Outils mathématiques pour la physique (PCSI)/Théorème de Taylor-Young et développements limités d'une fonction d'une variable

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Approximation linéaire d'une fonction d'une variable au voisinage d'une de ses valeursModifier

Rappel de l'approximation linéaire d'une fonction d'une variable au voisinage d'une de ses valeursModifier

     L'approximation linéaire est un cas particulier d'application à l'ordre un du théorème de Taylor – Young [1] vu plus loin :

Début d’un théorème
Fin du théorème

     Remarque : En physique on note   ou,
     Remarque : En physique on note   en introduisant la variable  .

Développements limités à l'ordre un d'une fonction d'une variable au voisinage d'une de ses valeursModifier

Développements limités à l'ordre un de quelques fonctions usuellesModifier

  • D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  ,
  • D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  ,
  • D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  [8],
  • D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  ,
  • D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  [9],
  • D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  ,
  • D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  ,
  • D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  ,
  • D.L. à l'ordre un de  [10], [11] au voisinage de zéro :   ou  .

     Remarque : Il est possible, dans certains cas, de déterminer un développement limité à l'ordre deux d'une fonction par utilisation exclusive de l'approximation linéaire d'une autre fonction comme sur l'exemple suivant « D.L. à l'ordre deux de   au voisinage de zéro » :
     Remarque : on utilise la formule de trigonométrie   et le D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro    [12] d'où
     Remarque :  [13] ou  [14].

Énoncé du théorème de Taylor-YoungModifier

Début d’un théorème
Fin du théorème

Infiniment petits d'ordres successifs, notion de développements limités d'ordre p d'une fonction d'une variable au voisinage d'une de ses valeursModifier

Infiniment petits d'ordres successifsModifier

     Dans la mesure où   peut être « le plus proche possible de  » [17],

  •   définit un infiniment petit d'ordre un,
  •   un infiniment petit d'ordre deux,
  •  ,
  •   un infiniment petit d'ordre k,  [18],
  •  ,
  •   un infiniment petit d'ordre n.

Réécriture du théorème de Taylor-Young utilisant qu'une fonction de classe Cn est de classe Cp avec p < nModifier

     Soit   une fonction réelle de la variable  , de classe   sur un domaine  [15], elle est évidemment de classe   sur le même domaine   si  [19] et on peut réécrire la relation de Taylor-Young [1] selon  [20] dans lequel la somme entre accolades est un   car   soit finalement la réécriture de la relation de Taylor-Young [1] selon

 [4] avec   pour tout  [21].

Notion de développements limités d'ordre p d'une fonction d'une variable de classe Cn au voisinage d'une de ses valeurs, l'ordre p étant < à nModifier

     On appelle développement limité (ou D.L.) d'ordre   de la fonction    de classe   sur le domaine  [15]  au voisinage de  , la relation de Taylor-Young [1] tronquée à l'ordre   à savoir  [4] avec   ;

  • D.L. [22] de   d'ordre   au voisinage de   :  [4] avec  ,
  • D.L. [22] de   d'ordre   au voisinage de   :  [4] avec  ,
  • D.L. [22] de   d'ordre   au voisinage de   :  [4] avec    ,
  • D.L. [22] de Échec de l’analyse (SVG (MathML peut être activé via une extension du navigateur) : réponse non valide(« Math extension cannot connect to Restbase. ») du serveur « /mathoid/local/v1/ » :): {\displaystyle \;f\;} d'ordre   au voisinage de   :  [4], [23] dans lequel  ,
  •  
  • D.L. [22] de   d'ordre   au voisinage de   :    [4] dans lequel  .

     Remarques : Par abus nous appellerons D.L. [22] de   d'ordre   au voisinage de  , la relation de Taylor-Young [1] de   appliquée à l'ordre   au voisinage de   bien qu'il n'y ait pas troncature  donc pas de limitation du développement .

     Remarques : On rappelle que les D.L. [22] de   d'ordre   au voisinage de   sont écrits de façon plus concise en physique [24] selon  .

