Recherche:Morts 14-18/2014-2015
Les séances de l'année scolaire 2014-2015 sont consacrées à la période de début octobre 1914 à fin août 1915.
→ Article connexe à utiliser : bataille d'Artois.
Travail à faire
modifier- Choisir un militaire parmi ceux proposés ci-dessous (chacun le sien) ;
- enquêter pour savoir qui il est, en utilisant les ressources proposées ;
- rédiger un petit paragraphe présentant le parcours de ce militaire et de son unité.
Première étape : la base des « morts pour la France » permet de trouver le nom complet (avec le deuxième voire troisième prénom pour éviter les homonymes), la fiche fournissant la date et le lieu de naissance, la classe (année des 20 ans, année du recensement avant de faire son service militaire), le numéro matricule lors du recrutement, le grade, l'unité, ainsi que la date et le lieu de décès.
Deuxième étape : à partir de la classe et du numéro matricule, les registres de matricules de Versailles (s'il est du département, sinon il faut consulter les archives d'un autre département, en espérant qu’elles soient en ligne...) fournissent les identités des parents, une description physique, le métier et un récit des affectations.
Troisième étape : avec les noms de l'unité d'affectation (régiment ou bataillon), une recherche sur Wikipédia donne le lieu de casernement et les différents opérations (on peut consulter aussi le journal de marche de l'unité sur le site mémoire des hommes).
Pour d'autres sources (par exemple le recensement), cf. Recherche:Morts_14-18#Sources.
Morts
modifierGilles Marie HUET
modifierRecherches réalisées par Maïwenn et Sophia (1re ES 2) en novembre 2018
Gilles Marie HUET fils de François Huet et Marie Angèle Grall, est né le 28 mai 1876 à Saint-Thégonnec, dans le Finistère et est décédé le 14 mai 1915 de maladie à Saint-Menehould, il est dit "mort pour la France". Il s'est engagé volontairement et a été recruté à Brest et c'est un soldat de seconde classe, il fait partit du deuxième régiment d’infanterie colonial. IL avait les cheveux et les sourcils de couleur noir et des yeux "roux". Son front et son nez étaient moyen, il avait une bouche de taille moyenne et un visage opale. Gilles Marie mesurait 1,63 m et était maçon.
Numéro de matricule:529 , classe: 1896
Fiche matricule : http://mnesys-portail.archives-finistere.fr/?id=viewer&doc=accounts%2Fmnesys_cg29%2Fdatas%2Fir%2Fserie_r%2FFRAD029_00000001R%2Exml&page_ref=27919&lot_num=1&img_num=44&index_in_visu=
Maurice CHOPPART
modifierDe Croissy-sur-Seine, mort le 1er octobre 1914.
Jules AMESLANT
modifierRecherches réalisées par les Cor Qui Du (1re S 3) en 2014-2015
Jules Isidore AMESLANT est né le 28 mars 1875 à La Ferté-Macé dans l’Orne, fils de Jean Baptiste François AMESLANT et d'Eugénie BAUSARD. Jules AMESLANT était peintre. Il était célibataire et sans enfants.
Il fait son service militaire en 1895 (il fait partie de la « classe 1895 ») à l'âge de 20 ans. Lors de la mobilisation de 1914, il est rappelé malgré son âge de 39 ans. Il est affecté au 26e régiment d'infanterie territoriale, une unité composée d'hommes âgés, théoriquement de 34 à 49 ans, considérés comme trop vieux et plus assez entraînés pour intégrer un régiment de première ligne (unités d’active ou de réserve). Il était soldat de seconde classe, soit tout en bas de la hiérarchie militaire.
Le 3 octobre 1914, le 26e RIT se rend à Hébuterne, Bucquoy et Ayette. La 8e division dont il fait partie doit appuyer le 10e corps suivant la ligne Boyelles-Ervillers. Après avoir traversé Ayette, le régiment est arrêté par une feu violent. Les 7e et 8e compagnies vont soutenir le 16e RIT fortement éprouvé. Cet engagement prend de suite de grandes proportions vers Courcelles-Le-Comte et, selon le Journal des marches et opérations du régiment, « la conduite du régiment fut superbe, il ne se replia que sur un ordre formel ». Le régiment dans cette journée perdit 500 hommes dont Jules AMESLANT.
