Discussion:L'écoumène numérique/Les licences et la culture libre

Dernier commentaire : il y a 5 mois par Lionel Scheepmans dans le sujet Faiblesse des logiciels libres

Bienvenue sur cette page de discussion.

Vous pouvez écrire ici les questions, suggestions ou tout autres types de commentaires concernant ce qui se trouve sur la page L'écoumène numérique/Les licences et la culture libre en cliquant sur l'onglet « Ajouté un sujet » présent ci-dessus. Durant votre lecture des messages précédents, garder bien à l'esprit que leurs contenus peuvent parfois être obsolètes, étant donné que la page, à laquelle ils font référence, est susceptible d'avoir été améliorée entre-temps. L'amélioration de cette page est en effet le principal objectif des conversations présentes sur cette page de discussion.

Commentaire

modifier

Salut @Lionel Scheepmans,

Dans ce chapitre, tu abordes le sujet du copyright, et explique son utilité. Dans l'objectif d'être complet, je trouve qu'il serait intéressant de rédiger une phrase expliquant les conséquences du non-respect d'un copyright au niveau du droit. Master UCL (discuter) 19 avril 2024 à 14:34 (UTC)Répondre

Encore une fois, vas-y, lance-toi et on fait marche arrière dans le pire des cas et on le décide ensemble. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 19 avril 2024 à 14:46 (UTC)Répondre

Répétition

modifier

Salut @Lionel Scheepmans,

J'ai constaté une répétition au paragraphe 4 et au paragraphe 7 :"Car en absence de cette clause, une œuvre pourrait être récupérée, puis modifiée, même de façon mineure, avant d’être renommée, de sorte à pouvoir la placer sous un habituel copyright de type : « tous droits réservés »". Pour le reste, chapitre très intéressant, surtout ce qui concerne le « copyleft » dont j'ignorai l'existence. M. Ledoyen (discuter) 6 mai 2024 à 16:29 (UTC)Répondre

Merci @M. Ledoyen. Je vais rectifier ça tout de suite. C'est à cause de deux travaux d'écriture sépartés sur un texte presque similaire. Je profite de l'occasion pour te dire que je me retrouve tout à fait dans tes fautes d'orthographe. Je fais exactement les mêmes. Je me demande aussi si tu comptais produire toi-même un chapitre de leçon comme les autres ou si tu laissais tomber ? Si oui, il faudrait le publier pour ce mercredi minuit pour laisser aux autres le temps de le lire, de le commenter pour que tu puisses ensuite réagir... Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 6 mai 2024 à 18:22 (UTC)Répondre
Bonsoir @Lionel Scheepmans, je suis en train de bosser sur le chapitre et, je compte tenter de le rendre pour mercredi. M. Ledoyen (discuter) 6 mai 2024 à 20:08 (UTC)Répondre
Ça serait super @M. Ledoyen, car je trouve que tu apportes des réflexions très intéressantes dans tes commentaires et je me dis que ton chapitre de cours devrait à ce titre être intéressant. As-tu déjà un titre ? Si oui, donne-le-moi maintenant pour que je puisse créer la page sur laquelle tu pourras l'importer et puis situer cette page dans la leçon d'anthropologie numérique la plus adéquate. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 6 mai 2024 à 20:46 (UTC)Répondre
Ma proposition de titre @Lionel Scheepmans : "Comment Warframe créer un environnement social sain". M. Ledoyen (discuter) 6 mai 2024 à 20:57 (UTC)Répondre
@Lionel Scheepmans M. Ledoyen (discuter) 6 mai 2024 à 20:58 (UTC)Répondre
Voici @M. Ledoyen : Anthropologie des jeux vidéo/Comment Warframe créer un environnement social sain. J'ai trouvé ta page de présentation très bien faite. Je pense donc que tu as assimilé les fonctionnalités de Wikiversité, mais n'hésite pas à demander le l'aide si besoin. Je serai plus ou moins en standby, car c'est la semaine de vacances où mon fils est avec moi. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 6 mai 2024 à 21:23 (UTC)Répondre

Questionnement concernant propriété intellectuelle et IA

modifier

Bonjour @Lionel Scheepmans, suite à la lecture de ce chapitre, un questionnement m'est apparu par rapport aux oeuvres n'étant pas sous la licence Creative Commons. Dans le contexte de l'évolution de l'intelligence artificielle et de l'utilisation croissante d'œuvres d'artistes dans les ensembles de données (datasets) pour le machine learning/l'entraînement algorithmique, une question me vient : comment pouvons-nous concilier la protection des droits des artistes avec l'intégration (parfois non consentie ou non transparente) de ces œuvres dans le développement de l'IA ? Qu'en serait-il de la protection des droits d'auteur, dans des métiers où la créativité et l'innovation ne seront plus encouragées mais simplement imitées par une machine... Qu'en serait-il de la rémunération de ces artistes ? Cela ferait aussi courir le risque de conduire à une uniformisation de la création artistique, peut-être ? Kassandra Parvais (discuter) 9 mai 2024 à 14:02 (UTC)Répondre

