définir la notion d'intelligence, (ce qui manque selon moi en cette introduction) juste avant celle d'artificielle, afin d'avoir une explication complète du terme d'intelligence artificielle.

Au vu de ta demande d'intervention de ce matin, en plus d'émettre ce commentaire, je me suis donc permis, de moi-même ajouté du texte dans le but de définir cette notion⁣.

J'espère que cela te conviendra ! Master UCL (discuter) 17 avril 2024 à 13:43 (UTC)Répondre

C'est vraiment très à propos Master UCL et tu as du remarqué que je t'ai déjà remercié pour ces changements via un système de notification interne à Wikiversité. Te voici donc avec une tâche de plus accomplie. Comme toujours, si tu as des commentaires, question ou autre sur le reste du chapitre, n'hésite pas à les formuler ici, afin de poursuivre l'amélioration de la page en suscitant des réflexions chez les autres participants qui n'ont pas encore fait leur propre contribution sur la page. Une belle fin de journée ! Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie

L'intelligence artificielle a le potentiel de révolutionner profondément les industries et les stratégies commerciales, en favorisant l'innovation, l'efficacité et la croissance économique. Mais cette avancée soulève également des préoccupations quant à la centralisation du pouvoir économique entre les entreprises qui dominent le marché de l'IA, et son impact sur la concurrence et la diversité économique. Comme l'inégalité économique entre les entreprises qui ont les ressources nécessaires pour investir dans ces technologies et celles qui n'en ont pas. Cela donnerait un avantage certain au grande entreprise. Comment les nouvelle et petite entreprise pourrait concurrencé cela ? La perte d'emplois pourrait aussi être au rendez-vous car elle pourrait prendre la place de certaine employé peut être pas maintenant car nous somme encore loin de pouvoir faire entièrement confiance a L'IA mais dans 20, 30, ou 4O,Quand sera-t-il ? Ferrie Bachir (discuter) 17 avril 2024 à 16:27 (UTC)Répondre

Je partage complètement les idées que tu viens d'exprimer ci-dessus @Ferrie Bachir. Ce que je t'invite à faire maintenant, c'est de les exprimer directement dans le chapitre en le modifiant toi-même, comme cela est demandé dans le séminaire et comme certains participants l'ont déjà fait. N'oublie pas évidemment de sourcé tes idées de telle sorte à les présenter comme des faits et non pas comme un simple opinion. Dis-moi d'ailleurs si tu comprends bien le sens de cette dernière phrase s'il te plait. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 18 avril 2024 à 10:48 (UTC)Répondre

Tests de créativité de Torrance

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Je place dans cette page de discussion un lien vers un article intéressant qui aborde la créativité des intelligences artificielles génératives. Une première source qui peut ouvrir un débat sur la question tout en faisant référence au Tests de créativité de Torrance. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 12:06 (UTC)Répondre

Réflexion : GenIA & Art

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Une des craintes qui entoure le domaine des intelligences artificielles génératives est liée à l'art. En effet, avec l'avènement des IA génératives capables de créer des œuvres graphiques indissociables (ou presque) de productions humaines, une réflection se doit d'être posée regardant l'essence même de ce que nous appelons 'art'. L'adage suivant propose une piste de réponse à cette question : “c'est n'est pas la destination qui. importe mais bien le chemin parcouru”.

Peut être que dans un monde où, la nature de la production du résultat final est incertaine, nous serons forcé de revoir notre conception de l'art, et peut être serons nous forcé de placer l'accent sur le procédé créatif des artistes plutôt que le résultat final.

Cependant, cette démarche réflexive ouvre la porte sur la question de la créativité, comme l'a souligné @Lionel Scheepmans. ExK0y (discuter) 14 mai 2024 à 13:18 (UTC)Répondre

En te lisant @ExK0y, je me dis que l'art contemporain⁣⁣, et le domaine de la performance, doivent voir une sorte de promotion dans les remises en question et la nouvelle blessure narcissique infligée par l'IA générative. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 14:08 (UTC)Répondre

IA et Etudes

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Bonjour @Lionel Scheepmans,

En lisant la partie "Encadrement des dérives liées au développement, à l'utilisation de l'IA " je me demande quel parti vont prendre les universités ou tout autre système éducatif face à la démocratisation de ces outils utilisant l'IA. Dans un premier temps, il semblerait qu'utiliser ces logicielles se rapproche de la triche par apport aux étudiants n'y ayant pas eu accès. Mais on peut aussi avancer qu'il faut vivre avec son temps, surtout si les IA se démocratisent dans le monde professionnel. M. Ledoyen (discuter) 14 mai 2024 à 19:00 (UTC)Répondre

Je n'ai pas d'avis pour l'instant. Mais ce que je peux te dire en revanche @M. Ledoyen, c'est que dans le procédé pédagogique mis en place pour ce séminaire, l'usage d'une IA générative serait la bienvenue, mais inefficace ou fastidieuse à utiliser pour assurer toutes les tâches qui sont demandées. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 23:00 (UTC)Répondre

Piste

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Merci pour ce chapitre. L'IA est en effet une question actuelle fort brulante. Cela reste pour moi un des points technologiques où je me demande va-t-on un jour arrêter l'évolution? Maintenant, je suis sure que beaucoup d'avantage de cette technologie sont utilisés de nos jours pour aider l'humain, je pense notamment au domaine de la médecine. Une piste d'élargissement serait de regarder à sa perception dans les productions audio-visuelles en comparaison à son utilisation dans notre quotidien. Mathleg18 (discuter) 14 mai 2024 à 20:47 (UTC)Répondre

@Mathleg18, je ne comprends pas ta phrase : « Une piste d'élargissement serait de regarder à sa perception dans les productions audio-visuelles en comparaison à son utilisation dans notre quotidien. » Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 23:01 (UTC)Répondre
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