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En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, «
Mécanique 1 (PCSI) : Loi de la quantité de mouvement : Frottement de glissement
Mécanique 1 (PCSI)/Loi de la quantité de mouvement : Frottement de glissement », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Dans tout ce chapitre on se place dans le cadre de la dynamique newtonienne.
Introduit une 1ère fois dans le paragraphe « 3ème exemple de forces de contact, force résultant du contact avec un solide, liaisons unilatérale ou bilatérale, idéale (c.-à-d. sans frottement) ou non idéale (c.-à-d. avec frottement) » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Rappel : liaisons unilatérale ou bilatérale d’un solide sur un autre
modifier
Introduit une 1ère fois dans le paragraphe « notions de liaisons unilatérale et bilatérale » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Voir aussi « liaison unilatérale » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Le solide
en contact éventuel avec le solide support
peut être
- en contact effectif, dans ce cas
exerce des forces de contact sur
de résultante appelée « réaction de
sur
» [1], cette dernière étant dirigée de
vers
ou
- « au-dessus de
» [2] sans point de contact avec lui, dans ce cas « la réaction de
sur
» [1] est nulle.
Voir aussi « liaison bilatérale » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Le solide
est toujours en contact avec le solide support
plus précisément constitué de deux solides supports «
et
»
guidant le solide
, l'un ou l'autre des solides supports de part et d'autre de
exerçant sur lui des forces de contact de résultante appelée « réaction de
sur
» [1] pouvant avoir n'importe quelle direction
et même être nulle
.
Voir aussi « composante normale de réaction et force de frottement solide » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Définissant
un vecteur unitaire normal au(x) support(s) solide(s)
défini au « point d'application de la réaction de
sur
» [3], point que nous appellerons par la suite « point de contact » [4], le sens de
étant choisi usuellement « vers l'extérieur du support solide
en cas de liaison unilatérale » et dans un « sens arbitraire en cas de liaison bilatérale », nous notons :
la projection de
sur la normale, soit «
» où «
» est appelée « composante normale de la réaction » et
la projection de
sur le plan tangent à
au point de contact, soit «
» [5], où «
» [5] est appelée « composante tangentielle de la réaction »
ou encore « force de frottement solide »
;
on peut alors écrire «
» avec
«
en liaison unilatérale » et
«
de signe quelconque [6] en liaison bilatérale ».
Rappel : « liaison avec frottement solide »
modifier
Voir aussi « notions de liaisons idéale (ou sans frottement) et non idéale (ou avec frottement) » [7] du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
La puissance développée par la réaction
que
exerce sur
dans un référentiel lié à
s'écrit, avec
point d'application de
, «
» [8] ;
La puissance développée par la réaction
que
exerce sur
or
car, en cas de non glissement de
sur
,
et,
La puissance développée par la réaction
que
exerce sur
or
car, en cas de glissement,
dans le plan tangent à
en
donc
à
d'où au final
la puissance développée par la réaction
que
exerce sur
dans un référentiel lié à
se réécrit, avec
point d'application de
, selon «
» [9].
On dit que la liaison est « avec frottement »
ou « non idéale » ou encore « non parfaite »
si
en envisageant diverses situations de repos de
, on en trouve au moins une où
est
et
On dit que la liaison est « avec frottement »
ou « non idéale » ou encore « non parfaite »
si
dans tous les états de translation de
,
est toujours
;
On dit que la liaison est « avec frottement »
ou « non idéale » ou
ce qui est équivalent
si
il existe des cas de repos de
où
est
au plan tangent de
en
[10] et
On dit que la liaison est « avec frottement »
ou « non idéale » ou
ce qui est équivalent
si
dans l'hypothèse de translation de
,
est toujours
au plan tangent de
en
.
Il est équivalent de définir une liaison « avec frottement »
ou « non idéale » ou encore « non parfaite »
comme une liaison telle que
en cas de mouvement de translation de
sur
.
Rappel : loi empirique de Coulomb du frottement de glissement d’un solide en translation sur un autre solide dans le cas d’équilibre
modifier
Voir aussi « loi de frottement solide sans glissement de Coulomb [11] » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Le solide
est donc au repos sur le support solide
avec, a priori, « présence d'une force de frottement solide » [12] et absence de glissement ;
si une force
tend à faire glisser
sur
tangentiellement à ce dernier suivant
[13],
si une force
tend à faire glisser
sur
le support solide
réagit en exerçant sur
une force de frottement solide
s’opposant à la mise en mouvement, c.-à-d.
si une force
tend à faire glisser
sur
le support solide
réagit en exerçant sur
une force de frottement solide
de même direction mais de sens contraire à
;
si une force
tend à faire glisser
sur
le support solide
réagit en exerçant sur
comme il n'y a pas glissement,
soit
si une force
tend à faire glisser
sur
en choisissant le vecteur unitaire tangentiel
du plan tangent à
au point de contact suivant la direction et le sens de
[14],
si une force
tend à faire glisser
sur
c.-à-d. tel que
avec
et
où
est la valeur algébrique de la « force de frottement solide » [15],
si une force
tend à faire glisser
sur
le support solide
réagit en exerçant sur
on déduit, de la condition de non glissement, «
» ;
si une force
tend à faire glisser
sur
le support solide
réagit en exerçant sur
si on fait
,
telle que
mais
si une force
tend à faire glisser
sur
le support solide
réagit en exerçant sur
si on fait
,
ne peut
indéfiniment,
si une force
tend à faire glisser
sur
le support solide
réagit en exerçant sur
si on fait
, il existe une valeur de
à partir de laquelle le glissement s'amorcera,
si une force
tend à faire glisser
sur
le support solide
réagit en exerçant sur
si on fait
, il existe cette force seuil définissant le « seuil d'adhérence de
sur
» ;
si une force
tend à faire glisser
sur
parallèlement la composante normale de la réaction
s’oppose à la pénétration de
dans
[16],
si une force
tend à faire glisser
sur
parallèlement la force tendant à la pénétration étant appelée « force pressante de
sur
» et notée
[17] ;
si une force
tend à faire glisser
sur
parallèlement la force tendant à la pénétration comme il n'y a pas pénétration,
soit
si une force
tend à faire glisser
sur
en choisissant le vecteur unitaire normal
au plan tangent à
au point de contact en sens contraire de
si le sens de
ne varie pas ou
si une force
tend à faire glisser
sur
en choisissant le vecteur unitaire normal
au plan tangent à
au point de contact de sens a priori arbitraire si le sens de
peut varier [18] et,
si une force
tend à faire glisser
sur
en posant
quel que soit le sens choisi pour
[19] ainsi que
où
est la « réaction normale au support »,
si une force
tend à faire glisser
sur
parallèlement la force tendant à la pénétration on déduit, de la condition de non pénétration, «
» avec,
si une force
tend à faire glisser
sur
parallèlement la force tendant à la pénétration si le sens de
est choisi de sens contraire à
quand le sens de
ne varie pas, «
» ou,
si une force
tend à faire glisser
sur
parallèlement la force tendant à la pénétration si le sens de
est arbitraire, «
si le sens de
[20] est contraire au sens de
» et
si une force
tend à faire glisser
sur
parallèlement la force tendant à la pénétration si le sens de
est arbitraire, «
si le sens de
[20] est dans le sens de
» ;
supposant que la force
tendant à faire glisser
sur
tangentiellement à ce dernier ne modifie pas la force pressante
de
sur
[21],
Supposant que la «
de
à
constant » [22] entraîne une «
de
à
constant » [23] et
Supposant que la «
de
à
constant » entraîne un « démarrage du glissement pour une valeur critique
de
à
constant »,
Supposant que la «
de
à
constant » entraîne « le rapport de cette valeur critique
sur
» définissant le « cœfficient de frottement statique » noté
soit
Supposant que la «
de
à
constant » entraîne «
sans unité et dépendant de l'adhérence de
sur
» encore égal à «
» [24].
Début d’un théorème
1er énoncé de la loi empirique de Coulomb du frottement solide sans glissement
Dans la mesure où