Alfred LEGRAND
modifierAlfred Adolphe LEGRAND, mort le 5 octobre 1914 à Chasseneuil (Charente).
Marcel MARTAIS
modifierMarcel Alphonse MARTAIS, mort le 10 octobre 1914 à Notre-Dame-de-Lorette (Pas-de-Calais)
Henri BERNIER
modifierRecherches réalisées par Jérôme et Elliott (1re ES 4) en 2014-2015
Henri Joseph BERNIER est né le 28 novembre 1890 à Croissy-sur-Seine, il résidait à Saint-Germain-en-Laye. De la classe 1910, il a porté l'uniforme sous le matricule 2825 lors de son service militaire de deux ans, en étant d’abord incorporé dans le 154e régiment d'infanterie (qui fait partie du 6e corps d'armée) à Lérouville (dans le département de la Meuse).
Rappelé lors de la mobilisation, il est affecté comme soldat de 2e classe au 21e régiment d’infanterie coloniale jusqu’à ce qu’il « tombe glorieusement au champs d'honneur en faisant vaillamment son devoir » le 14 octobre 1914 à Braux-Sainte-Cohière. Il a reçu la croix de guerre avec étoile de bronze à titre posthume. Dans les faits, son unité est affectée à cette époque au front d'Argonne depuis deux semaines, en poste aux bois d'Hauzy (sur la commune de Melzicourt). Henri, blessé, a dû être évacué dans un poste de secours en arrière du front, à Braux-Sainte-Cohière, 9 km plus au sud.
Louis PLATEAU
modifierLouis Émile PLATEAU, mort le 29 octobre 1914 à Bar-le-Duc (Meuse).
Maurice DE BOUSSIGNAC
modifierMaurice DE BOUSSIGNAC, sergent au 69e RI, mort le 29 octobre 1914 à Mondry (ou Monchy-au-Bois, Pas-de-Calais).
Eugène BOURLOT
modifierRecherches réalisées par Alice, Pauline et Marie (1re ES 4) en 2014-2015
Eugène BOURLOT est né le 11 janvier 1882 à Saint-Denis (département de la Seine). Il est affecté comme soldat de deuxième classe au 117e régiment d'infanterie, caserné au Mans. Son numéro de matricule est le 14873.
Il est mort le 30 octobre 1914 au Quesnoy-en-Santerre (dans le département de la Somme), lors de la deuxième journée d'attaque du village. Cette dernière reprend à 13 heures, lorsqu'une batterie de 105 mm arrose le terrain au sud de la grande route. À 17 h 30, un tir de l’artillerie française qui met en feu un pâté de maisons du village et réduit au silence les pièces situées dans un bois à l'est de Quesnoy. À 18 h, occupation du village suivit de nombreuses attaques et surtout de contre-attaques allemandes jusqu'à 22 h 30. Pendant la nuit, une série de courtes attaques allemandes sont repoussées et une 2e ligne française face à l'est est organisée.
Eugène est enterré au cimetière de Warloy-Baillon (dans la Somme), dans la tombe individuelle n° 117.
CHARLES LIENARD
modifierCharles Léon LIENARD, mort le 2 novembre 1914 au combat de Crouy (Aisne).
Antoine DURAND
modifierRecherches réalisées par Anais & Clara (1re ES 4) en novembre 2016
Antoine Durand est né le 18 mars 1887 au Vésinet. Membre de la classe 1907, il est recruté pour son service national par le bureau militaire de Saint-Étienne, sous le matricule 901. Lors de la mobilisation d'août 1914, il rejoint le 298e régiment d'infanterie (le régiment de réserve du 98e RI, de Roanne).
Il est mort le 12 novembre 1914 sur la commune de Vingré (Aisne), lors de la préparation d'une attaque de toute la 63e division contre les tranchées allemandes du plateau de Nouvron.
À 20 h, les fantassins français durent sortir de leurs tranchées pour se rapprocher de leur objectif, avec mission de creuser de nouveaux terrassements plus en avant. « Malheureusement, une de nos batteries ayant un tir mal réglé envoie des projectiles sur nos 1re lignes. La tranchée à laquelle travaillait la 1re section de la 23e cie doit être évacué et les hommes se retirent dans les tranchées de seconde ligne. Nous subissons quelques pertes et le travail est retardé. »
JMO du 298e RI, SHD 26 N 743/8, p. 37.
