Signaux physiques - bis (PCSI)/Exercices/Oscillateurs amortis : circuit R L C série et oscillateur mécanique amorti par frottement visqueux

Oscillateurs amortis : circuit R L C série et oscillateur mécanique amorti par frottement visqueux
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Exercices no1
Leçon : Signaux physiques - bis (PCSI)
Chapitre du cours : Oscillateurs amortis : circuit R L C série et oscillateur mécanique amorti par frottement visqueux

Exercices de niveau 14.

Exo préc. :Sommaire
Exo suiv. :Oscillateurs amortis : régime sinusoïdal forcé, impédance complexe
En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Exercice : Oscillateurs amortis : circuit R L C série et oscillateur mécanique amorti par frottement visqueux
Signaux physiques - bis (PCSI)/Exercices/Oscillateurs amortis : circuit R L C série et oscillateur mécanique amorti par frottement visqueux
 », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.




Circuit linéaire constitué d'« un condensateur en série avec le modèle parallèle d'une bobine réelle » soumis à un échelon de tension, réponse en intensité de courant traversant le circuit modifier

Schéma d'un circuit constitué d'un condensateur en série avec l'association d'une bobine parfaite en parallèle sur un conducteur ohmique, l'ensemble étant soumis à un échelon de tension, réponse en intensité du courant traversant le circuit

     On se propose de déterminer la réponse en intensité du courant traversant le circuit constitué d'un condensateur de capacité en série avec l'association d'une bobine parfaite d'inductance propre en parallèle sur un conducteur ohmique de résistance , l'ensemble étant soumis à un échelon de tension établi à partir de et d'amplitude voir ci-contre ;

     avant la fermeture de l'interrupteur réalisée à , toutes les grandeurs électriques (tension et intensité) du circuit passif sont nulles.

Établissement de l'équation différentielle en i(t), intensité du courant traversant le circuit linéaire soumis à un échelon de tension modifier

     Établir, pour tout , l'équation différentielle en , intensité du courant de charge du condensateur, quand le circuit est soumis à l'échelon de tension d'amplitude .



À partir de la nature de la discontinuité de l'excitation, induction de celle des discontinuités (éventuelles) initiales de l'intensité i(t) et de son taux horaire de variation (di/dt)(t) puis détermination des C.I. par utilisation des propriétés de continuité des grandeurs électriques dans un circuit résistif modifier

     Induire, de la nature de la discontinuité de l'excitation en , celles de et de puis,

     déterminer les valeurs initiales et par la méthode adaptée à la nature de la discontinuité éventuelle.

Détermination des réponses transitoires en intensité du courant suivant la valeur de la résistance et tracé du graphe de i(t) en fonction de t pour une résistance supérieure à la résistance critique modifier

     En déduire, pour , les réponses en , intensité du courant traversant le circuit soumis l'échelon de tension d'amplitude suivant les valeurs de , on mettra en évidence une résistance critique que l'on exprimera en fonction de et .

     Donner l'allure du graphe de en fonction de dans le cas où .

Circuit linéaire constitué d'« une bobine parfaite en série avec un conducteur ohmique de résistance R et une association parallèle d'un condensateur parfait sur un conducteur ohmique de même résistance R » soumis à un échelon de tension, réponse en intensité de courant traversant le circuit modifier

Schéma d'un circuit constitué d'une bobine parfaite en série avec un conducteur ohmique de résistance et l'association d'un condensateur en parallèle sur un conducteur ohmique de même résistance , l'ensemble étant soumis à un échelon de tension, réponse en intensité du courant traversant le circuit

     On se propose de déterminer la réponse en intensité du courant traversant le circuit constitué d'une bobine parfaite d'inductance propre en série avec un conducteur ohmique de résistance et l'association d'un condensateur de capacité en parallèle sur un conducteur ohmique de même résistance , l'ensemble étant soumis à un échelon de tension établi à partir de et d'amplitude voir ci-contre ;

     avant la fermeture de l'interrupteur réalisée à , toutes les grandeurs électriques (tension et intensité) du circuit passif sont nulles.

Établissement de l'équation différentielle en i(t), intensité du courant traversant le circuit linéaire soumis à un échelon de tension modifier

     Établir, pour tout , l'équation différentielle en , intensité du courant traversant la bobine, quand le circuit est soumis à l'échelon de tension d'amplitude .



