Recherche:L'espace hypercomplexe
Ce travail de recherche est rattaché au département Logique.
Chap. 1 : | Fondements |
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Chap. 2 : | Grain spatio-temporel (GSP) |
Chap. 3 : | Mobilité restreinte |
Chap. 4 : | Topologie quantique |
Chap. 5 : | Prisme générique |
Dans quel monde vivons-nous ? Avec cette simple phrase, nous supposons vivre à l'intérieur d'un espace clos, ce qui est éminemment restrictif puisque cela suppose encore que l'on puisse délimiter les contours du volume qui le contient. Supposition arbitraire en opposition avec la logique intuitionniste qui indique qu'il existe alors un espace non-clos qui se distinguerait du premier. On comprend alors mieux l'idée d'une « expansion » de l'espace ordinaire, qui pourrait se faire par intégration d'objets de la partie non-close. Cela revient à compléter une liste d'éléments contenus par l'intégration de nouveaux éléments, ou élargissement d'horizon.
La connaissance de notre environnement est incomplète, mais complétable. Il nous faut donc décrire un monde clos, certes, mais qui ne soit ni ouvert, -afin que des limites existent-, ni fermé, -afin qu'une expansion soit possible-. Ce monde est à la fois « réel » et « imaginaire » avec une contrainte : la partie imaginaire doit devenir réelle. L'espace correspondant contenant une trajectoire évolutive s'appellera : L'espace hypercomplexe.
Contradictoirement, si cet espace n'existait pas ... il n' y aurait pas d'expansion possible. Et si c'était le cas, il faudrait prendre immédiatement des mesures draconiennes pour survivre.
Construire une topologie hypercomplexe et modéliser la structure de l'espace.
En finir avec l'hypothèse du continu Jean-paul Delahaye, Pour la Science, n°504, octobre 2019, page 5 : « L'existence ou non d'un infini intermédiaire entre celui des nombres entiers et celui des nombres réels est une question que les mathématiciens et les logiciens pensaient impossible à trancher. Mais l'américain H. Woodin est d'un avis contraire .»
Et il a raison. En effet, si nous considérons ces deux horizons d'infinitude, alors il existe une valeur intermédiaire telle que cet infini intermédiaire soit ENTRE l'infini entier et l'infini réel, mais (ni l'un ; ni l'autre) OU (soit l'un ; soit l'autre). Cette étude applique l'infini intermédiaire à la topologie de l’espace-temps et respecte les fondements logiques aristotéliciens.
Ceci doit être compris comme une technique de dénombrement du non-dénombrable fondée sur la définition d'une base logique des structures hypercomplexes qui peut être considérée comme le plus petit élément matériel observable du monde invisible.
Recherche de niveau 17.