Principaux développements limités au voisinage de zéroModifier

D.L. d'ordre un de quelques fonctions usuelles au voisinage de zéroModifier

     Revoir le paragraphe « D.L. à l'ordre un de quelques fonctions usuelles » plus haut dans ce chapitre ;

     on peut ajouter, après l'étude du chap.  intitulé « fonctions hyperboliques directes et inverses » de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les D.L. [22] de fonctions hyperboliques directes et inverses au voisinage de zéro [25] :

  • D.L. [22] à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  [26],
  • D.L. [22] à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  [27],
  • D.L. [22] à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  [28], [8],
  • D.L. [22] à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  [29],
  • D.L. [22] à l'ordre un de   au voisinage de zéro :   ou  [30].

D.L. d'ordre deux de quelques fonctions usuelles au voisinage de zéroModifier

  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [31], [32],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [33], [32],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [34],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [35], [32],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [36], [37],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [38], [32],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  ,
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [39],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de  [10], [11] au voisinage de zéro :   que l'on écrit en physique selon  [40] ;

     on peut ajouter, après l'étude du chap.  intitulé « fonctions hyperboliques directes et inverses » de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », les D.L. [22] de fonctions hyperboliques directes et inverses au voisinage de zéro [25] :

  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [32],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [32],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [41],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [42], [32],
  • D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro :   ou  [43], [32].

Trouver le développement limité au voisinage de zéro d'une fonction connaissant celui de sa dérivéeModifier

Retrouver, sur un exemple, le D.L. d'ordre deux d'une fonction au voisinage de zéro connaissant le D.L. d'ordre un de sa dérivée au même voisinageModifier

     On se propose de retrouver le D.L. [22] à l'ordre deux de   au voisinage de zéro à partir du D.L. [22] à l'ordre un de   au même voisinage de zéro, sachant que   est la primitive de   qui s'annule en   ;

     sachant que   à l'ordre un en   au voisinage de zéro, on en déduit, en intégrant terme à terme, le D.L. [22] de     à l'ordre deux en   au voisinage de zéro soit  [44], ce qui est effectivement le D.L. [22] de   à l'ordre deux au voisinage de zéro.

Par intégration du D.L. à l'ordre p d'une fonction au voisinage de zéro, détermination du D.L. à l'ordre p + 1 de n'importe quelle de ses primitives au même voisinageModifier

     Si on connaît le D.L. [22] à l'ordre   d'une fonction   de classe   au voisinage de zéro, on peut déterminer, en intégrant terme à terme, le D.L. [22] à l'ordre   de n'importe quelle de ses primitives   au même voisinage de zéro, le terme d'ordre zéro étant la valeur de la primitive en zéro à savoir  [45].

     La propriété précédente reste applicable pour une fonction de classe   avec   fini  dans ces conditions n'importe quelle primitive est de classe   mais la démonstration du fait que   avec   est un   est nécessairement différente [46]  et non fournie .

Détermination progressive des D.L. d'ordre de plus en plus élevé des fonctions trigonométriques sinus et cosinus par intégrationModifier

Déduire du D.L. à l'ordre deux de sin(x) au voisinage de zéro celui à l'ordre trois de cos(x) au même voisinageModifier

     Connaissant le D.L. [22] à l'ordre deux de la fonction sinus au voisinage de zéro   et

     intégrant la fonction sinus entre   et   selon   dont on déduit  ,

     on intègre terme à terme le D.L. [22] à l'ordre deux de la fonction sinus au voisinage de zéro   pour

     en déduire le D.L. [22] à l'ordre trois de la fonction cosinus au voisinage de zéro soit  [47].

Déduire du D.L. à l'ordre trois de cos(x) au voisinage de zéro celui à l'ordre quatre de sin(x) au même voisinageModifier

     À partir du D.L. [22] à l'ordre trois de la fonction cosinus au voisinage de zéro   et

     intégrant la fonction cosinus entre   et   selon  ,

     on intègre terme à terme le D.L. [22] à l'ordre trois de la fonction cosinus au voisinage de zéro   pour

     en déduire le D.L. [22] à l'ordre quatre de la fonction sinus au voisinage de zéro soit  .