À partir de la nature de la discontinuité de l'excitation, induction de celle des discontinuités éventuelles initiales de l'intensité i(t) et de son taux horaire de variation (di/dt)(t) puis détermination des C.I[15]. par utilisation des propriétés de continuité des grandeurs électriques dans un circuit résistif modifier

     Induire, de la nature de la discontinuité de l'excitation en , celles de et de puis,

     déterminer les valeurs initiales et par la méthode adaptée à la nature de la discontinuité éventuelle.

Détermination de la réponse transitoire en intensité du courant dans le cas où les dipôles « L R série » et « R C parallèle » ont même constante de temps et tracé du graphe de i(t) en fonction de t modifier

     Supposant que l'inductance propre de la bobine et la capacité du condensateur sont telles que les dipôles « série » et « parallèle » ont même constante de temps notée , réécrire l'équation différentielle en pour tout sous forme canonique[20] ;

     en déduire, pour , la réponse en , intensité du courant traversant le circuit soumis l'échelon de tension d'amplitude , en fonction de , , et l'instant .

     Donner l'allure du graphe de en fonction de .

Circuit de Wien court-circuité, le condensateur de l'association série étant initialement chargé et celui de l'association parallèle initialement déchargé, réponse en tension aux bornes de l'association parallèle modifier

Schéma d'un circuit de Wien[23] court-circuité c'est-à-dire formé d'un « série » fermé sur un « parallèle », le condensateur de capacité étant initialement chargé et celui de capacité étant déchargé

     À l'aide des conducteurs ohmiques de résistance et ainsi que des condensateurs parfaits de capacité et , on réalise le montage ci-contre appelé circuit de Wien[23] court-circuité.

     On ferme l'interrupteur à , le condensateur de l'association série de capacité étant initialement chargé et celui de l'association parallèle de capacité déchargé.

     Pour faire les applications numériques nous nous placerons dans le cas où les deux résistances sont égales et les deux capacités aussi, ceci permettant de poser , et on prendra et .

     À l'instant on note la tension instantanée aux bornes du condensateur initialement chargé de capacité et la tension instantanée aux bornes du condensateur initialement déchargé de capacité , le but de cet exercice étant de déterminer l'évolution de la tension en fonction du temps .

Détermination des valeurs à l'instant 0+ et au bout d'un temps infini de v(t) et de sa dérivée temporelle modifier

     À partir de considérations physiques préciser les valeurs de la tension et de sa dérivée temporelle lorsque et quand .

Établissement de l'équation différentielle en v(t), tension aux bornes du dipôle « R C parallèle » modifier

     Établir l'équation différentielle en , tension aux bornes du dipôle « parallèle », pour tout instant .

Résolution de l'équation différentielle en v(t), tension aux bornes du dipôle « R C parallèle », puis tracé de son graphe en fonction du temps t et détermination de l'instant pour lequel v(t) est maximale modifier

     Exprimer sachant que , puis

     donner le graphe correspondant et

     déterminer le temps au bout duquel passe par un maximum.

Établissement du courant dans un circuit bouchon quand ce dernier est soumis, à travers un conducteur ohmique, à un échelon de tension modifier

Schéma d'un circuit constitué d'un conducteur ohmique en série avec un circuit bouchon association d'une bobine parfaite en parallèle sur un condensateur, l'ensemble étant soumis à un échelon de tension, réponse en intensité du courant traversant le circuit

     On se propose de déterminer la réponse en intensité du courant traversant le circuit constitué d'un conducteur ohmique de résistance en série avec l'association d'un condensateur de capacité en parallèle sur une bobine parfaite d'inductance propre association parallèle appelée circuit bouchon, l'ensemble étant soumis à un échelon de tension établi à partir de et d'amplitude voir ci-contre ;

     on pose «»[35] et «»[36], étant suffisamment grande pour que soit à c'est-à-dire «» ;

     avant la fermeture de l'interrupteur réalisée à , toutes les grandeurs électriques tensions et intensités de courant du circuit passif sont nulles.

Établissement de l'équation différentielle en i(t), intensité du courant traversant le circuit linéaire soumis à un échelon de tension modifier

     Établir, pour tout , l'équation différentielle en , intensité du courant traversant le circuit bouchon, quand le circuit complet est soumis à l'échelon de tension d'amplitude .

À partir de la nature de la discontinuité de l'excitation, induction de celle des discontinuités (éventuelles) initiales de l'intensité i(t) et de son taux horaire de variation (di/dt)(t) puis détermination des C.I. par utilisation des propriétés de continuité des grandeurs électriques dans un circuit résistif modifier

     Induire, de la nature de la discontinuité de l'excitation en , celles de et de puis,

     déterminer les valeurs initiales et par la méthode adaptée à la nature de la discontinuité éventuelle.