reste en équilibre sur

, les composantes tangentielle

et normale

de la réaction

de

sur

sont liées par la loi empirique de Coulomb
[11] du frottement solide sans glissement
[24] où
est le cœfficient de frottement statique caractérisant l'adhérence de
sur
,
la composante tangentielle

étant toujours de direction et de sens contraire au mouvement de glissement susceptible de se produire.
Fin du théorème
Rappel : loi empirique de Coulomb du frottement de glissement d’un solide en translation sur un autre solide dans le cas effectif de glissement
modifier
Voir aussi « loi de frottement solide avec glissement de Coulomb [11] » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Le solide
a donc été « mis en mouvement sur le support solide
par l'action d'une force tangentielle
suffisante pour faire glisser
sur
suivant
» [25], il s'en suit que
Le solide
a donc été « mis en mouvement sur le support solide
le support solide
réagit en exerçant sur
en plus de la composante normale de la réaction
[26]
Le solide
a donc été « mis en mouvement sur le support solide
le support solide
réagit en exerçant sur
une « force de frottement solide
s'opposant au mouvement »
Le solide
a donc été « mis en mouvement sur le support solide
le support solide
réagit en exerçant sur
une «
c.-à-d. de même direction et de sens contraire à
;
Le solide
a donc été « mis en mouvement lors du glissement « le rapport
reste constant » [27], constante positive définissant le « cœfficient de frottement dynamique » noté
Le solide
a donc été « mis en mouvement lors du glissement « le rapport
reste constant », constante positive toujours
au cœfficient de frottement statique
c.-à-d. «
»,
Le solide
a donc été « mis en mouvement ainsi, quand il y a glissement «
» sans unité et dépendant de la nature des deux solides en présence
Le solide
a donc été « mis en mouvement ainsi, quand il y a glissement avec «
»
sans unité et dépendant de l'adhérence de
sur
«
encore égal à
» [28].
Remarque : pour que le glissement démarre il est nécessaire de
soit
à
,
Remarque : mais une fois le glissement amorcé
peut devenir
à
sans que le glissement cesse ;
Remarque : par contre si ce dernier s'arrête, il faudra de nouveau que
soit
à
pour qu'il redémarre.
Début d’un théorème
1er énoncé de la loi empirique de Coulomb du frottement solide avec glissement
Dans la mesure où