Quelques jours plus tard eu lieu l'incident dit des « martyrs de Vingré ».
Gabriel PEIL MERCION D'ARC
modifierGabriel Charles Jean PEIL MERCION D'ARC, mort le 13 novembre 1914 à Poperinge (Belgique).
Alphonse BABION
modifierRecherches réalisées par Amélie et Clémence (1re S 3) en 2014-2015
Alphonse BABION est né le 31 décembre 1890 à Croissy sur Seine. Couvreur,sa fiche signalétique nous informe que c’était un homme châtain aux yeux bleus, de petite taille (1,68 m). Ses oreilles étaient ourlées, sa bouche particulièrement grande, et ses lèvres plutôt minces. Il est affecté comme soldat de seconde classe au 37e régiment d'infanterie le 8 octobre 1912. Il fut recruté sous les numéros de matricule 2856 et 6104 à Versailles. Il avait à peine 24 ans lorsqu’il fut tué à l'ennemi entre le 13 et 16 novembre 1914 à Bixschoote en Belgique. Une approximation de date est donnée car son corps n'a jamais était retrouvé. C'est finalement l'avis ministériel qui en conclut le 22 avril 1915, qu'Alphonse BABION est mort pour la France le 16 novembre 1914 car son corps a été porté disparu ce jour-là.
Émile DABONCOURT
modifierRecherches réalisées par Théophile et Matthieu (1re S 3) en 2014-2015
Émile Théodore Louis DABONCOURT est matelot de 3e classe au 3e régiment de marins, mort le 13 novembre 1914.
Il est né à Chatou le 21 avril 1895 en Seine-et-Oise (dans le département actuel des Yvelines). Eugène était un volontaire, engagé pour cinq ans à la mairie du 8e arrondissement de Paris au titre du corps des équipages de la flotte. Il est décédé le 13 novembre 1914 à l’hôpital à la suite de « blessures de guerre ».
Gustave BEAUCHERON
modifierRecherches réalisées par Jacquie & Michel♥ (1re S 3) en 2014-2015
Gustave Émile BEAUCHERON est né le 2 décembre 1881 à Chatou. Il est le fils d'Oscar Emile et Rasse Clara Alvine et ainé de 9 enfants. Il était peintre en bâtiment. Il avait des cheveux et sourcils blonds, des yeux bleus et mesurait un mètre 65.
membre de la classe 1901, il a été incorporé le 14 novembre 1902 (numéro matricule 2949) dans le 37e régiment d'infanterie d'Évreux et immatriculé n° 5522 en tant que soldat de deuxième classe (le rang le plus bas de la hiérarchie militaire). Par la suite, il a été placé dans l'armée de réserve (comme réserviste, il retourne à la vie civile, mais il est rappelable encas de mobilisation), au 298e RI (régiment d'infanterie) de Roanne le 21 septembre 1914. Lors de la mobilisation, il était caporal au 298e RI.
Il est mort de ses blessures, le 13 novembre 1914 (à Nouvron-Vingré, dans l'Aisne), en participant à la campagne contre l'Allemagne du 12 août 1914 au 13 novembre 1914. Il participait à l'assaut contre les Allemands qui consistait à faire sauter leurs fils de fer qui empêchaient le passage d'un autre RI.
Frédéric BEYER
modifierRecherches réalisées par les Anonymous ft. les Illuminatis (1re S 3) en 2014-2015
Frédéric BEYER est soldat (chasseur) de 2e classe au 29e bataillon de chasseurs à pied (29e BCP). Il a été recruté au 2e bureau de la Seine. Son numéro de matricule au recrutement est 549. Son numéro de matricule au 29e BCP est 0438. Il est né le 29 août 1883 à Wissembourg (alors en Allemagne) mort ("mort pour la France") le 17 novembre 1914 (à Maizey, Meuse). Sa mort a été transcrite à Chatou le 17 août 1915.
p. 70 et 71 http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e005278e5691e189/5278e569e691c
Louis ANSART
modifierRecherches réalisées par La Team Otiste (1re S 3) en 2014-2015
Louis ANSART, est né le 17 août 1884 au Pecq (département : Seine et Oise). Il était caporal et appartenait au 205e Régiment d'Infanterie. Il a le numéro de matricule au corps 018306 et fait partie de la classe 1904. Son numéro de matricule de recrutement est le 2433 à Versailles. Il est mort le 20 novembre 1914 à Mametz dans la Somme. Son acte de décès fut transcrit le 14 mai 1917 au Vésinet (Seine et Oise).