Détermination de la réponse transitoire en intensité du courant et tracé du graphe de i(t) en fonction de t modifier

     Réécrire l'équation différentielle en pour tout sous forme canonique[38] ;

     en déduire, pour , la réponse en , intensité du courant traversant le circuit complet soumis l'échelon de tension d'amplitude , en fonction de , , , et l'instant .

     Donner l'allure du graphe de en fonction de .

Détermination expérimentale du cœfficient de viscosité d'un fluide à partir de la période propre et de la pseudo-période d'un P.E.V.A. (pendule élastique vertical amorti) dont le solide se déplace dans le fluide précité modifier

     Une sphère de rayon et de masse est suspendue à un ressort de raideur et de longueur à vide .

     Déplacée dans un liquide de cœfficient de viscosité dynamique [42], la sphère est soumise, à l'instant , à une force de frottement fluide linéaire donnée par la « formule de Stokes[43] » où est la vitesse de la sphère au même instant .

Détermination de l'équation différentielle du mouvement de la sphère et expression de la pseudo-période modifier

     Écrire l'équation différentielle du mouvement de la sphère plongée dans le liquide et

     en déduire, dans l'hypothèse d'un régime pseudo-périodique, l'expression de la pseudo période .

Détermination du cœfficient de viscosité dynamique à partir de l'expression, entre autres, de la pseudo-période modifier

     En supposant les frottements fluides linéaires négligeables dans l'air, la période des oscillations y est mesurée égale à  ;

     déduire, de la pseudo-période et de la période dans l'air, le cœfficient de viscosité dynamique [42] du liquide en fonction de , , et .

Décrément logarithmique d'un P.E.V.A. (pendule élastique vertical amorti) et détermination du cœfficient de frottement fluide entre le solide et le fluide dans lequel le premier se déplace modifier

Schéma de présentation du pendule élastique vertical amorti P.E.V.A.
Diagramme horaire de cote du solide d'un P.E.V.A[49]. relativement à sa position d'équilibre en fonction du temps

     Un solide de masse est attaché à un ressort d'axe vertical, de raideur et de longueur à vide fixé au point fixe voir figure ci-contre.

     En plus de son poids et de la force élastique du ressort, le solide est soumis à une force de frottement fluide , où est le vecteur vitesse instantané du solide à l'instant et une constante dite de « frottement fluide linéaire » dans les conditions de l'expérience.

     Un capteur fournit l'évolution, au cours du temps, de la cote du solide par rapport à sa position d'équilibre.

Établissement de l'équation différentielle en z(t) cote du solide relativement à O, détermination de la cote à l'équilibre et de la loi de variation de z'(t) cote du solide relativement à sa position d'équilibre modifier

     Établir l'équation différentielle en cote du solide relativement à l'extrémité supérieure du ressort ;

     en déduire la position d'équilibre du solide c'est-à-dire sa cote à l'équilibre puis

     en déduire l'équation différentielle en cote du solide relativement à sa position d'équilibre[50] la variation de en fonction du temps étant représentée ci-contre.









Définition de la pulsation propre et du facteur de qualité du P.E.V.A. modifier

     Dans le but de faire une réduction canonique, définir, en fonction des données

  • la pulsation propre du P.E.V.A[49]. ainsi que
  • son facteur de qualité puis

     réécrire l'équation différentielle en sous sa forme canonique.

Résolution de l'équation différentielle en z'(t) modifier

     Déterminer, par résolution de l'équation différentielle précédente, la loi de variation de en fonction du temps  ;

     préciser la pseudo-période en fonction de la période propre et du facteur de qualité .

Définition du décrément logarithmique et établissement de son expression en fonction du facteur de qualité modifier

     Montrer que le décrément logarithmique défini par est indépendant du temps et

     l'exprimer en fonction du facteur de qualité.

Comparaison des données expérimentales à la modélisation précédente modifier

     En utilisant les positions du solide à chaque passage au maximum, comparer les données expérimentales à la modélisation précédente ;

     Commenter les résultats obtenus et estimer à l'aide des données expérimentales le décrément logarithmique[57] ainsi que son incertitude de répétabilité ou de type A[58].

Par étude des données expérimentales estimation du facteur de qualité et de la pseudo-pulsation modifier

     Estimer à l'aide des données expérimentales le facteur de qualité [62] puis

     Estimer à l'aide des données expérimentales la pseudo-pulsation [63].