glisse sur

, les composantes tangentielle

et normale

de la réaction

de

sur

sont liées par la loi empirique de Coulomb
[11] du frottement solide avec glissement
[27] où
est le cœfficient de frottement dynamique caractérisant le collé relativement au glissé de
sur
,
la composante tangentielle

étant toujours de direction et de sens contraire au mouvement de glissement effectif.
Fin du théorème
Approximation usuelle sur les cœfficients de frottement statique et dynamique
modifier
Comme on l'a affirmé précédemment le cœfficient de frottement dynamique
est toujours inférieur au cœfficient de frottement statique
soit
mais,
dans les cas les plus fréquents, ces cœfficients restant proches, on peut alors « les confondre » [29], [30] et, dans ce cas, usuellement on pose
.
Supposons le solide
reposant initialement sur le plan support horizontal
et
supposons qu'on cherche à faire glisser
le long d'un axe horizontal
du plan support
dans le sens
de cet axe
supposons qu'on cherche à faire glisser
en exerçant sur
une force
horizontale dirigée dans le sens
de l'axe
;
sur
s'exercent trois forces [31] :
le poids de
comme cette force est
à
elle s'identifie à la force pressante
tendant à la pénétration de
dans
soit
sur
s'exercent trois forces :
le poids de
vertical descendant
on choisit alors
, le vecteur unitaire normal à
, dans le sens vertical ascendant
sur
s'exercent trois forces :
le poids de
vertical descendant
pour que le sens de
soit dans le sens contraire de la force pressante
et par suite
sur
s'exercent trois forces :
le poids de
vertical descendant «
» se réécrit «
» avec «
»
,
sur
s'exercent trois forces :
la force
s'exerçant tangentiellement à
, plus exactement le long de l'axe horizontal
dans le sens
sur
s'exercent trois forces :
la force
s'exerçant tangentiellement à
,
on choisit alors
, le vecteur unitaire tangentiel à
, dans le sens
de
sur
s'exercent trois forces :
la force
s'exerçant tangentiellement à
,
pour que le sens de
soit dans le sens de l'éventuel glissement
et par suite
sur
s'exercent trois forces :
la force
s'exerçant tangentiellement à
, «
» avec «
»
et
sur
s'exercent trois forces :
la réaction
de
sur
de composantes normale «
» et tangentielle «
»
encore appelée force de frottement solide
;
la composante normale de la réaction
compensant le poids nous en déduisons «
» et,
tant que la force
n'a pas atteint la valeur critique correspondant au seuil d'adhérence, il n'y a pas glissement, la composante tangentielle de la réaction
compense alors
d'où
tant que la force
n'a pas atteint la valeur critique correspondant au seuil d'adhérence, il n'y a pas glissement, «
»
la force de frottement solide dans le sens contraire
tant que la force
n'a pas atteint la valeur critique correspondant au seuil d'adhérence, il n'y a pas glissement, «
»
la force de frottement solide du glissement possible
;
tant que la force
n'a pas atteint la valeur critique correspondant au seuil d'adhérence, l'absence de glissement
selon la loi empirique de Coulomb [11] de frottement solide sans glissement,
tant que la force
n'a pas atteint la valeur critique correspondant au seuil d'adhérence, l'absence de glissement
«
» [32], [33] soit encore «
» d'où
tant que la force
n'a pas atteint la valeur critique correspondant au seuil d'adhérence, la force motrice critique permettant la mise en mouvement de
est de norme «
» ;
notant
l'instant où
atteint sa valeur critique
, le glissement de
sur le plan support horizontal
commence alors à
notant
l'instant où
atteint sa valeur critique
, avec la composante normale de la réaction compensant toujours le poids de
soit «
» [34] et
notant
l'instant où
atteint sa valeur critique
, avec la composante tangentielle de la réaction déterminée par la loi empirique de Coulomb [11] de frottement solide avec glissement
notant
l'instant où
atteint sa valeur critique
, avec «
» [35], [33] ou encore «
» avec «
»
notant
l'instant où
atteint sa valeur critique
, avec «
»
la force de frottement solide étant toujours dans le sens contraire du glissement effectif
,
la projection sur
du théorème du mouvement du C.D.I. [36] appliquée à
«
» [37] ou, avec
,
on obtient l'équation différentielle du mouvement de glissement de
selon «
» soit finalement,
on obtient une accélération horizontale constante pour
égale à «
» ;
ainsi, bien que l'on ait imposé la force minimale pour la mise en mouvement, le solide
a acquis une accélération non nulle dès
, d'autant plus grande que
l'est [38]
ainsi, bien que l'on ait imposé la force minimale pour la mise en mouvement,
le solide subit donc une accélération possédant une discontinuité de 1ère espèce [39] à l'instant du démarrage
