Recherche:Morts 14-18/2017-2018
Les séances de l'année scolaire 2017-2018 sont consacrées à la période de début septembre 1917 à fin août 1918.
→ Article connexe à utiliser : offensive du printemps.
Travail à faire
modifier- Choisir un militaire parmi ceux proposés ci-dessous (chacun le sien) ;
- enquêter pour savoir qui il est, en utilisant les ressources proposées ;
- rédiger un petit paragraphe présentant le parcours de ce militaire et de son unité.
Pensez à réserver votre militaire en apposant le bandeau suivant :
Recherches réalisées par ??? (1re ES 4) en novembre 2017
Première étape : la base des « morts pour la France » permet de trouver le nom complet (avec le deuxième voir troisième prénoms pour éviter les homonymes), la fiche fournissant la date et le lieu de naissance, la classe (année des 20 ans, année du recensement avant de faire son service militaire), le numéro matricule lors du recrutement, le grade, l'unité, ainsi que la date et le lieu de décès.
Deuxième étape : à partir de la classe et du numéro matricule, les registres de matricules de Versailles (s'il est du département, sinon il faut consulter les archives d'un autre département, en espérant qu’elles soient en ligne...) fournissent les identités des parents, une description physique, le métier et un récit des affectations.
Troisième étape : avec les noms de l'unité d'affectation (régiment ou bataillon), une recherche sur Wikipédia donne le lieu de casernement et les différents opérations (on peut consulter aussi le journal de marche de l'unité sur le site mémoire des hommes).
Pour d'autres sources (par exemple le recensement), cf. Recherche:Morts 14-18#Sources.
Éléments à rechercher (si possible) :
- nom complet (pour éviter les homonymes), date et lieu de naissance ;
- lieu de domicile (si possible la rue), membres de la famille, travail dans le civil ;
- dates d'incorporation (début du service militaire) et/ou de mobilisation, classe (année des 20 ans) ;
- régiment, lieu(x) de casernement, corps d'armée d'affectation, grade, opérations pendant la guerre ;
- date et lieu de décès, type de décès, lors de quelle bataille, âge au décès et lieu de sépulture.
Pour les sources, cf. Recherche:Morts 14-18#Sources.
Morts
modifierLouis ARCHEVÊQUE
modifierRecherches réalisées par Elle (1re ES 4) en novembre 2017
Louis, Jean, Fernand ARCHEVÊQUE, Né le 4 février 1893 au Vésinet, département de la Seine-et-Oise. Il fait partie de la classe 1913, c'est-à-dire qu'il a été recensé cette année-là, l'année de ses vingt ans. Il est recruté pour le service national, à l'époque de trois ans, à l'automne 1913. Il est affecté comme canonnier servant au 32e régiment d'artillerie de campagne (le 32e RAC), régiment équipé de canons de 75 mm et servant d'artillerie divisionnaire à la 38e division, celle d'Alger.
Il est déclaré « mort pour la France » le 18 septembre 1917 à Chassemy (Aisne), Les combats y sont très rudes, notamment début septembre 1918.
René CHAUVELIN
modifierRené Pierre CHAUVELIN, soldat au 30e BCP, mort le 14 octobre 1917 près de la butte de Tahure (Marne)
Charles FOUCARD
modifierRecherches réalisées par Mathilde, Alexandra et Fabian (1re ES 4) en janvier 2015
Charles Adolphe FOUCARD est né le 30 août 1878 à Chatou (dans le canton de Saint-Germain-en-Laye, département de la Seine-et-Oise). Horticulteur, sa fiche signalétique nous informe qu’il est chauve et mesure un mètre 69, avec des sourcils châtains. Il est caractérisé « propre au service », de la classe 1898 (l'année de ses vingt ans), il est recruté à Versailles sous le numéro matricule 2378. Il fait son service militaire au 106e régiment d'infanterie à partir du 16 novembre 1899 en tant que soldat de seconde classe. Il passe au grade de caporal le 2 septembre 1900. Son « certificat de bonne conduite » accordé, il est renvoyé à la vie civile le 29 novembre 1900.