Salut @Kassandra Parvais. De nouveau des questions intéressantes. On parle en effet de plagiat au regard de ce qui est produit par les intelligences artificielle. Mais le plagiat n'est pas quelque chose de condamné par la loi. Heureusement, on serait tous hors la loi. Plagier une expression, une idée, une langue, tout ce qui est dans le domaine publique, la majorité de la connaissance en fait.
Ce qui est condamnable, c'est le non-respect des droits d'auteur, du copyright dans le commons law. Le droit d'auteur étant un droit de propriété intellectuel. Un droit de propriété donc, avec tout le questionnement antropologique que cela suscite.
Ta question est donc au bon endroit.
J'adore toutes les réflexions que suscite l'intelligence artificielle. Tout ce questionnement qu'elle provoque actuellement. Toute cette remise en question de l'humain, soudainement sous les projecteurs.
D'ailleurs Kassandra. Ce qui donne sens et qui te motive dans la vie, est-ce de gagner de l'argent ou d'être rémunérée d'une manière ou d'une autre pour ce que tu fais ? Ta réponse répondra en partie à ta question.
Ce qui n'est artificiellement pas libre d'usage aujourd'hui le sera un jour. Enfin tant les riches n'arrive par à maintenir le droit d'auteur à perpétuité pour les descendants.
Ensuite, un droit n'est profitable seulement quand on arrive à le faire respecter. Cela demande des moyens financier que tout le monde n'a pas. Les firmes pharmaceutiques produisent des brevets en récupérant le savoir de personnes incapables d'imaginer ce que peut être un droit de propriété. Les brevets coutent des fortunes pour mettre en application.
Pareil pour les droits d'auteur. Comment prouver que l'on est l'auteur d'une idée, d'une musique que l'on a pas écrite ou enregistrée quelque part ? Internet et son archivage, devient alors un support intéressant dans ce cadre. Mais imagine qu'une de tes photos publiée sur facebook devienne l'affiche d'un film. Te sens-tu capable de porter plainte au tribunal ? De payer les frais d'avocat ? Sais-tu que certaines grosses firmes convoquent à tord au tribunal des petites firmes pour les faire crouler financièrement ?
Tu parles ensuite d'uniformisation de la création artistique. Penses-tu qu'elle n'est pas déjà en œuvre depuis des années déjà et sans le concours de l'IA. Ne parlons-nous pas depuis un certain temps déjà de victime de la mode ? Et puis tous ces artistes qui ne font que suivre la tendance, ne sont-ils pas quelque part auteur de plagiats ?
Je dirais que l'intelligence artificielle, inventée par l'humain, ne fait rien d'autres que de reproduire ce que fait l'humain depuis toujours, mais d'une manière beaucoup plus rapide. Ce qui est finalement le propre des machines.
Et c'est très intéressant, car l'imposture des IA ne fait que mettre en lumière la fabrique d'imposteurs de notre société humaine.
Moralité, vive le plagiat ! Et vive aussi l'honnêteté intellectuel et le fait de gardé l'origine de tout savoir pour pouvoir la situer. Ce que ne fait précisément pas l'IA, mais bien les participants à notre séminaire auquel je demande de fournir l'origine des idées et de la connaissance rassemblées dans le chapitre de la leçon que je leur demande de produire. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 10 mai 2024 à 12:35 (UTC)Répondre

question

modifier

Comment les licences libres, telles que la GPL et les licences Creative Commons, ont-elles contribué à façonner le paysage numérique actuel ? y a-t-il qu'eux ? quelle, on était les facteurs de réussite ? Ferrie Bachir (discuter) 14 mai 2024 à 16:25 (UTC)Répondre

Une grande partie des réponses à tes questions se trouvent dans le chapitre consacré au logiciel libre et à la naissance d'Internet et du Web @Ferrie Bachir. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 22:18 (UTC)Répondre

Faiblesse des logiciels libres

modifier

Chacun étant libre de choisir entre l'adoption de solutions libres et l'usage de produits commerciaux privés, il apparait ainsi un premier paradoxe selon lequel le choix majoritaire reste au profit des programmes informatiques les moins respectueux des utilisateurs.

J'aimerai nuancer légèrement le paragraphe ci-dessus. Il est vrai que le choix majoritaire est de se tourner vers les logiciels fermés et commerciaux. Cependant, pour moi c'est un choix n'est pas paradoxal et est largement explicable. Combien de fois je n'ai pas installé un logiciel libre pour me retrouver en face d'un software dont l'UI était soit inexistante, soit complètement en retard de plusieurs années par rapport au standard esthétique actuel ? Certes, pour certaines personnes cela n'est pas un problème, mais pour d'autres, ces éléments peuvent causer des frictions, voir être un enjeu important concernant leur potentielle utilisation. En plus de cette sensibilité esthétique, on peut souligner un manque de stabilité vis-à-vis de la de compatibilité de ces logiciels pour les raisons que j'ai soulignés dans le chapitre précédent. ExK0y (discuter) 14 mai 2024 à 19:04 (UTC)Répondre

C'est quoi l' « UI » @ExK0y ? Concernant la compatibilité des logiciels, tu prends le problème à l'envers. Ce sont les logiciels Apple et Microsoft qui souffre d'un manque d'interopérabilité avec les logiciels libres et non l'inverse. Je peux lire tous les fichiers avec mes logiciels libres, ce qui n'est pas le cas de logiciels propriétaires. Et quand un format propriétaire s'affiche mal dans mon logiciel libre, c'est précisément parce que ce format est volontairement fermé et donc difficile à intégrer dans le développement des logiciels libres. Quant au fait que les logiciels libres propriétaires ne savent pas lire tous les formats libres, c'est là pour moi un indicateur sur du manque de rapidité ou d'efficacité des entreprises commerciales, en plus de leur mauvaise volonté bien sûr. Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 23:49 (UTC)Répondre

Commentaire

modifier

Merci pour ce chapitre car c'est pour moi un sujet que j'avais du mal à comprendre et visualiser. Mathleg18 (discuter) 14 mai 2024 à 20:07 (UTC)Répondre

Welcome @Mathleg18 Lionel Scheepmans Contact Concernant ma dysorthographie 14 mai 2024 à 23:41 (UTC)Répondre
Revenir à la page « L'écoumène numérique/Les licences et la culture libre ».