.
Angles limites de frottement statique et dynamique, autres énoncés des lois empiriques de Coulomb du frottement de glissement d’un solide en translation sur un autre solide dans le cas d’équilibre et dans celui de glissement
modifier
Voir aussi « expressions empiriques des lois de frottement solide de Coulomb [11] » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Voir aussi « loi de frottement solide sans glissement de Coulomb [11] » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Notant
[40] l'inclinaison de la réaction
de
sur
relativement au vecteur unitaire
normal à
au point de contact de ce dernier avec
[18], on en déduit «
» ;
si on cherche à faire glisser
sur
à l'aide d’une force tangentielle
dont on fait
la norme à partir de la valeur nulle et
si on cherche à faire glisser
sur
tant que
reste en équilibre, il y a compensation entre
la composante tangentielle
de la réaction avec
et
si on cherche à faire glisser
sur
tant que
reste en équilibre, il y a compensation entre
la composante normale
de la réaction avec la force pressante
si on cherche à faire glisser
sur
tant que
reste en équilibre, il y a compensation entre
la composante normale
de la réaction avec
étant très souvent due au poids de
;
si on cherche à faire glisser
sur
tant que
reste en équilibre, si
reste constante
réalisé si
ne varie pas
, l'angle
simultanément avec la
de
, c.-à-d. que
si on cherche à faire glisser
sur
tant que
reste en équilibre, si
reste constante
réalisé si
ne varie pas
, l'inclinaison de la réaction
si on cherche à faire glisser
sur
tant que
reste en équilibre, si
reste constante
réalisé si
ne varie pas
, l'inclinaison par rapport à la normale à
au point de contact
si on cherche à faire glisser
sur
tant que
reste en équilibre, si
reste constante
réalisé si
ne varie pas
, l'angle
simultanément à la
de
[41].
Angle limite de frottement statique et angle limite de frottement dynamique
modifier
Voir aussi « loi de frottement solide sans glissement de Coulomb [11] » et « loi de frottement solide avec glissement de Coulomb [11] » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Tant que
tentant de créer un glissement de
sur
n'a pas atteint sa valeur critique
correspondant au seuil d’adhérence, l'équilibre de
sur
perdure ; dans ce cas
l’inclinaison
de la réaction
par rapport à la normale à
au point de contact est
à une inclinaison limite définissant l'« angle limite de frottement statique » noté
, d'où
l’inclinaison
de la réaction
par rapport à la normale à
au point de contact est
à une inclinaison limite la condition de non glissement «
»,
l’inclinaison
de la réaction
par rapport à la normale à
au point de contact est
à une inclinaison limite l'angle limite de frottement statique
étant lié au cœfficient de frottement statique
l’inclinaison
de la réaction
par rapport à la normale à
au point de contact est
à une inclinaison limite l'angle limite de frottement stat par «
» [42] ou «
» [43].
Pour que la mise en mouvement de
se produise, il faut que l'inclinaison
de la réaction
relativement à la normale à
au point de contact atteigne la valeur limite
et,
Pour que la mise en mouvement de
se produise, dès que le glissement commence, l'inclinaison
de la réaction
relativement à la normale à
au point de contact
Pour que la mise en mouvement de
se produise, dès que le glissement commence, l'inclinaison
chute à une nouvelle inclinaison limite définissant l'« angle limite de frottement dynamique
»
Pour que la mise en mouvement de
se produise, dès que le glissement commence, l'inclinaison
chute à une nouvelle inclinaison limite d'où la condition de glissement «
»,
Pour que la mise en mouvement de
se produise, dès que le glissement commence, l'inclinaison
chute à une nouvelle inclinaison limite d'où l'angle limite de frottement dynamique
étant lié
Pour que la mise en mouvement de
se produise, dès que le glissement commence, l'inclinaison
chute à une nouvelle inclinaison limite d'où au cœfficient de frottement dynamique
par
Pour que la mise en mouvement de
se produise, dès que le glissement commence, l'inclinaison
chute à une nouvelle inclinaison limite l'angle limite de frottement «
» [42], [44]
Pour que la mise en mouvement de
se produise, dès que le glissement commence, l'inclinaison
chute à une nouvelle inclinaison limite l'angle limite de frottement ou «
» [43].
Autre énoncé de la loi empirique de Coulomb du frottement de glissement d’un solide en translation sur un autre solide dans le cas d’équilibre
modifier
Début d’un théorème
2ème énoncé de la loi empirique de Coulomb du frottement solide sans glissement
Dans la mesure où