Il est rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale et arrive le 4 aout 1914 au 17e régiment d'infanterie territoriale où il est nommé sergent. Le 5 octobre 1917, son régiment est retiré du front. Cependant, Charles Foucard est « tué à l'ennemi », avec la mention « mort pour la France », le 23 octobre 1917 à Beaumont (dans le département de la Meuse, près de Verdun).
Maurice LOUIS
modifierRecherches réalisées par Malou (1re ES 4) en novembre 2017
Maurice Alphonse Charles LOUIS, né le 5 octobre 1894 à Chatou (dans le canton de Saint-Germain-en-Laye, département de la Seine-et-Oise). Fils de Alphonse Charles et Eloy Eugénie. Il a résidé à Chatou au 7 rue de la Sablière. Il était comptable.
Sa fiche est conservée aux archives des départements des Yvelines, cote 1R/RM 509. Selon cette fiche, il avait les cheveux châtains clairs, un front moyen, les yeux bleus clairs, le visage étroit, le nez rectiligne, une petite bouche, des lèvres minces, un menton saillant. Et mesurait un mètre 76.
Il était soldat lors de la Première Guerre mondiale , et faisait parti de la deuxième classe, et fut affecté au161e régiment d’infanterie, le 5 septembre 1914.Il a été réformé par la Commission Spéciale de Guingamp le 7 avril 1915 pour cause de bronchite. Puis lors de la Commission spéciale de Seine et Oise, il a été déclaré inapte du 17 août 1915 au 17 septembre 1915. Et fut ainsi affecté dans le 109e régiment d'infanterie le 29 septembre 1915, durant lequel il participa à la bataille de l'Artois et il finit dans le 21e régiment d'infanterie le 14 avril 1916.
Il est mort le 23 octobre 1917 à 12h30, à Sermoise (dans le département de l'Aisne) lors de la bataille de la Malmaison , dans une ambulance, d'une plaie au cou qui conduit à une lésion des vaisseaux, et a été inhumé au cimetière de Sermoise.
Gustave BEAUVERY
modifierRecherches réalisées par Fait Bélek (1re ES 4) en janvier 2015
Gustave Émile BEAUVERY, est né le 1er juin 1884 à Chatou dans les Yvelines (ex Seine-et-Oise). Fils de Gustave et de Juliette Gachet, il avait les cheveux brun, les yeux gris, le front découvert, un nez de taille moyenne, une petite bouche, un visage ovale, et un menton rond. IL mesurait 167 centimètre et appartenait au 28ème régiment d'infanterie du 21eme corps du régiment colonial de 2eme classe. IL est mort le 1er novembre 1917 à l'age de 33 ans dans une ambulance à (Romain(Marnes) suite à des blessures de guerre
Jean COLIN
modifierRecherches réalisées par Romain et Annabelle (1re ES 2) en décembre 2018
Jean Lambert Alphonse COLIN, général de brigade à la 30e DI, mort le 30 décembre 1917 (à Holeven, Serbie)
Jean Colin (également Jean-Alphonse et Jean-Lambert-Alphonse),Né chez ses grands-parents DEHARME - Rueil (92) en 1905 puis il est mort le 30/12/1917 (53 ans) Serbie Commune : Holeven et mort des suites de blessures (mention mort pour la France).
Mention Mort pour la France : Oui était un écrivain général et militaire français. Il a été jugé "l'un des brillants membres de l'état-major français avant 1914".Formé à l'École polytechnique, il travailla au service de l'histoire de l'armée de 1900 à 1906. Il servit pendant la Première Guerre mondiale, fut fait général de brigade en 1917 et fut tué cette année-là en Serbie. Il a traduit Der Feldzug von 1796 de Clausewitz en italien (1859) sous le titre Études sur la campagne de 1796-1797 en Italie (1889). Son œuvre la plus connue est Les transformations de la guerre (Paris, 1911), traduites par «La France et la prochaine guerre» ou par «Transformations de la guerre» de L.H.R. Pope-Hennessy (Londres, 1912). Ses critiques de Napoléon et de l'école offensive étaient controversées. Mobilisé dans la classe de 1884 et libéré du service militaire en 1910. Sa description physique n'est pas indiqué dans les archives.