Il est enterré à Amiens.
Eugène MARTAIS
modifierEugene Charles MARTAIS, mort le 11 décembre 1914 à Mametz (Somme).
Louis CADENE
modifierDe Croissy-sur-Seine, mort le 11 décembre 1914.
Henri CHEMINANT
modifierRecherches réalisées par Kimy Aurore (1re ES 2) en novembre 2018
De Croissy-sur-Seine, né le 22 décembre 1887 à Saint-Sauveur dans l'Yonne et mort pour la France le 12 décembre 1914 à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle) par un ennemi. Caporal du 353e et 89e régiment d'infanterie. n° matricule: 452 au corps 1907 et 691 au recrutement d'Auxerre. Il résidait à Rueil au 110 rue de la Gare canton de Marly le Roi département de Seine et Oise. Il était jardinier et fils de Achille et de Léontine Moreau domiciliés à Saint Sauveur, canton dudit dans l'Yonne. Il avait les cheveux et les sourcils blonds, les yeux châtains, un front ordinaire, un menton rond, une bouche moyenne ainsi qu'un visage ovale. Il mesurait 1,69 m. Henri CHEMINANT a participé aux campagnes contre l'Allemagne intérieur du 2 août 1914 au 9 août 1914, et au Cavanées du 10 août 1914 au 12 décembre 1914.
René BUISSOT
modifierRecherches réalisées par Lucas (1re ES 4) en 2014-2015
René BUISSOT est né le 29 septembre 1882 à Paris. Sergent-major au 269e régiment d'infanterie, son numéro de matricule est 011708. Le 269e RI est constitué en 1914 avec des réservistes mobilisés et quelques cadres du 69e régiment d'infanterie : à la mobilisation, chaque régiment d'active créé un régiment de réserve dont le numéro est le sien plus 200. Son régiment a été mobilisé le 7 août 1914 à Dourges (dans le Pas-de-Calais), ils ont marchés jusqu'au 25 août où ils ont reçu l’ordre d'attaquer . Il est mort le 14 décembre 1914 dans un hôpital à Thann, en Alsace, suite à ses blessures.
Louis DU SORBIERS DE LA TOURRASSE
modifierLouis Raoul DU SORBIERS DE LA TOURRASSE, mort le 19 décembre 1914 à Zonnebeke (Belgique).
André PIERRE
modifierAndré Léon PIERRE, mort le 27 janvier 1915 à Massiges (Marne)
Barthélémy BORIOS
modifierRecherches réalisées par Randy et Lucas M. (1re ES 4) en 2014-2015
Barthélémy Armand Cécile BORIOS est né le 20 mars 1891 à Puichéric (dans le département de l'Aude). Il est le fils de François et de Marie Bonnery.
Il appartient à la classe 1911, il recruté à Narbonne pour faire son service militaire de trois ans au 142e régiment d'infanterie à Mende comme soldat de seconde classe.
mobilisation il est mort le 2 février 1915 suite à ses blessures, à Ypres.
Alfred LASNE
modifierAlfred Marie LASNE, mort le 7 février 1915 au bois de la Gruerie (Marne)
Alphonse PALLU
modifierRecherches réalisées par Clara (1re ES 4) en 2014-2015
Alphonse Émile Georges Marcel Pallu, est né le 16 juillet 1882 au Vésinet, dans le département de la Seine-et-Oise (ancien département français, aujourd’hui il s'agit des Yvelines).
Il a fait son service militaire à partir de 1902 à Paris, obtenant le grade de lieutenant dans la cavalerie. Mobilisé en 1914, il est affecté au 3e régiment de dragons, caserné à Nantes, sous les ordres du colonel Schmidt. Le 3{(e)} régiment de dragons est une unité de cavalerie de l'armée française, faisant partie de la 9{(e)} division de cavalerie d'août 1914 à juin 1916. Le 3{(e)} régiment de dragons était en garnison au quartier Richemond à Nantes lorsqu'éclata la guerre.