reste en équilibre sur

, la réaction

de

sur

est inclinée, relativement à la normale à

en son point d'application, d'un angle non orienté

selon la loi empirique de Coulomb
[11] du frottement solide sans glissement
«
» où
est l'angle limite de frottement statique caractérisant l'adhérence de
sur
,
la réaction

étant toujours dans « le plan contenant la normale et la direction du glissement susceptible de se produire, inclinée de sens contraire à ce dernier »
[45].
Fin du théorème
Autre énoncé de la loi empirique de Coulomb du frottement de glissement d’un solide en translation sur un autre solide dans le cas effectif de glissement
modifier
Début d’un théorème
2ème énoncé de la loi empirique de Coulomb du frottement solide avec glissement
Dans la mesure où

glisse sur

, la réaction

de

sur

est inclinée, relativement à la normale à

en son point d'application, d'un angle non orienté

selon la loi empirique de Coulomb
[11] du frottement solide avec glissement
«
» où
est l'angle limite de frottement dynamique caractérisant le collé relativement au glissé de
sur
,
la réaction

étant toujours dans « le plan contenant la normale et la direction du glissement effectif, inclinée de sens contraire à ce dernier »
[46].
Fin du théorème
Notion de cône limite de frottement statique et de cône limite de frottement dynamique
modifier
Voir aussi « loi de frottement solide sans glissement de Coulomb [11] » et « loi de frottement solide avec glissement de Coulomb [11] » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
Dans la mesure où
reste en équilibre sur
, la réaction
de
sur
étant inclinée relativement à la normale à
en son point d’application
d'un angle non orienté
avec
angle limite de frottement statique, « reste strictement à l'intérieur d'un cône de révolution de sommet
, d’axe “la normale à
en
” et de demi-angle au sommet
», cône appelé « cône limite de frottement statique » et caractérisant l’adhérence de
sur
en
.
Dans la mesure où
glisse sur
, la réaction
de
sur
étant inclinée relativement à la normale à
en son point d’application
d'un angle non orienté
avec
angle limite de frottement dynamique, « reste sur un cône de révolution de sommet
, d’axe “la normale à
en
” et de demi-angle au sommet
», cône appelé « cône limite de frottement dynamique » et caractérisant le collé relativement au glissé de
sur
en
.
De
on déduit que le cône limite de frottement dynamique est inclus dans celui de frottement statique, la mise en mouvement se traduisant par le passage instantané de la réaction
de
sur
de la surface du cône limite de frottement statique [47] à celle du cône limite de frottement dynamique en restant dans un même demi-plan méridien ;
De
on déduit que lors d'un démarrage il y a donc un léger redressement instantané de
, l'inclinaison de cette dernière restant constante par la suite.
Remarque : dans les cas les plus fréquents où on peut confondre
et
, de valeur commune notée
et simplement appelée « angle limite de frottement », cet angle limite étant lié au cœfficient de frottement solide
par
[42]
, les deux cônes limites de frottement statique et dynamique se confondent également et le cône commun est simplement appelé « cône limite de frottement ».
Méthode de traitement d’une liaison « unilatérale (ou bilatérale) » avec frottement
modifier
. Faire l'hypothèse d'équilibre de
sur
,
. utiliser la C.N. [48] d’équilibre pour évaluer les composantes normale et tangentielle de la réaction [49] puis
. valider
ou non
l’hypothèse d'équilibre par vérification
ou non
de la loi empirique de Coulomb [11] du frottement sans glissement d’un solide sur un autre [32] ;
. dans le cas où l’hypothèse d’équilibre ne serait pas vérifiée, le solide
est alors en translation sur l'autre
, faire l'hypothèse de glissement dans un sens,
. utiliser la loi empirique de Coulomb [11] du frottement avec glissement d’un solide sur un autre [35] pour exprimer la norme de la composante tangentielle de la réaction en fonction de celle de la composante normale puis
. utiliser le théorème du mouvement du C.D.I. [36], [37] pour en déduire, en tenant compte des C.I. [50] la vitesse de glissement du solide
sur
dans les cas usuels où
est plan, la norme de la composante normale de la réaction [49] ne dépend pas de la vitesse de glissement, ce qui simplifie fortement la détermination de cette dernière mais, dans les cas où
n'est pas plan, la norme de la composante normale de la réaction [49] dépendant de la vitesse de glissement, la détermination de cette dernière se complique et peut même nécessiter une résolution numérique par calculateur