Déduction des résultats estimés précédents de la masse du solide et du cœfficient de frottement fluide linéaire entre le solide et le fluide modifier

     En déduire la valeur de la masse du solide et

     En déduire la valeur du cœfficient de frottement fluide linéaire entre le solide et le fluide.

Couplage de deux circuits « L C série » identiques par condensateur modifier

Schéma du couplage de deux circuits « série » identiques montés tous deux en parallèle sur un condensateur initialement chargé, les deux « série » étant initialement au repos

     À l'aide de deux circuits oscillants identiques « série » initialement au repos[69] on réalise un couplage entre eux par condensateur c'est-à-dire qu'on les monte parallèlement à un condensateur voir schéma ci-contre, ce condensateur de capacité est initialement chargé, sa charge initiale étant égale à [70] ;

     nous supposons que l'instant de réalisation du couplage est pris comme origine des temps .

Établissement du système d'équations différentielles couplées en i1(t) et i2(t), respectivement intensité du courant circulant dans les circuits oscillants de gauche et de droite modifier

     Déterminer le système d'équations différentielles couplées en et , respectivement intensité du courant circulant dans les circuits oscillants de gauche et de droite[71].

Découplage du système d'équations différentielles couplées en i1(t) et i2(t) modifier

     Montrer que l'on découple le système en formant et , obtenant ainsi deux équations différentielles découplées[73]

  • en et
  • en .

Détermination des lois de variation de s(t) = i1(t) + i2(t) et de d(t) = i1(t) - i2(t) en fonction du temps t modifier

     Résoudre chaque équation différentielle découplée et pour en déduire les lois de variation de et de avec le temps .

Déduction, de ce qui précède, des lois de variation de i1(t) et de i2(t) modifier

     Déduire, des expressions de et de , celles de et de .

Interprétation énergétique du facteur de qualité d'un « R L C série court-circuité », le condensateur étant initialement chargé et le conducteur ohmique étant de faible résistance modifier

Schéma d'un circuit série fermé sur un interrupteur , le condensateur étant initialement chargé et fermé à l'instant

     Un circuit électrique est composé d'un interrupteur , d'un conducteur ohmique de résistance , d'un condensateur parfait de capacité initialement chargé sous la tension [74] et d'une bobine également parfaite d'inductance propre , le tout monté en série voir figure ci-contre ;

     on ferme l'interrupteur à l'instant .

Établissement de l'équation différentielle en charge q(t) du condensateur et de sa réduction canonique modifier

     Établir l'équation différentielle satisfaite par la charge du condensateur quand l'interrupteur est fermé ;

     définir, en fonction de , et ,

  • la pulsation propre et
  • le facteur de qualité du série, puis

     réécrire l'équation différentielle sous forme canonique.

     On se place pour la suite dans le cas d'un amortissement très faible correspondant à «».

Détermination de la variation de la charge du condensateur en fonction du temps modifier

     Exprimer la variation de la charge du condensateur en fonction des données on posera , des grandeurs canoniques et du temps.

Évaluation de la pseudo-période et de la durée du régime transitoire modifier

     Évaluer la pseudo-période , ainsi que l'ordre de grandeur de la durée du régime transitoire.

Tracé du diagramme horaire et du portrait de phase de la charge du condensateur modifier

     Représenter le diagramme horaire de la charge du condensateur ainsi que

     Représenter son portrait de phase.

Détermination de l'énergie stockée dans le L C série à l'instant t ainsi que le signe de son taux horaire de variation modifier

     Évaluer l'énergie contenue dans le circuit à l'instant .

     Que dire du signe de  ?

Détermination de la variation relative d'énergie perdue dans le L C série pendant une pseudo-période modifier

     Évaluer la variation relative d'énergie perdue dans le circuit pendant une pseudo-période soit .

Caractérisation énergétique du facteur de qualité modifier

     Déduire de ce qui précède une caractérisation énergétique du facteur de qualité dans le cas d'un régime pseudo-périodique très faiblement amorti.

