Logique analytique/Incompatibilité
Incompatibilité de l’analytique et de la logique
modifierJ’ai longtemps cru que l’analytique était une fonction logique, que la logique était son « bébé », son trésor, en fait, il n’en est rien. J’ai toujours voulu faire « rentrer » les « carrés » de la logique dans les « rondelles » de 2, en fermant les yeux sur les incohérences, en louvoyant pour éviter de les confronter. Certains de leurs outils se ressemblent tout en restant fondamentalement différents, l’association n’est pas l’appartenance, la dissociation n’est pas la disjonction (ou). 2 est un excellent géomètre, mais un très mauvais algébriste, un mauvais logicien. Il ne sait pas ce que c’est que le négatif, quand il distingue une chose elle est présente, elle n’est autre chose que du sens, et le flou fait partie de la nature même du sens, quand il descend son échelle de flou, il bute sur l’indistinction, sur l’absence, et derrière ou plus bas, il n’y a rien. La négation du sens, il ne sait pas ce que c’est sinon la négation de l’existence du sens, son inexistence. Pour lui l’indistinct, l’absence, l’inexistence, c’est le même concept, de même que le distinct, la présence, l’affirmation de l’existence, c’est le même concept, et comme le concept d’un concept est le même concept, l’affirmation (oui) de la présence (P) du distinct (ᐃ), c’est toujours du distinct (ᐃ). oui = P = ᐃ. Ces trois signes ne signalent que des nuances de sens du concept de la présence d’un sens. Un sens a des nuances c’est ce qui fait le charme de son flou et le flou de son sens. De même que la négation (non), l’absence (A) et l’indistinct (≈) sont des nuances du concept de l’absence d’un sens. non = A = ≈. Ces deux concepts, fondamentaux pour 2 sont opposés mais pas des opposés symétriques car si l’absence d’une présence est une absence, l’absence d’une absence n’est pas une présence mais toujours une absence, toujours rien. De même que l’absence, la négation, l’indistinction d’une négation, d’une distinction, d’une indistinction comme de tout autre concept c’est toujours rien. De ce fait la négation d’un concept (comme l’absence) peut être le même concept. C’est la deuxième tautologie ou axiome de 2 : (l’absence de l’absence d’un concept est une absence) à ces deux tautologies correspondent deux contradictions : • le concept d’un concept est ᐃ du même concept, • l’absence de l’absence d’un concept est ᐃ de l’absence du même concept. Qui sont toujours fausses dans lesquelles on peut remplacer absence par négation ou indistinction. Les sens vrai et faux apparaissent alors comme catégories des tautologies et des contradictions dans les cases de 2, et comme simples concepts ils sont associés au pétale des valeurs logiques. Il ne faut pas confondre ces valeurs logiques avec les opérateurs de 2/ tels que U, Di U, etc. car 2 ne peut pas opérer (non, A, ≈) sur les G(w) de la mémoire, dès qu’un G(w) a été distingué comme (ma huppe) il ne peut disparaître de ma mémoire que s’il perd son p8. S’il peut annuler une duplication c’est en la confondant 2/Co avec son G(w) original, et il ne peut confondre son G(w) original qu’avec lui-même, c’est une opération nulle. Il en est de même de l’inversion. L’inversion est un concept qui oppose un concept (un G(w)) à tout ce qu’il n’est pas au sein du tout (la mémoire m pour 2), et la mémoire (m) à rien, ce serait une opération dangereuse que 2 ne peut pas opérer. Par contre il peut construire en permutant des éléments comme les faces et les sommets d’un polyèdre, passer du cube à l’octaèdre, et de l’octaèdre au cube, le tétraèdre donne un tétraèdre symétrique et le dodécaèdre (12 faces pentagonales et 20 sommets) donne enfin l’icosaèdre (20 faces triangulaires et 12 sommets).