et enfin
. valider
ou non
le sens du glissement
on rappelle que la vitesse doit être de sens contraire à la composante tangentielle de la réaction
;
. dans le cas où le sens de glissement ne serait pas le bon, refaire le traitement en inversant le sens du glissement
- ↑ 1,0 1,1 et 1,2 Il s'agit d'un abus usuellement utilisé pour parler de « vecteur réaction
»
- ↑ Plus précisément dans l'espace non occupé par
.
- ↑ Le système des forces de contact que
exerce sur
est le plus souvent équivalent à une force unique égale à la résultante des forces de contact à condition d'appliquer cette force unique en un point bien choisi définissant le « point d’application de la réaction de
sur
».
- ↑ Ceci, bien sûr, n'ayant de signification que s'il y a contact effectif
- ↑ 5,0 et 5,1 Pour l’instant
est simplement un vecteur unitaire du plan tangent à
défini au point de contact et choisi selon la direction de la projection de
sur le plan tangent, son sens étant encore, pour l’instant, arbitraire ; par suite ce dernier sera défini plus précisément
- ↑ Ou nulle dans des cas particuliers.
- ↑ Une « liaison non idéale » étant encore appelée « liaison non parfaite ».
- ↑ En utilisant la distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle, voir le paragraphe « autres propriétés (de la multiplication scalaire) » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ Ceci n'ayant de sens que si
existe c.-à-d. s'il y a contact entre
et
, toujours réalisé en liaison bilatérale mais conditionnel en liaison unilatérale.
- ↑ Dans l'exemple d'une caisse au repos sur un plan horizontal, la seule force pouvant engendrer un mouvement de la caisse c.-à-d. « son poids » étant
au plan, l'équilibre de la caisse se traduit par le fait que la réaction du plan est opposée au poids c.-à-d.
au plan que la liaison soit ou ne soit pas idéale, ceci constitue donc un exemple de liaison avec frottement où
est
au plan, mais
Dans l'exemple d'une caisse au repos sur un plan horizontal, si on cherche à déplacer la caisse vers la droite sans y arriver
ce qui n'est possible que si la liaison est avec frottement
, elle est donc toujours en équilibre ce qui se traduit par l'existence d'une composante tangentielle de la réaction opposée à la force tangentielle exercée pour tenter de déplacer la caisse, ceci constitue donc un exemple de liaison avec frottement où
est
au plan
- ↑ 11,00 11,01 11,02 11,03 11,04 11,05 11,06 11,07 11,08 11,09 11,10 11,11 11,12 11,13 11,14 et 11,15 Charles-Augustin Coulomb (1736 - 1806) officier, ingénieur et physicien français à qui on doit la formulation précise des lois de frottement « solide » connues sous le nom de « lois de Coulomb » ainsi que l'invention du pendule de torsion qui lui permet de formuler la loi d'attraction des corps électrisés.
- ↑ Laquelle peut accessoirement être nulle.
- ↑ À ce stade, le vecteur unitaire tangentiel
du plan tangent à
au point de contact, choisi suivant la direction de la projection de
sur le plan tangent, mais de sens jusqu'à présent arbitraire, pourra maintenant être précisé ;
on choisira le sens de
dans le sens de la force qui pourrait créer le déplacement, ce qui est encore le sens de
c.-à-d. le sens du mouvement de glissement susceptible de se produire.
- ↑ C.-à-d. suivant la direction et le sens du mouvement de glissement susceptible de se produire.
- ↑ Plus exactement la valeur algébrique de la projection tangentielle de la force de frottement solide
.
- ↑ Ceci dans le cas d'une liaison unilatérale sinon,
Ceci dans le cas d'une liaison bilatérale,
s’oppose à la pénétration de
dans
ou
suivant que le contact se fait sur l'un ou sur l'autre.
- ↑ Dans la mesure où le plan tangent à
au point de contact est horizontal, la force pressante de
sur
est le plus souvent le poids de
que la liaison soit unilatérale ou bilatérale
dans ce dernier cas, il y a alors contact avec le support
.
- ↑ 18,0 et 18,1 En se plaçant dans le cas le plus fréquent où le sens de
ne change pas
comme cela se produit usuellement avec une liaison unilatérale
, dans ce cas le sens de
est aussi le sens contraire à la pénétration susceptible de se produire ;
En se plaçant dans le cas où le sens de
peut changer
comme cela peut se produire avec une liaison bilatérale
le sens de la pénétration susceptible de se produire étant a priori inconnu, le sens de
est alors choisi arbitrairement
- ↑ Si le sens de
est choisi de sens contraire à celui de
,
étant égale à
cas usuel d'une liaison unilatérale
on a
mais
si le sens de
est choisi de façon arbitraire
cas possible d'une liaison bilatérale

