En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) : Intégrale sur un intervalle, vecteur déplacement élémentaire le long d'une courbe et intégrale curviligne Outils mathématiques pour la physique (PCSI)/Intégrale sur un intervalle, vecteur déplacement élémentaire le long d'une courbe et intégrale curviligne », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
La fonction scalaire de la variable réelle définie sur l'intervalle fermé La fonction scalaire est intégrable sur cet intervalle fermé La fonction scalaire est intégrablesi elle y est continue par morceaux, c.-à-d. La fonction scalaire est intégrables'« il existe une subdivision de l'intervalle d'intégration , La fonction scalaire est intégrable s'«» La fonction scalaire est intégrable s'«pour laquelle « est continue sur les intervalles ouverts La fonction scalaire est intégrable s'«pour laquelle « est continue sur» avec La fonction scalaire est intégrable s'«« et », La fonction scalaire est intégrable s'«l'existence de ces deux limites permettant de « prolonger La fonction scalaire est intégrable s'«la continuité de sur »[2].
Subdivision de l'intervalle d'intégration et définition des sommes de Riemann associées
Subdivision de l'intervalle et choix d'une somme de Riemann associée
À partir de « la fonction scalaire de la variable réelle définie et intégrable sur l'intervalle fermé », on définit À partir de « la fonction scalaire une « subdivision de », « À partir de « la fonction scalaire une « subdivision de », réalisant la division en parties égales » et À partir de « la fonction scalaire une « somme de Riemann[1]» avec « un élément quelconque À partir de « la fonction scalaire une « somme de Riemann » avec «de » que À partir de « la fonction scalaire nous choisirons en la « borne inférieure de l'intervalle »[3] d'où «» À partir de « la fonction scalaire la « somme de Riemann[1] particulière définie par » et À partir de « la fonction scalaire la « somme de Riemann particulière interprétée comme la « somme des aires des rectangles de À partir de « la fonction scalaire la « somme de Riemann particulière interprétée comme la « largeur commune et de À partir de « la fonction scalaire la « somme de Riemann particulière interprétée comme la « hauteur ».
On démontre que « la somme de Riemann[1] choisie »[4] admet une « limite finie » quand , limite qui définit l'intégrale de Riemann[1] de la fonction sur l'intervalle d'intégration.
Définition de l'intégrale de Riemann d'une fonction scalaire d'une variable réelle sur un intervalle fermé
Ayant défini « une subdivision de l'intervalle en parties égales » puis Ayant défini « une somme de Riemann[1] avec élément quelconque de », on démontre que « toutes les sommes de Riemann[1] admettent une même limite quand , limite définissant on démontre que « toutes l'intégrale de Riemann[1]de la fonction sur l'intervalle fermé notée » soit on démontre que « toutes «».
Interprétation géométrique de l'intégrale de Riemann d'une fonction scalaire d'une variable réelle sur un intervalle fermé
Avec «», « la somme de Riemann[1] associée peut être interprétée comme la somme des aires des rectangles de longueur de base et de hauteur » ; aussi, « quand », « la somme de Riemann[1] tendant vers l'intégrale de la fonction sur l'intervalle fermé » et aussi, « quand », « la somme des aires des rectangles tendant vers l'aire de la surface limitée par l'axe des abscisses, le graphe de la fonction ainsi que les droites et », nous concluons à l'interprétation géométrique suivante de l'intégrale de Riemann[1] :
À retenir
L'intégrale de Riemann[1] de la fonction sur l'intervalle fermé notée représente l'aire de la surface limitée par l'axe des abscisses, le graphe de la fonction et les droites frontières et .
Intégrer une fonction dont on connaît une primitive exemple [5] ou, Intégrer une fonction dont on devrait connaître une primitive malheureusement partiellement oubliée exemple : on se souvient qu'une primitive de est [6] en ayant oublié la valeur de , pour la retrouver on dérive ce qui donne à identifier à d'où et par suite une primitive de est soit, dans le cas particulier où , une primitive de est ou une primitive de est conduisant à ;
intégrer une fonction par changement de variable exemple : souhaitant avoir au dénominateur[7], on y met en facteur suggérant le changement de variable [8] ; on fait alors apparaître la différentielle de cette nouvelle variable au numérateur mais on se rend compte qu'en faisant ceci on introduit une erreur car et non qu'il convient de corriger par un facteur multiplicatif soit [9][10] donnant finalement ;
intégrer une fonction trigonométrique en linéarisantquand cela est possible exemple avec [11] ce qui donne finalement ;
intégrer un produit de fonctions par partiesdans le but d'aboutir à une intégrale plus simple exemple dans laquelle il serait souhaitable d'arriver à une intégrale du type sachant qu'on connaît une primitive de la fonction [12] et pour cela considérer la fonction à intégrer comme le produit de fonctions et de façon à appliquer la méthode d'intégration par partiesou I.p.p.[13] exposée ci-dessous ;
exposé de la méthode d'intégration par parties (ou I.p.p.)