Maurice AMOUDRY
modifierRecherches réalisées par Chachat et Pissenlit (1re ES 4) en novembre 2017
Maurice Joseph Pierre AMOUDRY, né à Paris (dans le 7e arrondissement) le 26 avril 1893. Soldat de seconde classe, au 4e régiment de marche de tirailleurs tunisiens (régiment d'infanterie appartenant à l'armée d'Afrique et dépendant de l'armée de terre française). « Mort pour la France » le 27 février 1918 de la grippe espagnole, à Chatou (Seine-et-Oise). Numéro de matricule : 3119. Année de recrutement : 1913 dans le 2eme bureau de la Seine. Recensement (durée) : 5 ans au lieu de 1 an.
On retrouve très peu d’informations sur lui car :
- il faisait partie du régiment des tirailleurs tunisiens (bien qu'il ne l'était pas) pour surveiller les tunisiens du régiment
- étant mort de la grippe espagnole comme de nombreuse autres personnes, il n'y a pas d'informations
Jean CAUBIT
modifierRecherches réalisées par Laura et Albane (1re ES 2) en décembre 2018
il est né le 25 mars 1891 à Alfortville dans le Val-de-Marne (94) et a résidé au 60 boulevard Carnot au Vésinet.
Son numéro de matricule au recrutement de Versailles était 2907.
Il avait les cheveux et les sourcils châtains, les yeux bleus, le front haut, le nez fort, la bouche moyenne, le menton rond et le visage ovale. Il mesurait 1 mètre 68.
Il était Clerc d'huissier.
Il était le fils de feu Jean Bernard Ernest et de Marie Louise Angèle.
Il s'est engagé volontairement pour 3 ans le 23 avril 1910 à la Maire de Saint Germain en laye au titre du 6e régiment de Chasseurs d'Afrique arrivé au corps le 29 avril 1910 et immatriculé sous le numéro 973.
Jean Raoul Pierre CAUBIT, sergent au 6e Régiment Infanterie Coloniale, mort de ses blessures le 11 mars 1918 à l'hôpital de Beauvais dans l'Oise. La transcription décès est arrivée à Nanterre.
Herbert SON
modifierRecherches réalisées par rhouya rachida et rhouya yazo coucou (1re ES 4) en novembre 2017
Herbert Son est né le 15 avril 1892 à Paris et mort le 26 mars 1918 à l'hospice mixte de Vesoul dans le département de la Haute-Saône. Il habitait au Vésinet, était peintre en bâtiment et n'était pas marié. Il était inscrit sous le numéro 341 de la liste du canton de Saint-Germain en Laye et classé dans la première partie de la liste en 1913. Physiquement il avait des cheveux châtains foncés, des yeux bleus enfoncés, avait un front vertical, un nez convexe, tout cela rassemblé sur un visage ovale. De plus, il mesurait un mètre 75. Il était soldat de première classe le 23 avril 1914, ensuite il est passé au grade de caporal le 11 septembre 1914. Le 11 mars 1915, il est passé au 403e régiment d'infanterie dont il est nommé sergent le 16 juin 1915. Le 28 septembre 1915 il est nommé adjudant et promu sous-lieutenant à titre temporaire. Il fut évacué blessé(plaie région lombaire et avant bras gauche par éclats d'obus) le 31 mai 1916 au camp de Valéras et passe au 102ème Régiment d'Infanterie le 10 février 1917 puis au 67ème Régiment D'Infanterie le 6 mai 1917. Il meurt le 26 mars 1918 par maladie contractée. Herbert Son était quelqu'un qualifié d'énergique et intelligent qui a su élevé le moral de ses hommes même sous des bombardements violents. Il est mort pour la France.
Lucien COURTEL
modifierRecherches réalisées par Océane (1re ES 4) en novembre 2017
Lucien COURTEL est né le 12 décembre 1894 à Paris et mort le 27 mars 1918. Il résidait à Croissy-sur-Seine, était maraîcher et n'était pas marié. Il était inscrit sous le numéro 77 de la liste du canton de Saint-Germain-en-Laye et classé dans la première partie de la liste en 1914.
Il faisait 1,72 m, il avait les cheveux et les yeux marron foncé. Il avait un front fuyant, un nez rectiligne et un visage rond. Sa bouche était grande, ses lèvre épaisses et son menton saillant.