Déduire du D.L. à l'ordre quatre de sin(x) au voisinage de zéro celui à l'ordre cinq de cos(x) au même voisinageModifier

     À partir du D.L. [22] à l'ordre quatre de la fonction sinus au voisinage de zéro   et

     ayant établi précédemment que  ,

     on intègre terme à terme le D.L. [22] à l'ordre quatre de la fonction sinus au voisinage de zéro   pour

     en déduire le D.L. [22] à l'ordre cinq de la fonction cosinus au voisinage de zéro soit  [47]  

Trouver le développement limité d'une fonction « produit (ou quotient) de deux autres fonctions »Modifier

Exposé de la méthode et précaution d'utilisationModifier

  • On peut, pour évaluer le D.L. [22] à l'ordre   d'une fonction produit   au voisinage de zéro, utiliser le D.L. [22] à l'ordre   des fonctions   et   au même voisinage de zéro, mais attention

     le D.L. [22] à l'ordre   de chaque fonction composante ayant nécessité d'éliminer tout infiniment petit d'ordre strictement supérieur à  , maintenir l'existence d'infiniment petits d'ordre strictement supérieur à   lors du développement du produit des D.L. [22] conduirait nécessairement à un D.L. [22] de   faux à partir de l'ordre  , tout infiniment petit d'ordre strictement supérieur à   obtenu en développant le produit des D.L. [22] doit impérativement être englobé dans un  .

  • On peut aussi, pour évaluer le D.L. [22] à l'ordre   d'une fonction quotient   au voisinage de zéro, utiliser le D.L. [22] à l'ordre   des fonctions   et   au même voisinage de zéro, plus précisément

     on se ramènera à la détermination du D.L. [22] à l'ordre   de la fonction produit   au voisinage de zéro, et il conviendra auparavant de déduire le D.L. [22] à l'ordre   de la fonction   de celui de    la forme normalisée de   dont le terme constant étant égal à       avec   quand  , le D.L. à l'ordre   en   de   s'obtenant par utilisation du D.L. à l'ordre   en   de     mais attention,

     le D.L. [22] à l'ordre   en   de la forme normalisée de   ayant nécessité d'éliminer tout infiniment petit d'ordre strictement supérieur à  , maintenir l'existence d'infiniment petits en   d'ordre strictement supérieur à   lors du développement de    conduirait nécessairement à un D.L. [22] de     faux à partir de l'ordre  , tout infiniment petit d'ordre strictement supérieur à   obtenu en développant les infiniment petits    doit impérativement être englobé dans un   et

     bien sûr la remarque précédente faite lors du développement du produit des D.L. [22] des composants   et   doit également être suivie  

Détermination du D.L. à l'ordre quatre de la fonction tangente au voisinage de zéro à partir de celui des fonctions sinus et cosinus au même ordre et au même voisinageModifier

     À partir du D.L. [22] à l'ordre quatre de   au voisinage de zéro et de la définition de   on peut déterminer le D.L. [22] à l'ordre quatre de cette dernière au même voisinage de zéro et pour cela il convient d'abord de

  • déterminer le D.L. [22] d'ordre quatre en   de   avec   infiniment petit dont le terme principal étant d'ordre deux en   implique qu'il suffira d'utiliser le D.L. [22] de   à l'ordre deux en   pour avoir le D.L. [22] à l'ordre quatre en   de   soit    [48] avec     et    [49] d'où, en reportant ces expressions limitées à l'ordre quatre en   on obtient     puis de
  • déterminer le D.L. [22] d'ordre quatre en   de   à partir de   sans omettre de pratiquer la troncature à l'ordre quatre dans le développement du produit des D.L. soit    [50] d'où
 [51].

Déterminer le développement limité à l'ordre n d'un produit (ou d'un quotient) de deux fonctions dont le développement limité d'une des fonctions (ou du numérateur du quotient) a pour terme prépondérant un infiniment petit d'ordre pModifier

Déterminer le développement limité à l'ordre n d'un produit de deux fonctions dont le développement limité d'une des fonctions a pour terme prépondérant un infiniment petit d'ordre pModifier