Il a participé à la bataille de la Marne, qui a duré une semaine et a combattu l'armée allemande avec l'aide du corps expéditionnaire britannique, ansi qu'au front de l'Yser, commencé en octobre 1914 qui opposait l'Empire allemand à la France et la Belgique. Il est mort le 13 février 1915 à son domicile, 116 rue des Chalâtres à Nantes, dû à une maladie contracté en campagne.
Raoul HYON
modifierRaoul Marie Georges HYON, mort le 19 février 1915 à Souain-Perthes-lès-Hurlus (Marne)
Charles WITSCHGER
modifierCharles Albert WITSCHGER, mort le 21 février 1915 à Sapicourts (Marne)
Eugène Marcel BOYER
modifierRecherches réalisées par les babtous du 78 + le fragile (1re S 3) en 2014-2015
Chasseur au 8e BCP, mort pour la France le 7 mars 1915 (à Notre-Dame-de-Lorette). Il est né le 29 juillet 1892 à Asnières (ex Seine). Dans l'armée, il était gradé deuxième classe. Il était au 3e bataillon de chasseur à pied (unité d'élite). Son numéro de matricule est : 5418 au Corps. en 1912 et 5358 au recrutement de Versailles. Il a été "tué par l'ennemi". Son acte de décès a été transcrit le 28 juin 1916 à Chatou (ex Seine).
Éloi BOURGANELLE
modifierRecherches réalisées par Flowbert ft. Volter (1re S 3) en 2014-2015
Eloi Bourganelle est né le 30 novembre 1880 dans l'Indre-et-Loire à Francueil. Recruté à Tours dans le département d'Indre et Loire sous le matricule 1688 et a affecté au 66e régiment d'infanterie sous le matricule 6400. Soldat de deuxième au 66e RI, mort le 8 mars 1915 (à Veldok en Belgique). Il a effectué son service militaire en 1900 et il est mort pour la France le 8 mars 1915 tué à l'ennemi.
Léon FEREZ
modifierLéon Arthur FEREZ, mort le 8 mars 1915 à Perthe-lès-Hurlus (Marne).
Egon SCHIFF
modifierEgon Philippe Joseph SCHIFF, mort le 24 mars 1915 à Vauquois (Meuse).
Albert TRICHEUX
modifierRecherches réalisées par Tic et Tac (1re S 3) en 2014-2015
Albert Tricheux est né le 24 novembre 1883 au Vésinet dans les Yvelines (ex Seine et Oise)Il est de la classe 1903, avec les numéros de matricule 07187 au corps et 72 au recrutement. Il est recruté dans le département de la Seine 3{e} Bureau. Il est affecté comme soldat de 2{e} classe caserné en Normandie. Le 2 août 1914 il fut mobilisé à Sens au 368e régiment d'infenterie fait à partir du 168e.
Il est mort le 31 mars 1915 au village de Limey dans le département de la Meurthe et Moselle à Limey-Remenauville. Il fut tué par l'ennemi, il est mort au combat. Il repose sur la tombe 2154 à Paris 14{e} arrondissement.
Joseph BONNEFOY
modifierRecherches réalisées par Winnie l'ourson, Bouriquet et Porcinet !!! (1re ES 4) en 2014-2015
Joseph Marie Pierre Jean BONNEFOY est un Français né le 1er Aout 1892 à Saint-Gratien.
Son numéro de matricule est le 1087 au recrutement et 0778 au corps. Il est soldat au 164e régiment d'infanterie, mort le 25 avril 1915 à Mouilly (dans le département de la Meuse) par l'ennemi sur le champs de bataille. Il a été enterré le 9 juillet 1915 à Chatou, en Seine-et-Oise. Le 25 avril 1915, le 3e bataillon de son régiment quitte Fleury-devant-Douaumont à 12 heures et rentre à Monranville, à 15 h 30, sa mission terminé.
Pierre BARRUEL
modifierMarie François Joseph Pierre BARRUEL, soldat au 33e RI, mort le 6 mai 1915 à Bois d'Ailly.
Jean COUPART
modifierJean Alexis COUPART, soldat au 153e RI, mort le 9 mai 1915 à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais).
Paul COURANDIÈRE
modifierPaul Louis COURANDIÈRE, soldat au 47e RI, mort le 9 mai 1915 à Saint-Lambert (Pas-de-Calais).