Si on doit « calculer en connaissant une primitive de notée », on peut écrire
intégrer un produit de fonctions par partiesdans le but d'aboutir à une intégrale plus simple exemple ici on pose «» et «»[15] d'où ;
intégrer une fonction rationnelle[16]par décomposition en éléments simples exemple : la fonction rationnelle de pôles[17] connus se décompose en éléments simples et c.-à-d. avec et constantes réelles à déterminer selon la méthode exposée ci-dessous sur l'exemple ;
façon la plus rapide pour déterminer la décomposition d'une fonction rationnelle en éléments simples
La façon la plus rapide pour déterminer les constantes réelles et de la décomposition «» est de multiplier les deux membres par respectivement et d'y faire respectivement soit
intégrer une fonction rationnelle par décomposition en éléments simples exemple ici on obtient «» d'où la réécriture de l'intégrale en [19] soit finalement ;
Notion d'abscisse curviligne d'un point sur une courbe continue
Une courbe plane est une courbe contenue dans un plan ; exemples : droite, conique c.-à-d. ellipse dont son cas particulier le cercle, parabole, hyperbole et bien d'autres encore ;
une courbe gauche est une courbe qui n'est pas plane ; exemples : parmi les courbes gauches classiques il n'y a pratiquement que les hélicesla plus connue étant l'hélice circulaire, courbe inscrite sur un cylindre de révolution telle que la tangente en chacun des points de l'hélice a une direction de même inclinaison par rapport à l'axe du cylindre, mais on peut en trouver d'autres plus sophistiquées comme une succession de trois segments non coplanaires
Abscisse curviligne d'un point sur une courbe continue
Sur une courbe continue plane ou gauche, choisissant arbitrairement un sens «» et une origine de mesure des abscisses curvilignes, Sur une courbe continue plane ou gauche, on repère le point générique de par le nombre réel égal à la longueur algébrique parcourue dans le sens «» sur depuis l'origine [20], Sur une courbe continue plane ou gauche, on repère le point générique de par le nombre réel égal à la longueur algébrique appelé « abscisse curviligne du point et noté » ; « l'abscisse curviligne de sur est donc défini par », « la distance non algébrisée séparant de sur étant ».
Propriétés de biunivocité entre la courbe et l'ensemble des valeurs d'abscisses curvilignes possibles
Définition : Une courbe est ouverte si, en suivant continûment la courbe sans rebrousser chemin, on ne repasse jamais par un même endroit, ou Définition : Une courbe est ouverte si, en suivant continûment la courbe sans rebrousser chemin, on repasse au moins une fois en une ou plusieurs positions particulières avant de poursuivre[21] ;
Définition : nous appellerons par la suite « courbe ouverte » une courbe du 1er type, celle du 2ème type étant qualifiée de « courbe ouverte avec points multiples »
Dans le cas d'une « courbe ouvertesans points multiples»[22], « chaque valeur de localise une position unique de sur la courbe et réciproquement », Dans le cas d'une « courbe ouvertesans points multiples», il y a donc « biunivocité »[23]entre la courbe et l'ensemble des valeurs d'abscisses curvilignes des points de .
Définition : Une courbe est fermée si, en suivant continûment la courbe à partir de n'importe quel endroit sans rebrousser chemin, on repasse au moins une fois par l'endroit de départ et, de façon cyclique Définition : Une courbe est fermée si, en suivant continûment la courbe à partir de n'importe quel endroit sans rebrousser chemin, et ordonnée, indéfiniment par toutes les positions précédentes ; Définition : une courbe fermée décrite sans rebrousser chemin est une succession minimale de positions constituant un « cycle »[24], la description du point générique de la courbe fermée étant Définition : une courbe fermée décrite sans rebrousser chemin est une succession minimale de positions constituant un « cycle », celle du point générique du « cycle »[24] répétée à l'infini ; Définition : il peut exister une ou plusieurs positions particulières du « cycle »[24] d'une courbe fermée en lesquelles le point générique repasse au moins une fois lors de sa description du « cycle »[24], Définition : il peut exister une ou plusieurs positions particulières du « cycle » d'une courbe fermée en lesquelles le point générique repasse on parle alors de « courbe fermée avec points multiples » ; Définition : nous appellerons par la suite « courbe fermée » une courbe fermée sans points multiples.