Le 4 septembre 1914 il est passé Régiment des dragons de 2ème classe. Il est ensuite passé le 9 octobre 1914 au 144ème Régiment d'Infanterie puis le 15 janvier 1915, il est passé au 57ème Régiment d'Infanterie. Il est parti le 22 janvier 1915 aux armées. Il est reparti aux armées le 10 octobre 1916 après avoir quitté l'hôpital de Saint Germains-en-Laye qu'il avait intégré le 27 juillet 1916. Il s'est battu contre l'Allemagne du 5 septembre 1915 eu 27 mars 1918. Il s'est fait blessé à Dorant (territoires de Belfort) le 18 septembre 1917 par éclat de grenade dans le nez puis il s'est par la suite fait tué à Mont Renaud le 27 mars 1918 en contribuant à refouler à la grenade un groupe ennemi qui tentait de les approcher.
Il est mort pour la France.
Il n'avait pas d'antécédents judiciaires et était qualifié de très bon soldat, grenadier d'élite, d'un courage et d'un élan remarquable.
Émile BORCIER
modifierRecherches réalisées par B&E (1re ES 4) en novembre 2017
Émile Maxime Georges BORCIER, « mort pour la France » à 25 ans, « tué à l'ennemi » par un obus selon le journal de marche et opération des corps de troupes le 5 avril 1918 à Camelin (Aisne) était dentiste militaire au 204e régiment d'infanterie lors de la Première guerre mondiale. Il est né le 19 avril 1893 à Paris, mais résidait au Vésinet. Il avait pour numéro de matricule de recrutement de Versailles le n° 4692, et appartenait à la classe 1913. Fils de Maxime Edouard et de Marguerite Généra, il avait les cheveux châtains, un visage ovale ayant les yeux bleus et il mesurait environ un mètre 73. Dans l'armée active, il a été affecté au 39e régiment d'infanterie, puis à la 3e section d'infirmiers et enfin au 4e régiment d'infanterie.
René CLAVEL
modifierRené Lucien Octave CLAVEL, soldat à la 6e section du train des équipages, mort de maladie le 7 avril 1918 à Saint-Maurice (Seine)
Louis DE LORDAT DE LAUNAY
modifierRecherches réalisées par « ceux-du-fond-qui-bavardent » (1re ES 4) en novembre 2017
Louis, Marie, Jean, René de Lordat de Launay est né le 11 novembre 1895 à Neuilly-sur-Seine. Il avait le grade d'enseigne de vaisseau de 2e classe, affecté sur le contre-torpilleur Fleuret, un navire construit à Rochefort en 1905-1906 et affecté en 1918 aux patrouilles dans la Manche, avec sa base à Cherbourg. Il est « mort pour la France » le 10 avril 1918 (mort d'une angine ulcéreuse) à Cherbourg.Sa tombe ce trouve a Cherbourg dans le carré militaire.
Jean AMISSE
modifierRecherches réalisées par Pierre et Jérémy (1re ES 4) en novembre 2017
Jean AMISSE est un journalier né le 20 février 1891 à Chatou canton de Saint-Germain dans le département Seine et Oise.
Il s'est engagé volontairement à Versailles pour cinq ans le 18 décembre 1909, avec affectation dans le 9e régiment de dragons. Il arrive au corps le 20 décembre 1909 et immatriculé n° 890. Il passe au 2e régiment de chasseurs d'Afrique le 2 septembre 1912. Passé au 18e escadron du train des équipages le 5 octobre 1914. Passé au 21e régiment de chasseurs d'Afrique le 23 février 1915. Il décède à l’hôpital Michel Lévy à Marseille le 5 mai 1918.
Jacques PÉPHAU
modifierJacques PÉPHAU, mort le 27 mai 1918 à Busseboom (Belgique)
Armand SALMON
modifierRecherches réalisées par Sara et Julie (1re ES 4) en novembre 2017
Armand Louis Jules SALMON, est née le 20 mai 1892 à Chatou dans le département de la Seine-et-Oise. classe 1912 n° matricule 6450 au 2e bureau de recrutement de la Seine (à Paris). Il était caporal et il faisait partie du 31e bataillon de chasseurs à pied. mort au fort de Condé, dans le département de l'Aisne le 28 mai 1918
Henri DE CASTERAN
modifierRecherches réalisées par Laulaudu78 et Mamadu78 (1re ES 4) en novembre 2017
Yves Jules Marie Henri DE CASTERAN, sergent au 141e RI, détaché au 2e groupe d'aviation, mort par accident le 1er juin 1918 à Champaubert (Seine-et-Marne).