     Pour obtenir un D.L. [22] à l'ordre   en l'infiniment petit   au voisinage de zéro d'un produit   sachant que le D.L. [22] à l'ordre   d'un des facteurs  par exemple   a pour terme prépondérant « un infiniment petit d'ordre  » [52], il suffit de prendre le D.L. [22] de l'autre facteur  sur l'exemple   à l'ordre   ;

     en effet, si on factorise le 1er facteur   par  , le D.L. [22] à l'ordre   de   se réécrit      est le D.L. [22] à l'ordre   de   et

     en effet, le D.L. [22] du produit   à l'ordre   pouvant s'obtenir à partir de   dans lequel   étant un D.L. [22] à l'ordre   en  , il est impératif que le D.L. [22] de   soit aussi à l'ordre   de façon à ce que le D.L. [22] du produit   soit exact à cet ordre  [53] ;

     pour terminer le produit du D.L. [22] de   à l'ordre   par l'infiniment petit   d'ordre   conduit effectivement au D.L. [22] du produit   à l'ordre  .

  • Pour déterminer le D.L. [22] à l'ordre un de   quand   est un infiniment petit d'ordre un, il suffit de prendre de D.L. [22] de   à l'ordre zéro,
  • pour déterminer le D.L. [22] à l'ordre deux de   quand   est un infiniment petit d'ordre un, il suffit de prendre de D.L. [22] de   à l'ordre un,
  • pour déterminer le D.L. [22] à l'ordre trois de   quand   est un infiniment petit d'ordre un, il suffit de prendre de D.L. [22] de   à l'ordre deux  

Déterminer le développement limité à l'ordre n d'un quotient dont le numérateur est de développement limité à terme prépondérant égal à un infiniment petit d'ordre pModifier

     Pour obtenir un D.L. [22] à l'ordre   en l'infiniment petit   au voisinage de zéro d'un quotient   sachant que le D.L. [22] à l'ordre   du numérateur   a pour terme prépondérant « un infiniment petit d'ordre  » [52], il suffit de prendre le D.L. [22] du dénominateur   à l'ordre   ;

     en effet, si on factorise le numérateur   par  , le D.L. [22] à l'ordre   de   se réécrit        est le D.L. [22] à l'ordre   de   et

     en effet, le D.L. [22] du quotient   à l'ordre   pouvant s'obtenir à partir de   dans lequel   étant un D.L. [22] à l'ordre   en  , il est impératif que le D.L. [22] de   et donc de   soit aussi à l'ordre   de façon à ce que le D.L. [22] du produit   soit exact à cet ordre  [53] ;

     pour terminer le produit du D.L. [22] de   à l'ordre   par l'infiniment petit   d'ordre   conduit effectivement au D.L. [22] du produit     à l'ordre  .

  • Pour déterminer le D.L. [22] à l'ordre un de   quand   est un infiniment petit d'ordre un, il suffit de prendre de D.L. [22] de   à l'ordre zéro,
  • pour déterminer le D.L. [22] à l'ordre deux de   quand   est un infiniment petit d'ordre un, il suffit de prendre de D.L. [22] de   à l'ordre un,
  • pour déterminer le D.L. [22] à l'ordre trois de   quand   est un infiniment petit d'ordre un, il suffit de prendre de D.L. [22] de   à l'ordre deux  