Remarque : d'après la définition ci-dessus et celle du paragraphe « cas d'une courbe ouverte (définition) » plus haut dans ce chapitre, une courbe est soit « ouverte » soit « fermée ».
Dans le cas d'une « courbe ferméesans points multiples»[25], « chaque valeur de localise une position unique de sur la courbe » mais Dans le cas d'une « courbe ferméesans points multiples», « à chaque position de il existe une infinité de valeurs de séparées entre elles d'un multiple d'une grandeur correspondant à la Dans le cas d'une « courbe ferméesans points multiples», « à chaque position de il existe une infinité de valeurs de séparées entre elles d'un multiple longueur de la courbe fermée » Dans le cas d'une « courbe ferméesans points multiples», il y a donc périodicité de la fonction qui à fait correspondre un point de la courbe, la période étant égale à ; Dans le cas d'une « courbe ferméesans points multiples», pour retrouver une « biunivocité » entre la courbeet un ensemble des valeurs d'abscisses curvilignes des points de , Dans le cas d'une « courbe ferméesans points multiples», on restreint le domaine de définition de la fonction avec une détermination principale de l'abscisse curviligne, Dans le cas d'une « courbe ferméesans points multiples», on restreint le domaine de définition de la fonction avec l'abscisse curviligne prenant les avaleurs [26].
Vecteur déplacement élémentaire le long d'une courbe continue
On réalise un paramétrage géométrique de la courbe par abscisse curviligne, étant la position d'un point non « anguleux »[27] d'abscisse curviligne et sa position d'abscisse curviligne infiniment proche , le vecteur déplacement élémentaire le long de la courbe du point d'abscisse curviligne est défini par le vecteur déplacement élémentaire «» soit encore «» c.-à-d. le vecteur déplacement élémentaire « la différentielle du vecteur position du point »[28] d'où une autre expression de la définition du vecteur déplacement élémentaire le long de la courbe du point «» usuellement noté «»[29].
Remarque : Pour un point anguleux de la courbe [30] on définit deux vecteurs déplacement élémentaire suivant que le déplacement Remarque : Pour un point anguleux de la courbe on définit deux vecteurs envisagé est à gauche « définissant » ou Remarque : Pour un point anguleux de la courbe on définit deux vecteurs envisagé est à droite « définissant »[31]
Propriété géométrique du vecteur déplacement élémentaire le long d'une courbe continue
Sur la courbe paramétrée géométriquement par abscisse curviligne, étant la position d'un point quelconque non « anguleux »[27] d'abscisse curviligne et Sur la courbe paramétrée géométriquement par abscisse curviligne, la position d'un point proche de d'abscisse curviligne voisine , Sur la courbe paramétrée géométriquement par abscisse curviligne, le vecteur « petit déplacement »[32] le long de la courbe du point «» Sur la courbe paramétrée géométriquement par abscisse curviligne, le vecteur « petit déplacement » a pour direction la sécante ;
Sur la courbe paramétrée géométriquement par abscisse curviligne, quand la variation d'abscisse curviligne devient l'infiniment petit , devient et Sur la courbe paramétrée géométriquement par abscisse curviligne, le vecteur « petit déplacement » devient le vecteur déplacement élémentaire ; Sur la courbe paramétrée géométriquement par abscisse curviligne, or la direction de la sécante tend vers la direction tangente à la courbe en [33] quand [34], d'où Sur la courbe paramétrée géométriquement par abscisse curviligne, la propriété suivante pour le vecteur déplacement élémentaire le long de la courbe en un point non anguleux[27] :
Propriété du vecteur déplacement élémentaire le long d'une courbe
Le vecteur déplacement élémentaire le long de la courbe continue en un point non anguleux[27] Le vecteur déplacement élémentaire est, dans la mesure où il n'est pas nul, tangent à la courbe en [35].
Définition du vecteur déplacement élémentaire le long d'une courbe continue à l'aide de la base locale de Frenet
Sur une courbe continue orientée par le choix arbitraire d'un sens «» permettant le repérage de ses points par abscisse curviligne, Sur une courbe continue orientée par le choix arbitraire d'un sens «» on définit, en tout point non anguleux[27] de , Sur une courbe continue orientée par le choix arbitraire d'un sens «» on définit, « un vecteur unitaire tangent à en » orienté dans le sens «» Sur une courbe continue orientée par le choix arbitraire d'un sens «» on définit, « un vecteur unitaire tangent à en » appelé « vecteur unitaire tangentiel »[36] et Sur une courbe continue orientée par le choix arbitraire d'un sens «» on définit, « constituant le « 1er vecteur de la base locale de Frenet »[37] ;
le vecteur déplacement élémentaire le long de la courbe du point non « anguleux »[27] d'abscisse curviligne peut être alors défini par «»[38],[39].
Circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace le long d'une courbe continue
Circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace
La circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace [40] le long de la courbe continue La circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace est définie, en un point non anguleux[27] La circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace est définie, par «»[41] avec La circulation élémentaire d'un champ vectoriel de l'espace vecteur déplacement élémentaire le long de à partir de [42].
Utilisation du vecteur unitaire tangentiel de Frenet[43] : si la courbe est paramétrée géométriquement par l'abscisse curviligne de ses points, Utilisation du vecteur unitaire tangentiel de Frenet : si la courbe est paramétrée géométriquement par le vecteur déplacement élémentaire le long de à partir de s'écrit Utilisation du vecteur unitaire tangentiel de Frenet : si la courbe est paramétrée géométriquement par «» où « est le vecteur unitaire tangentiel de Frenet »[43],[44] et Utilisation du vecteur unitaire tangentiel de Frenet : la circulation élémentaire du champ vectoriel de l'espace le long de la courbe se réécrivant selon Utilisation du vecteur unitaire tangentiel de Frenet : la circulation élémentaire du champ vectoriel de l'espace «» Utilisation du vecteur unitaire tangentiel de Frenet : la circulation élémentaire du champ vectoriel de l'espace «est une « forme différentielle de la variable»[45], Utilisation du vecteur unitaire tangentiel de Frenet : celle-ci s'identifie à une « différentielle de fonction scalaire de la variable» dès lors que « est une fonction intégrable de ».
Notion d'intégrale curviligne sur une portion de courbe continue
Une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue est une intégrale d'une fonction scalaire[46] définie en suivant la courbe dans le sens «» Une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue est une intégrale d'une fonction scalaire définie en suivant la courbe d'une position à une position .
Il y a deux types d'intégrales curvilignes d'une fonction scalaire sur une portion de courbe continue possibles[47] :
Les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue
Il s'agit d'ajouter des contributions élémentaires d'une fonction scalaire ou vectorielle d'un point assujetti à se déplacer sur une courbe continue :
«» intégrale curviligne de la fonction scalaire de l'espace [48], usuellement appelée « densité linéique de » [49],
«» intégrale curviligne construite à partir de la circulation élémentaire de la fonction vectorielle de l'espace , l'intégrale curviligne ainsi définie correspondant à la « circulation du champ vectoriel le long de de à », laquelle est notée «»[50].
Méthode de calcul d'une intégrale curviligne sur une portion de courbe continue
Une intégrale curviligne devient une « intégrale sur un segment » après choix d'un paramétrage de sur la courbe ; Une intégrale curviligne devient une « intégrale sur un segment » après choix d'un ce dernier peut être « linéique » par abscisse curviligne [51] ou encore Une intégrale curviligne devient une « intégrale sur un segment » après choix d'un ce dernier peut être « temporel » si on connaît le mouvement du point sur , le paramètre étant alors ;
dans le cas d'un paramétrage par abscisse curviligne, et étant respectivement les abscisses curvilignes de et sur : dans le cas d'un paramétrage par abscisse curviligne, pour le 1er type d'intégrale curviligne, on obtient «»[52] et dans le cas d'un paramétrage par abscisse curviligne, pour le 2ème type d'intégrale curviligne «».
Préliminaire : Un calcul de longueur de courbe ou d'arc de courbe est une intégrale curviligne de la fonction scalaire sur la courbe ou la portion de courbe dont on cherche la longueur[53] ; Préliminaire : le résultat ainsi que son établissement doit être connu sans hésitation en ce qui concerne un cercle ou un arc de cercle[54].
À retenir Longueur d'un cercle ou d'un arc de cercle
Longueur d'un arc de cercle de rayon vue de son centre sous l'angle : «». Longueur d'un cercle de rayon : «»[55].
Établissement de la longueur d'un arc de cerclede rayonvue de son centresous l'angle : on utilise le repérage polaire de pôle , « variant de à » et Établissement de la longueur d'un arc de cerclede rayonvue de son centresous l'angle : on utilise le repérage polaire de pôle , « restant égal à » d'où Établissement de la longueur d'un arc de cerclede rayonvue de son centresous l'angle : la longueur élémentaire d'arc associé à la variation élémentaire d'angle au centre Établissement de la longueur d'un arc de cerclede rayonvue de son centresous l'angle : la longueur élémentaire d'arc s'évalue par «»[56] et par suite Établissement de la longueur d'un arc de cerclede rayonvue de son centresous l'angle : la longueur de l'arc de cercle se calcule par «».