Maurice DENIS
modifierRecherches réalisées par Noémie (1re ES 4) en novembre 2017
Maurice Louis DENIS est né le 11 octobre 1883 à Chatou dans les Yvelines (ex Seine-et-Oise) et est mort pour la France le 11 juin 1918 à La Veuve dans la Marne. Fils de Charles Désirée et de Lanterre Marie Ernestine, c'était un jeune homme ayant un visage ovale, les yeux et les sourcils noirs et mesurait 1,66 m. Il était ouvrier d'usine avant d'être soldat de seconde classe dans le 43e régiment infanterie puis dans le 23e régiment d'infanterie coloniale lors de la Première Guerre mondiale où il meurt d'une fracture du crâne.
Eugène LEPEINTEUR
modifierRecherches réalisées par Gabi et chezzycrustt (1re ES 4) en novembre 2017
Eugène Léon Lepeinteur est né le 25 avril 1888 à Chatou. Fils de Eugène Fréderic Arsène Lepeinteur et de Marie Caroline Amphoux. c'était un jeune homme aux cheveux châtains, aux yeux gris-clair, au menton rond, au visage ovale, il mesure un mètre 68 et a deux cicatrices sur le genou. Il sait à peu près lire et écrire.
Faisant partie de la classe 1909, il est incorporée en en octobre 1909 au 9e régiment de dragons (caserné dans quelle ville en temps de paix ???). Rengagé en juillet 1910 pour une année de plus dans l'armée. Il va alors aller le 1er régiment d'artillerie coloniale. il se réengage le 3 février 1911 pour cinq ans auprès du sous-intendant militaire de Lorient. Il arrive le 15 octobre 1911 au 9e régiment d'infanterie coloniale. Il est nommé soldat de 1er classe le 1er janvier 1915 puis caporal le 26 septembre 1916 et enfin il passe sergent le 1er mai 1917. Il passe au 1er régiment d'infanterie coloniale le 8 août 1917. Avant d’être sergent dans le 75e bataillon de tirailleurs sénégalais (le 75e BTS) le 18 mars 1918, il fut recruté à Versailles (n° matricule au recrutement : 2704). Ensuite, le 30 juin 1918 dans le bois de Manheulles (département de la Meuse), il est « mort pour la France », tué durant une bataille.
Lucien LONGE
modifierLucien Henri LONGE, mort le 15 juillet 1918 dans le secteur de Souain (Marne)
Camille FILLOUX
modifierRecherches réalisées par Lucas et Yanis (1re ES 4) en novembre 2017
Camille Alexandre FILLOUX est né le 13 juillet 1891 à Chatou dans le canton de Saint-Germain-en-Laye , il habitait au 2 rue de la Rampe 78400 Chatou . Son teint était basané , avant son entrée en guerre , il était étudiant dans une école d'architecte , il rentra en guerre à 23 ans .Durant sa vie civile ,Il était sous-lieutenant au 178e RAT, et fut nommé Maréchal des Logis , il mourut pour la France le 15 juillet 1918 à Boursault (Marne) . Il fut décoré de la croix de guerre avec une étoile de guerre .
Pierre COLLIN
modifierRecherches réalisées par Maxou et PE (1re ES 4) en novembre 2017
Pierre Marie COLLIN né le 14 mai 1890 à Le Merzer, dans le département des Côtes-d'Armor, anciennement appelé Côtes-du-Nord jusqu'en 1990. Il est mort au front le 17 juillet 1918 au nord-ouest de Clairefontaine. Fils de Pierre Francois Collin et de Jeanne Laurence Languy. Il résidait dans la commune de Saint-Martin-de-Dieux, dans le département du Calvados en région Normandie, où il était cultivateur.
Il avait le visage ovale, les cheveux châtain foncé et les yeux gris foncé. Il mesurait 1,58 m.