Notes et références modifier

  1. 1,0 et 1,1 En effet écrire que l'on a même tension aux bornes de deux dipôles en parallèle est équivalent à une loi de maille.
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 et 2,12 Au sens des distributions.
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 et 3,5 Voir le paragraphe « pic de Dirac d'impulsion unité et son lien avec l'échelon unité (ou fonction d'Heaviside) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » définissant que le pic de Dirac d'impulsion unité comme la dérivée temporelle au sens des distributions de la fonction d'Heaviside soit «».
       Paul Adrien Maurice Dirac (1902 - 1984) physicien et mathématicien britannique, colauréat du prix Nobel de physique en , on lui doit des avancées cruciales dans le domaine de la mécanique statistique et de la physique quantique des atomes, il démontra l'équivalence physique entre la mécanique ondulatoire de Schrödinger et la mécanique matricielle de Heisenberg, deux présentations de la même mécanique quantique et enfin, pour les besoins du formalisme quantique, il inventa la notion, sans fondement mathématique précis, connue de nos jours sous le nom de distribution de Dirac et dont la description rigoureuse fut établie par le mathématicien français Laurent Schwartz (1915 - 2002) dans sa théorie des distributions ; Paul Dirac fut colauréat du prix Nobel de Physique en pour la découverte de formes nouvelles et utiles de la théorie atomique, l'autre moitié du prix Nobel étant décernée à Erwin Schrödinger pour la formulation de l'équation d'onde dite de Schrödinger.
       Erwin Rudolf Josef Alexander Schrödinger (1887 - 1961) physicien, philosophe et théoricien scientifique autrichien est à l'origine du développement d'un des formalismes théoriques de la mécanique quantique connu sous le nom de mécanique ondulatoire ; la formulation de l'équation d'onde connue sous le nom d'équation de Schrödinger lui a valu de partager le prix Nobel de physique en avec Paul Dirac lequel a été honoré pour la découverte de formes nouvelles et utiles de la théorie atomique ; on doit encore à Erwin Schrödinger l'expérience de pensée proposée à Albert Einstein en et connue sous le nom chat de Schrödinger.
       Werner Karl Heisenberg (1901 - 1976) physicien allemand, l'un des fondateurs de la mécanique quantique, ayant obtenu le prix Nobel de physique en pour la création de la mécanique quantique, dont l’application a mené, entre autres, à la découverte des variétés allotropiques de l'hydrogène.
       Albert Einstein (1879 - 1955), physicien théoricien d'origine allemande, devenu apatride en puis suisse en  ; on lui doit la théorie de la relativité restreinte publiée en , la relativité générale en ainsi que bien d'autres avancées dans le domaine de la mécanique quantique et la cosmologie ; il a reçu le prix Nobel de physique en pour son explication de l'effet photoélectrique.
       Oliver Heaviside (1850 - 1925) physicien britannique autodidacte, ayant commencé sa carrière en tant qu'opérateur de télégraphe, développé de façon intuitive le calcul opérationnel pour résoudre des équations différentielles en les transformant en équations algébriques, travaillé sur la propagation des courants électriques dans des conducteurs et développé la fonction portant son nom encore appelée échelon ou marche utilisée dans l'étude de systèmes en automatique.
  4. 4,0 et 4,1 Voir le paragraphe « évaluation de la dérivée temporelle seconde de la tension aux bornes de l'association série d'un interrupteur K et d'une source de tension parfaite de f.e.m. E lors de la fermeture de K et “ modélisation ” » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » introduisant le « double pic de Dirac inversé » introduction, appellation et notation personnelles comme dérivée temporelle seconde au sens des distributions de la fonction d'Heaviside soit «».
       Paul Adrien Maurice Dirac (1902 - 1984) physicien et mathématicien britannique : voir la note « 3 » pour plus de détails.
       Oliver Heaviside (1850 - 1925) physicien britannique autodidacte : voir la note « 3 » pour plus de détails.
  5. En effet .
  6. 6,0 6,1 6,2 et 6,3 Les doubles guillemets pour préciser que cette notion n'est pas définie en mathématiques mais qu'elle est néanmoins introduite dans le but de définir une échelle de discontinuités introduction personnelle voir la fin du paragraphe « évaluation de la dérivée temporelle seconde de la tension aux bornes de l'association série d'un interrupteur K et d'une source de tension parfaite de f.e.m. E lors de la fermeture de K et modélisation » sur la notion de « “ discontinuité de 3ème espèce ” » introduit au chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  7. 7,0 et 7,1 Présence d'un « double pic de Dirac inversé » appellation personnelle, dérivé du pic de Dirac d'impulsion unité.