Établissement de la longueur d'un cerclede rayon : on utilise le même repérage polaire de pôle le centre du cercle, « variant de à » et Établissement de la longueur d'un cerclede rayon : on utilise le même repérage polaire de pôle le centre du cercle, « restant égal à » d'où Établissement de la longueur d'un cerclede rayon : la longueur élémentaire d'arc associé à la variation élémentaire d'angle au centre s'évalue par «»[56] et par suite Établissement de la longueur d'un cerclede rayon : la longueur du cercle se calcule par «»[57].
Autres exemples : Longueur d'un arc de la paraboled'équation cartésienneavecentre son sommetet un pointd'abscissequelconque : Autres exemples : Longueur d'un arc de la parabolele vecteur déplacement élémentaire en quelconque le long de étant «»[58], Autres exemples : Longueur d'un arc de la parabolela longueur élémentaire en ce même point se calcule par «» ou, Autres exemples : Longueur d'un arc de la paraboleen orientant dans le sens des , par «» d'où Autres exemples : Longueur d'un arc de la parabolela longueur de l'arc de parabole égale à «» s'évalue en faisant Autres exemples : Longueur d'un arc de la paraboleun 1er changement de variable soit «» avec «» puis Autres exemples : Longueur d'un arc de la paraboleun 2nd changement de variable [59] dont nous déduisons Autres exemples : Longueur d'un arc de la parabole«» avec [60] et, avec la relation de duplication «»[61], Autres exemples : Longueur d'un arc de la parabole«» ce qui s'intègre en «»[59] ou encore, Autres exemples : Longueur d'un arc de la paraboleavec «»[61], «» soit enfin, Autres exemples : Longueur d'un arc de la paraboleavec [62], «» ou Autres exemples : Longueur d'un arc de la paraboleen remplaçant la fonction argument sinus hyperbolique par sa forme logarithmique «»[63] Autres exemples : Longueur d'un arc de la parabole«»[64].
Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmiqued'équation polaireavec[65]entreetd'abscisse angulairequelconque : Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmiquele vecteur déplacement élémentaire en quelconque le long de s'évaluant selon «»[66] soit, Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmiqueaprès différenciation et factorisation «»[67], nous en déduisons Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmiquela longueur élémentaire en ce même point «» ou, Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmiqueen orientant dans le sens des , «» d'où Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmiquela longueur de l'arc de spirale logarithmique égale à «» valant Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmique«» soit finalement Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmique«»[68] ; Autres exemples : la longueur d'un arc de spirale logarithmique d'équation polaire avec[65] entre et d'abscisse angulaire quelconque Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmiques'évalue de la même façon mais en tenant compte du fait que est ce qui entraîne les modifications suivantes : Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmique«» et par suite Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmique«» soit finalement Autres exemples : Longueur d'un arc de la spirale logarithmique« quand »[69].
Autres exemples : Longueur d'une ellipsed'équations cartésiennes paramétriques de centre, d'axe focal, de demi-grand axeet de demi-petit-axe «»[70] : Autres exemples : Longueur d'une ellipsele vecteur déplacement élémentaire en quelconque le long de s'évaluant selon «»[71] soit, Autres exemples : Longueur d'une ellipseaprès différenciation et factorisation «», nous en déduisons Autres exemples : Longueur d'une ellipsela longueur élémentaire en ce même point «» ou, Autres exemples : Longueur d'une ellipseen orientant dans le sens des , «» soit, en faisant apparaître l'excentricité avec Autres exemples : Longueur d'une ellipseen orientant dans le sens des , «» soit, la distance séparant le centre de Autres exemples : Longueur d'une ellipseen orientant dans le sens des , «» soit, la distance séparant de l'un ou l'autre de ses foyers[72] et Autres exemples : Longueur d'une ellipseen orientant dans le sens des , «» soit, en éliminant au profit de par [72] Autres exemples : Longueur d'une ellipseen orientant dans le sens des , «» soit, ou, avec , «» Autres exemples : Longueur d'une ellipseet, en reportant l'expression de dans celle de , «» Autres exemples : Longueur d'une ellipsesoit finalement «» d'où la longueur de l'ellipse se calculant par «[57]
Autres exemples : Longueur d'une ellipse»[73],[74] ; la longueur de l'ellipse se réécrit, Autres exemples : Longueur d'une ellipseen faisant le changement de variable « avec » Autres exemples : Longueur d'une ellipse «» ou, comme , Autres exemples : Longueur d'une ellipse permet la simplification suivante «