Notes et référencesModifier

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 et 1,5 Brook Taylor (1685 - 1731) est un mathématicien anglais à qui on doit essentiellement le théorème connu sous le nom de Taylor établi en   et qui possède plusieurs variantes dont celle de Taylor-Young.
       William Henry Young (1863 - 1942) est un mathématicien anglais ayant travaillé dans de nombreux domaines dont les séries de Fourier et le calcul différentiel, il apporta aussi une contribution au théorème de Taylor, ce qui donna le théorème  ou formule  de Taylor-Young.
  2. C.-à-d. fonction et dérivée première continues sur le domaine  .
  3.   est un voisinage de   si et seulement s'il existe un réel strictement positif   tel que  .
  4. 4,0 4,1 4,2 4,3 4,4 4,5 4,6 4,7 et 4,8 Se lit « petit o de »  
  5. Ou théorème de Taylor - Young à l'ordre un appliqué à   au voisinage de  .
  6. Il faudrait écrire mathématiquement   .
  7. En toute rigueur, pour que le développement soit limité à l'ordre un, il faut qu'il soit possible à un ordre supérieur à un et donc que la fonction soit au moins de classe    fonction et dérivées continues jusqu'à l'ordre deux minimal  sur le domaine  , sinon il s'agit d'une simple application du théorème de Taylor - Young à l'ordre le plus élevé possible c.-à-d. l'ordre un pour une fonction de classe   sur le domaine  .
  8. 8,0 et 8,1 Le D.L. d'une fonction paire au voisinage de zéro ne peut contenir que des termes d'ordre pair.
  9. Ce D.L. à l'ordre un au voisinage de zéro pouvait être aussi déduit du lien existant entre   et  , à savoir  , dans lequel on injecte le D.L. à l'ordre un de   au voisinage de zéro soit   ce qui permet d'écrire   ou, sachant que   est aussi un  , le D.L. final écrit.
  10. 10,0 et 10,1   est définie par  .
  11. 11,0 et 11,1   est exclu car, pour cette valeur, ce n'est pas un D.L. mais une expression exacte.
  12. En effet   étant telle que   vérifie aussi   c.-à-d. que   peut s'écrire  .
  13. En effet   étant telle que   on en déduit   c.-à-d. que   peut s'écrire  ,
       de même   est telle que   ou encore   c.-à-d. que   peut s'écrire  ,
       enfin une combinaison linéaire de   est aussi une fonction du type  .
  14. Il faudrait écrire mathématiquement   .
  15. 15,0 15,1 et 15,2 C.-à-d. continûment dérivable jusqu'à l'ordre   inclus sur le domaine  .
  16.   est un voisinage de   si et seulement s'il existe un réel strictement positif   tel que  .
  17.   choisi « le plus proche possible de  » signifie que l'ouvert   dans lequel se trouve  , est choisi le plus étroit possible en prenant   le plus petit possible  
  18. Cette notation est utilisée pour représenter un intervalle fermé d'entiers naturels.
  19. La borne   étant exclue de l'intervalle, celui-ci pourrait être écrit   ;
       bien sûr   pourrait aussi prendre la valeur   mais il se s'en déduirait alors aucune transformation de la relation de Taylor-Young et c'est la raison pour laquelle on exclut la valeur  .
  20. Le 1er terme de la somme étant   s'identifiant à   si on admet, d'une part, que la dérivée d'ordre zéro d'une fonction est la fonction elle-même et avec, d'autre part,   ainsi que   par convention.
  21. Le fait d'autoriser que   puisse prendre la valeur   ne fait que réécrire la relation de Taylor-Young sous sa forme initiale, cela n'apporte donc rien de nouveau mais c'est bien sûr admissible  
  22. 22,000 22,001 22,002 22,003 22,004 22,005 22,006 22,007 22,008 22,009 22,010 22,011 22,012 22,013 22,014 22,015 22,016 22,017 22,018 22,019 22,020 22,021 22,022 22,023 22,024 22,025 22,026 22,027 22,028 22,029 22,030 22,031 22,032 22,033 22,034 22,035 22,036 22,037 22,038 22,039 22,040 22,041 22,042 22,043 22,044 22,045 22,046 22,047 22,048 22,049 22,050 22,051 22,052 22,053 22,054 22,055 22,056 22,057 22,058 22,059 22,060 22,061 22,062 22,063 22,064 22,065 22,066 22,067 22,068 22,069 22,070 22,071 22,072 22,073 22,074 22,075 22,076 22,077 22,078 22,079 22,080 22,081 22,082 22,083 22,084 22,085 22,086 22,087 22,088 22,089 22,090 22,091 22,092 22,093 22,094 22,095 22,096 22,097 22,098 22,099 22,100 22,101 et 22,102 Développement(s) Limité(s).
  23. On rappelle que  .
  24. Mais écriture non tolérée en mathématiques  
  25. 25,0 et 25,1 Bien sûr uniquement pour celles qui y sont définies.
  26. En effet  .
  27. En effet  .
  28. En effet   d'une part et d'autre part  .
  29. En effet  .
  30. En effet  .
  31. En effet  .
  32. 32,0 32,1 32,2 32,3 32,4 32,5 32,6 et 32,7 Le D.L. d'une fonction impaire au voisinage de zéro ne peut contenir que des termes d'ordre impair.
  33. En effet  .
  34. En effet  .
  35. En effet  .
  36. En effet