       Paul Adrien Maurice Dirac (1902 - 1984) physicien et mathématicien britannique : voir la note « 3 » pour plus de détails.
  8. 8,0 et 8,1 Voir le paragraphe « retour sur la nature de la discontinuité de la solution générale d'une équation différentielle linéaire à cœfficients constants hétérogène du 2ème ordre sachant que l'excitation est discontinue de 3ème espèce » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  9. 9,0 9,1 9,2 9,3 9,4 et 9,5 Voir le paragraphe « discontinuité de 2ème espèce du pic de Dirac d'impulsion E » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » introduisant cette discontinuité à l'instant sur un exemple montrant la nécessité d'une limite infinie à cet instant .
  10. 10,0 10,1 10,2 10,3 et 10,4 Voir le paragraphe « discontinuité de 1ère espèce d'une fonction scalaire d'une variable en une valeur de cette dernière » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » introduisant cette discontinuité à un instant quelconque s'il y a un saut fini de la fonction à cet instant.
  11. 11,0 11,1 11,2 et 11,3 Voir le paragraphe « continuité de l'énergie électromagnétique (instantanée) stockée dans une bobine parfaite d'un circuit réel et conséquences » du chap. de la leçon « Signaux physiques (PCSI) ».
  12. 12,0 12,1 12,2 12,3 12,4 et 12,5 Voir le paragraphe « continuité de l'énergie électrostatique (instantanée) stockée dans un condensateur parfait d'un circuit réel et conséquences » du chap. de la leçon « Signaux physiques (PCSI) ».
  13. Et de l'interrupteur ouvert modélisant à .
  14. On pouvait aussi utiliser la méthode hors programme consistant à intégrer au sens des distributions l'équation différentielle écrite pour tout , celle-ci donnant ou car , étant discontinue de 1ère espèce la continuité des primitives de soit finalement compte-tenu de la valeur de
  15. 15,00 15,01 15,02 15,03 15,04 15,05 15,06 15,07 15,08 15,09 15,10 15,11 15,12 15,13 15,14 15,15 15,16 15,17 15,18 15,19 15,20 15,21 15,22 15,23 15,24 15,25 15,26 15,27 et 15,28 Condition(s) Initiale(s).
  16. 16,0 16,1 et 16,2 En se limitant à la détermination principale c'est-à-dire comprise entre et de .
  17. 17,0 17,1 17,2 et 17,3 Voir le paragraphe « nature de la discontinuité de la solution générale d'une équation différentielle linéaire à cœfficients constants hétérogène du 2ème ordre connaissant la nature de la discontinuité de l'excitation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  18. 18,0 et 18,1 Par abus nous disons qu'une grandeur continue est discontinue de 0ème espèce.
  19. 19,0 19,1 19,2 19,3 19,4 et 19,5 C.-à-d. pour tout soit en particulier pour .
  20. La seule grandeur canonique intervenant étant la valeur commune des constantes de temps des dipôles « série » et « parallèle ».
  21. Comme la pulsation propre est on peut réécrire la pseudo-pulsation avec établissant que le cœfficient d'amortissement classique est tel que soit .
  22. En effet est en particulier égal à .
  23. 23,0 23,1 et 23,2 Max Wien (1866 - 1938) physicien allemand à qui on doit l'oscillateur à pont dit de Wien en et le "Löschfunkensender" un générateur d'oscillations électromagnétiques légèrement amorties entre et  ; il eut l'idée d'un amplificateur électronique qu'il ne réalisa pas faute de moyens ce fût William Hewlett (1913 - 2001), ingénieur américain en électronique, cofondateur de Hewlett-Packard, qui le réalisa en .
  24. Le condensateur de capacité étant en convention récepteur.
  25. À faire réellement.
  26. Mais certaines étant très simples comme par exemple la tension aux bornes de l'interrupteur , le nombre d'inconnues et donc le nombre de relations nécessaires diminuera très sensiblement.
  27. Convention de décharge du condensateur de capacité .
  28. Convention générateur pour le condensateur de capacité .
  29. Convention de charge du condensateur de capacité .
  30. Convention récepteur pour le condensateur de capacité .
  31. En effet le 2nd membre de l'équation intégrée s'écrivant .
  32. En vérifiant qu'il s'agit bien d'un maximum du diagramme nécessitant et .
  33. L'expression conjuguée de l'expression irrationnelle étant , on utilise que le produit de deux expressions irrationnelles conjuguées est rationnel c'est-à-dire ici .
  34. On vérifie effectivement car et
       On vérifie effectivement car car « est une fonction sur de à sa dérivée y étant d'où ».
