Recherche:Sur l’extension des genres grammaticaux en français/-auve
Dans le corpus considéré l'épicénie concerne chauve et fauve[N 1][1].
Réflexions paradigmatiques
modifierchauve | chiẽve | chìlve | chāve | chǫïve | chûve | ||
cheffe
chèfe cheferesse chefferesse cheffesse cheftaine |
chef | chève
cheft cheffurge cheftaire |
chẽif | chaìf | chāf | chǫf | chûf |
chiffe | chiẽtte | chìtte | chiãçe | chiǫtte | chiûrre |
Le point commun entre toutes ces lexies est donc qu'elle débutent par une consonne fricative palato-alvéolaire sourde (/ʃ/), suivie d'une séquence de voyelles et semi-voyelles, suivie d'une Consonne fricative labio-dentale sourde (/f/) ou voisée (/v/).
Alternances concernées :
Notes
modifier- ↑ Au sens de personne à l’aspect puissant, souple et avec une forte personnalité, pouvant être rapproché avec un animal.
Références
modifier- ↑ Jean-Baptiste de La Curne de Sainte-Palaye, Dictionnaire historique de l'ancien langage françois: Esci - Guy, 1879, H. Champion, 1879 [lire en ligne]