s'identifie à
en étant alors
si le sens de
est de sens contraire à
c.-à-d.
si le sens de
est choisi de façon arbitraire
cas possible d'une liaison bilatérale

s'identifie à
en étant alors
de sens contraire à la pénétration susceptible de se produire,
si le sens de
est choisi de façon arbitraire
cas possible d'une liaison bilatérale
si
est dans le sens de
c.-à-d.
si le sens de
est choisi de façon arbitraire
cas possible d'une liaison bilatérale
si
est dans le sens de la pénétration susceptible de se produire
- ↑ 20,0 et 20,1 C.-à-d. le sens de la pénétration susceptible de se produire.
- ↑ Ce n’est pas toujours le cas en particulier,
si la surface de
sur laquelle
est en contact n’est pas plane et que la force pressante est la composante du poids de
sur la normale à
au point de contact, la normale changeant de direction avec la position du point de contact, la composante normale
du poids varie mais
simultanément dans la mesure où la force
susceptible d'engendrer un glissement est due au poids de
, sa composante tangentielle
qui est aussi celle du poids de
varie aussi car la tangente change aussi de direction avec la position du point de contact d'où
dans ce cas quand
varie,
varie simultanément
.
- ↑ On rappelle que
quel que soit le sens de
choisi et
«
» si le sens choisi de
s'identifie au sens contraire de la pénétration susceptible de se produire c.-à-d.
On rappelle que
quel que soit le sens de
choisi et
«
» si le sens choisi de
de sens contraire à
ce qu'on choisit toujours si le sens de
ne varie pas
On rappelle que
quel que soit le sens de
choisi et
«
» si le sens choisi de
s'identifie au sens de la pénétration susceptible de se produire c.-à-d.
On rappelle que
quel que soit le sens de
choisi et
«
» si le sens choisi de
au sens de
ceci pouvant se produire par choix arbitraire du sens de
qui est fait quand le sens de
peut varier, comme dans l'exemple d'une liaison bilatérale
.
- ↑ On rappelle que
quel que soit le sens de
choisi et par suite, de la condition de non pénétration
on tire
si le sens choisi de
s'identifie au sens contraire de la pénétration susceptible de se produire c.-à-d. de sens contraire à
ce qu'on choisit toujours si le sens de
ne varie pas
alors que
si le sens choisi de
s'identifie au sens de la pénétration susceptible de se produire c.-à-d. au sens de
ceci pouvant se produire par choix arbitraire du sens de
qui est fait quand le sens de
peut varier, comme dans l'exemple d'une liaison bilatérale
.
- ↑ 24,0 et 24,1 On rappelle que
étant choisi dans le sens de
,
est
alors que
avec la condition de non glissement
et
On rappelle que si
est choisi dans le sens contraire de
quand le sens de cette dernière ne varie pas
avec
,
est
alors que
avec la condition de non pénétration
ou
On rappelle que si
est choisi de sens arbitraire
quand le sens de
peut varier c.-à-d. essentiellement dans le cas d'une liaison bilatérale
avec
,
est
quand le sens de
est dans le sens de
alors que
avec la condition de non pénétration
.
- ↑ Il faut, pour qu'il y ait glissement, que
soit
à
, valeur critique à partir de laquelle l'équilibre n'est plus possible et
Il faut, pour qu'il y ait glissement, que
soit
à
, valeur critique égale au « seuil d'adhérence de
sur
» c.-à-d.
avec
Il faut, pour qu'il y ait glissement, que
soit
à
, valeur critique égale au « seuil d'adhérence de
sur
» c.-à-d.
cœfficient de frottement statique et
Il faut, pour qu'il y ait glissement, que
soit
à
, valeur critique égale au « seuil d'adhérence de
sur
» c.-à-d.
composante normale de la réaction
Il faut, pour qu'il y ait glissement, que
soit
à
, valeur critique égale au « seuil d'adhérence de
sur
» c.-à-d.
laquelle est
si le sens de la force pressante
ne variant pas, celui du vecteur unitaire normal
est choisi contraire au sens de la force pressante
et peut être
dans le cas où le sens de la force pressante
variant, celui du vecteur unitaire normal
est choisi de façon arbitraire,
étant alors
si le choix arbitraire coïncide avec le sens de
;
il faut donc, pour qu'il y ait glissement, «
» ou «
» car
est opposée à
en cas de non glissement, avec
soit plus précisément
il faut donc, pour qu'il y ait glissement, «
» ou «
.
- ↑ Celle-ci n’est opposée à la force pressante