  35. Pour l'instant il ne s'agit que d'une grandeur homogène à une pulsation, vraisemblablement la pulsation propre du circuit mais, si l'intuition est exacte, cela reste à vérifier.
  36. a donc la même homogénéité que , tous deux s'exprimant en .
  37. On pouvait aussi utiliser la méthode hors programme consistant à intégrer au sens des distributions l'équation différentielle écrite pour tout , cette intégration donnant « » ou « » car d'une part , étant discontinue de 1ère espèce la continuité des primitives de et d'autre part, pour la même raison, soit finalement compte-tenu de la valeur de
  38. On vérifiera que seules les grandeurs réduites et interviennent, le cœfficient d'amortissement usuel étant remplacé par .
  39. Ce cœfficient d'amortissement est lié au cœfficient d'amortissement usuel par .
  40. En introduisant le cœfficient d'amortissement usuel on retrouve la forme usuelle de la pseudo-pulsation .
  41. Le 1er terme du 1er membre est nul par la 1ère C.I..
  42. 42,0 et 42,1 Exemple de fluide relativement visqueux « la glycérine » de viscosité dynamique ce qui donnerait, en supposant l'objet sphérique de rayon , un cœfficient de frottement fluide linéaire donné par la formule de Stokes et si l'objet était en fer de masse volumique , sa masse serait soit un rapport , enfin si la raideur du ressort était , la pulsation propre serait et le cœfficient d'amortissement vaudrait soit un régime pseudo-périodique ;
       il existe d'autres fluides encore plus visqueux comme le miel de viscosité dynamique ou la mélasse de viscosité dynamique , leur utilisation entraînant une multiplication du cœfficient de frottement fluide linéaire avec les mêmes dimensions d'un facteur à et par suite une multiplication du cœfficient d'amortissement d'un facteur à conduisant, dans ce cas, à un régime apériodique.
       George Gabriel Stokes (1819 - 1903) mathématicien et physicien britannique : voir la note « 43 » plus loin dans ce chapitre pour plus de détails.
  43. George Gabriel Stokes (1819 - 1903) est un mathématicien et physicien britannique à qui on doit, dans le domaine de la physique, d'importants travaux en mécanique des fluides, l'étude des variations de la gravitation à la surface de la Terre il est considéré comme l'un des initiateurs de la géodésie et aussi l'explication du phénomène de ||w:Fluorescence|fluorescence]] ; dans le domaine des mathématiques on lui attribue à tort la démonstration du théorème portant son nom mais en fait une 1ère démonstration de ce théorème fût donnée vingt ans plus tôt par Mikhaïl Vassilievitch Ostrogradsky (1801 - 1862) physicien et mathématicien russe province de l'Ukraine à qui on doit aussi, entre autres, un théorème portant son nom
  44. La position d'équilibre est choisie comme origine de l'axe orienté vers le bas.
  45. 45,0 45,1 et 45,2 Relation fondamentale de la dynamique newtonienne ou 2ème loi de Newton.
       Isaac Newton (1643 - 1727) philosophe, mathématicien, physicien, astronome, alchimiste et théologien anglais, connu essentiellement de nos jours pour avoir fondé la mécanique classique, pour sa théorie de la gravitation et aussi pour la création du calcul infinitésimal ; en optique il a développé une théorie de la couleur et a aussi inventé un télescope composé d'un miroir primaire concave et d'un miroir secondaire plan, télescope connu de nos jours sous le nom de télescope de Newton.
  46. Condition Nécessaire.
  47. La force de Stokes proportionnelle à la vitesse de est nulle à l'équilibre.
  48. Cette relation à l'équilibre aurait pu également être obtenue en faisant , et compte-tenu du choix de l'origine dans l'équation différentielle précédemment trouvée la nullité du 1er membre de l'équation différentielle et par suite nécessairement la nullité du 2ème membre soit effectivement .
  49. 49,0 49,1 et 49,2 Pendule Élastique Vertical Amorti.
  50. À cette étape on ne demande pas encore de faire une réduction canonique.
  51. On aurait obtenu le même résultat en écrivant que la somme des forces appliquées est nulle à l'équilibre soit ou, la relation suivante en projetant sur
  52. La 2ème expression se déduisant de la 1ère en utilisant .
  53. Hypothèse en accord avec l'enregistrement donnée ci-dessus.
  54. En accord avec le résultat du cours « régime pseudo-périodique » si avec .
  55. 55,0 et 55,1 et étant des constantes à déterminer à l'aide des C.I. qui ne sont pas précisées ici.
  56. Applicable pour tout et en particulier quand est maximale, dans ce cas le décrément logarithmique est le logarithme népérien du rapport des pseudo-amplitudes d'oscillations successives séparées d'une pseudo-période.