Maurice BÉGNEZ
modifierRecherches réalisées par JP et Romain H (1re ES 4) en 2014-2015
Maurice BÉGNEZ (1893-1915), de son vrai nom Maurice Pierre Paul BÉGNEZ, est né le 18 mai 1893 à Chatou dans le département des Yvelines. Il est le fils de Adèle Louise PROUST et de Pierre Joseph BÉGNEZ. Lors de son existence, il a participé au conflit mondial débutant en 1914 comme soldat de l'armée française, à l'intérieur du 152e régiment d'infanterie, matriculé 3319 et recruté à Paris.
Le 152e RI a été surnommé « régiment des Diables Rouges » par les Allemands au cours des combats du Vieil-Armand en 1915 (en allemand : l’Hartmannswillerkopf). La bataille pour l'Hartmannswillerkopf a lieu du 19 janvier au 22 décembre 1915 sur cette montagne des Vosges située en Alsace, qui était alors un territoire allemand. Maurice BÉGNEZ participera à cette bataille ce qui lui sera décisif et périra le 9 mai 1915 suite à de graves blessures, à Remiremont.
René MORISE
modifierRecherches réalisées par Gillian et Alexis (1re ES 4) en 2014-2015
René Louis MORISE est né le 20 septembre 1893 à Chatou en Seine-et-Oise. Il commence son service militaire en 1913, avec affectation comme chasseur de 2e classe au 19e bataillon de chasseurs à pied, une unité en garnison dans la place fortifiée de Verdun. Dans la nuit allant du 31 juillet au 1er août, son bataillon est envoyé à Fresnes-en-Woëvre (à l'est de Verdun) pour surveiller la frontière allemande et pour protéger les débarquements de la mobilisation.
Il est mort le 14 mai 1915 à l’hôpital de Changy (dans la Marne) à la suite de ses blessures.
Edmond LOUIS
modifierRecherches réalisées par Rémi et fasol (1re S 3) en 2014-2015
Edmond Adolphe LOUIS est né le 4 mars 1886 à Chatou,dans les Yvelines (Seine et Oise à l'époque).
Edmond Adolphe LOUIS est chasseur à pied de 2e classe au 21e bataillon de Chasseur à Pied. Son numéro de matricule au corps était 0446 et son numéro de matricule au Recrutement était 2775. Il était de la classe de 1906. Le surnom de son bataillon était le Bataillon du Donon et la devise était "Qui s'y frotte s'y pique".
Sa fiche indique qu’il est mort le 20 mai 1915 au camp de Wittenberg-sur-l'Elbe (Allemagne) d'une maladie (typhus) contractée en captivité.
Il n’est pas le seul à être mort du typhus dans ce camp puisque près de 800 morts furent identifiés en 3 mois. Un autre site dit que le jour de sa mort, 4 prisonniers sont également morts lors d'un exercice : un coup de sifflet était lancé par l'officier de service auquel répondaient les sifflets des sentinelles disséminées autour de l'enceinte. Ce signal annonçait le début de l'exercice. Selon les termes des affiches placardées sur les murs, les prisonniers devaient alors regagner au plus vite leurs places. Un délai de dix minutes leur était accordé pour cela. Toute infraction à cet ordre entraînait la peine de mort.
Émile FRIQUET
modifierÉmile Louis Marie FRIQUET, né le 12 septembre 1893 et meurt le 4 juin 1915 en mer. Il né dans le département du Nord, à Hérin. Il était gradé Matelot de 2e classe canonnier. Il vécu également en Ile-de-France au Vésinet dans la Seine et Oise. Au moment du décès il était a bord du Latouche Tréville. Numéro de matricule: 31830 Il meurt tragiquement a bord du navire Latouche Tréville le 4 juin 1915 en pleine mer.
Marcel AUREAU
modifierRecherches réalisées par Victor et R (1re ES 4) en 2014-2015
Marcel Auguste Denis AUREAU est né le 23 septembre 1878, à Paris dans le 10e arrondissement, il était un industriel. Il effectue son service militaire en 1898, immatriculé 7555ET (au corps) et 2380 (ou 2386, on ne distingue pas clairement le dernier chiffre) au bureau de recrutement de Versailles (à la 3e compagnie).