Il était soldat au 47e régiment d'infanterie. Son numéro de matricule était 06590. Il fut Mobilisé le 3 août 1914. Il est Partit en campagne le 13 octobre 1914. Il est blessé au Suippes, dans la Marne, le 13 octobre 1916 avec un éclat d'obus dans la cuisse gauche. Il est soigné dans un hôpital à Beauvais du 14 octobre 1916 au 13 novembre 1916, il rejoint son corps aux armées après une permission de 7 jours. Il est évacué, blessé, le 2 avril 1918 au environ de Verdun, il rejoint son corps au front le 13 mai 1918. Il est évacué malade, atteint d'hydrocèle, le 14 mai (ou juin) 1918. Il rejoint son corps au front le 18 juin 1918 et est tué le 17 juillet 1918. Mort pour la France.
Léon PETIT
modifierRecherches réalisées par Ambre, Alexlerock et HugoBoss (1re ES 4) en novembre 2017
Léon Victor PETIT, né le 23 mai 1898 à Chatou et mort le 21 juillet 1918 à Vauxbuin (Aisne) Il fut au grade de 2eme classe dans le 9eme régiment de Zouave
Recruté à Versailles en 1918 sous le numéro de matricule 2738. Il est mort peu de temps après le 21 juillet 1918 à cause d'une bataille et tué par l'ennemi allemand. Son acte a été transcrit le 15 mai 1919. Les zouaves sont des unités françaises d'infanterie légère appartenant à l'armée d'Afrique. Souvent associés à l'image des batailles du Second Empire et connus pour leur uniforme singulier, ces unités ont existé de 1830 à 1962. Son père s'appelait Laurent Philippe et sa mère se nommait Feue Mard Marie Edmée, ils habitaient à Chatou. Léon avait des cheveux chatains, des yeux jaûnatres, il louchait l'œil gauche et un visage allongé.
Louis PERLIN
modifierRecherches réalisées par laulaudu78 et mamadu78 (1re ES 4) en novembre 2017
Louis Maurice PERLIN est né le 10 novembre 1883 à Vienne-le-Château dans le département de la Marne. Son visage était ovale, ses yeux étaient gris et il mesurait un mètre 69. Il a commencé à vivre à Suippes, comme cocher, puis il a déménagé au Vésinet (au n° 68 du boulevard Carnot) du 22 octobre 1902 au 19 octobre 1910, puis à Montesson, ensuite en Tunisie (à la gare de la mine de Kola Djerba) avant de revenir au Vésinet à la même adresse.
Étant né en 1883, il faisait partie de la classe 1903, l'année de ses vingt ans. Recruté à Châlon-sur-Marne, il fut incorporé au 8e régiment de dragons (un régiment de cavalerie caserné à Lunéville) le 15 novembre 1904. Il fut rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale au 46e régiment d'artillerie le 4 août 1914 (les canons sont alors tracté par des chevaux, d'où l'intérêt d'un spécialiste). Décédé le 25 août 1918 dans l'ambulance 16 à Villers-Cotterêts (Aisne) des suites d'une blessure.
Eugène AMISSE
modifierRecherches réalisées par Thibaud et William (1re ES 4) en novembre 2017
Eugène AMISSE, né le 3 avril 1899 à Croissy-sur-Seine. Matelot troisième classe sans spécification, appartenant à l'école des ballons captifs (unité d'observation aérienne des fonds marins) de l'armée navale à Corfou (Grèce). Atteint de la fièvre typhoïde, il est mort à l’hôpital Sainte-Anne de Toulon le 31 août 1918.
Albert JAMET
modifierRecherches réalisées par Justine♥ et Léa♥ (1re ES 2) en décembre 2018
Albert René JAMET né le 12 juin 1898 à Géhée dans le département de l'Indre. Fils de Gustave Jamet et Valérie Lay. Il était domicilié à Champenoise et était cultivateur. Physiquement, il avait les cheveux blonds foncés, les yeux marrons moyens, le front verticale bas, le nez convexe fort, le visage ovale et il mesurait 1,62 m. Incorporé le 3 mai 1917. Arrivé au corps et soldat de 2e classe, il était au 90ème régiment d'infanterie le 10 décembre 1917, il est passé au 146ème régiment d'infanterie le 8 juin 1918. Il a été tué à l'ennemi le 25 juillet 1918 au Bois de Barbillon.