usuellement la composante normale du poids de
que si la surface de
sur laquelle glisse
est plane, sinon la somme
est a priori non nulle mais égale à
attention, l'oubli de l'accélération normale est fréquente, on ne peut écrire
que dans une translation rectiligne de
sur
, ce dernier étant alors nécessairement plan avec
à ce plan
.
- ↑ 27,0 et 27,1 On rappelle que
est
compte-tenu de
toujours de sens contraire à
avec
choisi dans le sens de
;
On rappelle que
est
si, le sens de
ne variant pas, celui de
est choisi de sens contraire à
avec
,
On rappelle que
est
si, le sens de
variant, celui de
arbitraire
est de sens contraire à
avec
et
On rappelle que
est
si, le sens de
variant, celui de
arbitraire
est de même sens que
avec
.
- ↑ Ou «
encore égal à
» car, dans ce cas critique, nous sommes en statique et par suite
.
- ↑ C’est d'ailleurs ce qu'on a exposé au chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » et c’est ce qu'on continuera à utiliser en dehors de ce chapitre
- ↑ On avait précédemment écrit
pour englober l'approximation explicitée ici mais, avec suffisamment de précision, l'inégalité est stricte
- ↑ Il convient bien sûr d'ajouter un schéma de situation en représentant les forces appliquées
- ↑ 32,0 et 32,1 Voir le paragraphe « rappel : loi empirique de Coulomb du frottement de glissement d'un solide en translation sur un autre solide dans le cas d'équilibre » plus haut dans ce chapitre.
- ↑ 33,0 et 33,1
étant ici
,
.
- ↑ Le mouvement étant rectiligne il n'y a aucune accélération normale
- ↑ 35,0 et 35,1 Voir le paragraphe « rappel : loi empirique de Coulomb du frottement de glissement d'un solide en translation sur un autre solide dans le cas effectif de glissement » plus haut dans ce chapitre.
- ↑ 36,0 et 36,1 Centre D'Inertie.
- ↑ 37,0 et 37,1 Voir le paragraphe « énoncé du théorème (dynamique newtonienne) » du chap.
de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
- ↑ Dans l'approximation où on confond les deux cœfficients de frottement statique et dynamique, l'accélération acquise par le solide
est nulle, le glissement correspond donc à un mouvement rectiligne uniforme.
- ↑ Voir le paragraphe « discontinuité de 1ère espèce d'une fonction scalaire d'une variable en une valeur de cette dernière » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ Angle non orienté.
- ↑ Cette
de l'inclinaison de la réaction
par rapport à la normale à
au point de contact simultanément à la
de la norme de la force horizontale
imposée dans le but de créer un glissement de
sur
n'est valable que s'il n'y a pas glissement
- ↑ 42,0 42,1 et 42,2 Voir le paragraphe « fonction inverse de la fonction tangente : fonction arctangente » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
- ↑ 43,0 et 43,1 Obtenu en inversant.
- ↑ Comme
et que la fonction
est
voir le paragraphe « fonction inverse de la fonction tangente : fonction arctangente » du chap.
de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »
, on vérifie bien que
.
- ↑ C.-à-d. de même direction et de sens contraire à la force
tentant de le créer.
- ↑ C.-à-d. de même direction et de sens contraire à
ou de même direction et de sens contraire à la force
ayant créé le glissement au démarrage
mais non nécessairement de sens contraire à la force
à un autre instant car il se pourrait que celle-ci change de sens et devienne résistive, alors la réaction
restant inclinée de sens contraire au mouvement de glissement deviendrait inclinée dans le sens de
aux instants où cette dernière serait devenue résistive
.
- ↑ La réaction
s'étant effectivement inclinée jusqu'à la surface latérale du cône limite de frottement statique lors du démarrage du glissement.
- ↑ Condition Nécessaire.
- ↑ 49,0 49,1 et 49,2 Dans le cas d'une liaison unilatérale il faut vérifier que le contact entre
et
n'est pas rompu c.-à-d. vérifier que le sens de la composante normale de la réaction va de
vers
ou que
est
avec
vecteur unitaire normal de sens choisi contraire au sens de la force pressante ;
si de plus il y a glissement de
sur
,
peut dépendre de la vitesse de glissement et la validation du maintien du contact
peut nécessiter une discussion suivant la valeur de la vitesse de glissement
- ↑ Condition(s) Initiale(s).