Il est sergent au 228e régiment d'infanterie sous les ordres du capitaine Ernest Gouin, lors de la mobilisation de 1914, avant de décéder le 23 mai 1915 à Neuville-Saint-Vaast (dans le Pas-de-Calais), mort pour la France « tué par l'ennemi », d'un coup d'éclat d'un obus à la tête, lors des bombardements de l'offensive d'Artois. Il devait être promu officier quelques jours après sa mort[1].
Marcel était le fils de M. Gustave AUREAU et de Madame, née Brillet. Il était marié à Charlotte LEFEBVRE, fille de M. et Madame née DELOZANNE, avec qui il a eu deux enfants. Il avait également un frère, André, engagé également au 228e régiment d'infanterie. André était commissaire priseur à Paris. Il décède le 7 juin 1915 lui-aussi à Neuville-Saint-Vaast, « mort pour la France ».
Sources :
- Fiche d'identité de Marcel-Auguste-Denis AUREAU
- Livre de bord de Mars 1915 à Novembre 1915, page 17
- Fiche de présentation de Marcel-Auguste-Denis AUREAU
Ernest GRUET
modifierRecherches réalisées par les Titines (1re ES 4) en 2014-2015
Ernest Henri GRUET est né le 6 octobre 1893 à Chatou (Seine-et-Oise). Il fait son service militaire comme soldat de 2e classe au 167e régiment d'infanterie, le régiment qui sert de garnison à la place fortifiée de Toul.
Ernest Gruet est tué le 27 mai 1915 (« tué à l'ennemi » avec mention « Mort pour la France »)[2] lors des combats du Bois-le-Prêtre (sur la commune de Montauville, dans la Meurthe-et-Moselle, à l'ouest de Pont-à-Mousson) avec 13 autres de ses camarades. L'objectif de l'attaque ce jour-là était de prendre les tranchées allemandes. L'opération commence par une préparation d’artillerie puis les fantassins lancent l'attaque. Selon le journal de marche du régiment, « Dans le sous-secteur de gauche, l'assaut est donné à toute allure, les hommes n'ont pas de sacs aucune pertes n'est subie. Ces tranchées ennemies sont nettoyées, il est fait 80 prisonniers dont 2 officiers, une mitrailleuse est prise [...] »
Alexandre BONNEAU
modifierRecherches réalisées par Momo et son Dieu (1re ES 4) en 2014-2015
Né le 12 avril 1886 à Paris, Alexandre Bonneau combat durant la Première Guerre mondiale en tant que caporal dans le 36e régiment d'infanterie, au sein de la 9e compagnie. Il meurt le 1er juin 1915 à Neuville-Saint-Vaast dans le Pas-de-Calais suite à la prise d'une ville tué par l'ennemi avec la majorité de sa compagnie.La ville sera reprise par les Allemands la nuit suivante entre 3 h et 4 h du matin. Son nom est inscrit sur le monument au morts de Croissy-Sur-Seine.
Lucien CAMILLE
modifierLucien Paul CAMILLE, mort le 6 juin 1915 à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais).
André AUREAU
modifierRecherches réalisées par clement et a (1re ES 4) en 2014-2015
Fils de Charles Emile Gustave et de Balley Marie Hélène André, Adolphe Gustave AUREAU est né le 28 juillet 1881 à Chatou. Il a étudié 5 ans dans le domaine général. Il avait des cheveux et des sourcils blonds des yeux marron un front ordinaire un nez de taille moyenne ainsi que sa bouche. Il avait un menton rond et un visage ovale. Il mesurait un mètre 68. il habitait dans le 8e arrondissement de Paris.
D'abord affecté au service auxiliaire, il passe soldat de seconde classe au 228e régiment d'infanterie (le régiment d'Évreux, au sein du 3e corps). Il est mort le 7 juin 1915 à Neuville-Saint-Vaast (dans le Pas-de-Calais) au Labyrinthe, « tué à l'ennemi » avec mention « mort pour la France ».
André Aureau avait un grand frère (Marcel Aureau) qui lui aussi combattit pour la France.
Pour des information sont supplémentaire: lien: -http://archives.yvelines.fr/arkotheque/client/ad_yvelines/incorporation_militaire_indexation/resus_rech.php.
Maurice HARDOUIN
modifierMaurice Emile HARDOUIN, mort le 11 juin 1915 à Amiens (Somme).
Eugène LAUBEUF
modifierEugène Antoine François LAUBEUF, mort le 19 juin 1915 au Bois-le-Prêtre (Meurthe-et-Moselle).
Georges ANCELLE
modifierRecherches réalisées par Sarah (1re S 3) en 2014-2015
Georges Albert ANCELLE est né le 1er janvier 1887 à Ligny-en-Barrois (dans le département de la Meuse). Son numéros d'état civil est 1987/2714.
Il fut soldat de seconde classe dans le 94e régiment d'infanterie. Son numéros de matricule au corps est 0246q, au sein de la classe 1907. Son numéros de matricule au recrutement est 1906 à Verdun. Il est « mort pour la France » le 14 juillet 1915 à l'âge de 28 ans, à Vienne-le-Château dans le hameau de La Harazée au sein de l'Argonne (dans la Marne).
D'après les Journaux des marches et opérations des corps de troupe, George ANCELLE fut tué lors de plusieurs combats de tranchées le 13, 14 et 15 juillet, qui furent continuellement repoussées par les Allemands. Pendant la journée du 13, Les pertes (morts, disparus, prisonniers et blessés) recensées dans le régiment est de 665 hommes sur 2 474 hommes.
Georges RATEAU
modifierGeorges Auguste RATEAU, mort le 20 juillet 1915 à Quédtinburg (Allemagne)
Victor JUÉ
modifierRecherches réalisées par Andimouse et Josépé pétunia (1re ES 4) en 2014-2015
Victor Désiré Jué est né le 15 mars 1876, il habitait à Chatou dans le département de la Seine-et-Oise. Victor appartient à la classe 1896, avec comme numéro de matricule le 4384 au corps et 1932 au recrutement. Il était sous-lieutenant au 297e RI.
Il est « mort pour la France » le 25 juillet 1915 au lieu-dit la Tête de Faux situé en Alsace dans la vallée de Kaysersberg. Il a été « tué à l'ennemi »[3]. Lors de la nuit du 25 juillet au 26 juillet 1915, sa division reçoit l’ordre de rejoindre le front. Vers les coups de 20 h, son régiment et lui partent pour relever le 19e bataillon de chasseurs. Quelques heures plus tard le sous-lieutenant mourra et se fut le seul de la soirée.
François CHAUVIN
modifierFrançois Victorin CHAUVIN, soldat au 18e RIT, mort de maladie le 2 août 1915 à Amiens.
Léandre CARTERON
modifierLéandre Charles Joseph CARTERON, soldat au 7e régiment de zouaves, mort le 7 août 1915 à Zuydcoote (Nord).
Roger FERRAND
modifierRoger Jean FERRAND, mort le 8 août 1915 à Herouville (Calvados).
Édouard BEAUDEMONT
modifierRecherches réalisées par Les Illuminatis ft. Anonymous (1re S 3) en 2014-2015
Édouard Léon Martial BEAUDEMONT est né le 5 novembre 1873 à Croissy-sur-Seine, en Yvelines, anciennement Seine-et-Oise. C'est un soldat au 18e RIT,dans lequel il a pour numéro de matricule au corps le 15917, et pour numéro au recrutement le 774. Ce soldat de seconde Classe est mort le 9 août 1915 (maladie, à Vitry-le-François).
Clément BEAUDEMONT
modifierRecherches réalisées par Les Illuminatis ft. Anonymous (1re S 3) en 2014-2015
Clément Amédée BEAUDEMONT est né le 21 mai 1876 à Croissy-sur-Seine. Il est le fils de Clément Alphonse et de Lucie Roger ; il était peintre dans le bâtiment, avec un degré d'instruction générale de niveau 3. Lors de son service militaire, il reçoit le matricule 1632.
Il faisait partie du 147e régiment d'infanterie. Il a participé à toute la guerre : il est mobilisé le mardi 4 août 1914 et puis survit jusqu'à l'arrêt de son service le lundi 13 janvier 1919. Pour cela, il a été décoré de la croix de guerre. Il avait un grand frère Edouard Léon Martial qui est mort de maladie dans d'atroce souffrance juste après la fin des combats.
Henri LELIEVRE
modifierHenri Alphonse LELIEVRE, mort le 19 août 1915 à Belleville (Meurthe-et-Moselle).