  57. Le meilleur estimateur d'une grandeur dont on fait une série de mesures est sa moyenne arithmétique .
  58. On définit l'écart-type expérimental sur une série de mesures de la grandeur précisant la dispersion de cette série autour de sa valeur moyenne par « », mais
       On définit l'incertitude de répétabilitéou de type A sur la grandeur lors d'une série de mesures devant traduire la dispersion de la valeur moyenne si on répétait un grand nombre de fois cette série de mesures, dispersion d'autant plus faible que le nombre de mesures est grand est estimée par l'écart-type expérimental sur la moyenne «».
  59. La valeur moyenne est , l'écart entre la plus grande valeur et la valeur moyenne étant de représente alors que l'écart entre la valeur moyenne et la plus petite valeur étant de représente .
  60. Les valeurs des observations individuelles différant en raison des variations aléatoires des grandeurs d'influence, la variabilité des valeurs observées ou plus exactement leur dispersion autour de leur moyenne est appelée écart-type expérimental  ; ce dernier se calcule selon .
  61. Ayant effectué une série de mesures de la grandeur et défini la dispersion de la série autour de leur moyenne par l'écart-type expérimental , on cherche à définir la dispersion de la valeur moyenne si on répétait un grand nombre de fois cette série de mesures, la dispersion étant d'autant plus faible que le nombre de mesures est grand est estimée par l'écart-type expérimental sur la moyenne .
  62. 62,0 62,1 et 62,2 Si une grandeur est fonction d'une autre grandeur et que la mesure de est réalisée en faisant une série de mesures, le meilleur estimateur de étant la moyenne de ses mesures avec une incertitude de répétabilité ou de type A sur notée , on en déduit le meilleur estimateur de par avec une incertitude de répétabilité ou de type A sur égale à «».
  63. 63,0 et 63,1 Dans le cas où l'estimation d'une mesure peut être difficilement obtenue en réalisant une série de mesures, il est nécessaire de remplacer l'incertitude de répétabilité ou de type A par une autre incertitude dite de résolution ou de type B ;
       pour arriver à exprimer l'incertitude de résolution ou de type B sous forme d'un écart-type, il faut recourir à des « lois de probabilité » ces lois de probabilité définissent la variation de la probabilité d'une mesure sur l'intervalle , par exemple si on effectue une mesure d'abscisse à l'aide d'une règle graduée au et que cette mesure nous indique que l'abscisse est comprise entre et , il est souhaitable de considérer que toutes les valeurs entre et sont équiprobables d'où une densité de probabilité uniforme et si la loi de probabilité choisie est uniforme l'incertitude de résolution ou de type B est «».
  64. On pourrait, pour évaluer l'incertitude-type sur , procéder de même que pour le décrément logarithmique en déterminant les durées écoulées entre deux maxima successifs et en évaluant l'écart-type expérimental puis l'écart-type expérimental sur la moyenne mais nous allons procéder autrement.
  65. Car conduit à des erreurs relatives opposées et par suite des incertitudes relatives égales, les incertitudes étant nécessairement positives.
  66. Supposé parfaitement connue.
  67. Car conduit à des erreurs relatives de signes opposes dans un rapport de deux et par suite des incertitudes relatives dans un rapport de deux, les incertitudes étant nécessairement positives.
  68. Car conduit à une erreur relative sur opposée de la somme des erreurs relatives sur et sur soit et par suite une incertitude relative sur égale à la somme des incertitudes relatives sur et sur , les incertitudes étant nécessairement positives.
  69. C.-à-d. que les condensateurs sont initialement déchargés et qu'il n'y a aucun courant circulant dans les bobines.
  70. On peut utiliser cette notation car dans cet exercice il ne sera pas question de facteur de qualité, de toute façon il n'y aurait aucune ambiguïté car un facteur de qualité est sans dimension alors que la charge initiale est évidemment en .
  71. 71,0 et 71,1 Le système est dit couplé parce que l'équation différentielle en , équation que l'on notera , a un deuxième membre dépendant de et l'équation différentielle en , équation que l'on notera , a un deuxième membre dépendant de .
  72. 72,0 et 72,1 En effet, quand est , l'interrupteur est équivalent à un court-circuit d'une part avec d'autre part et, quand est , la tension aux bornes de l'interrupteur doit compenser celle aux bornes du condensateur de capacité c'est-à-dire d'une part avec d'autre part.
  73. La méthode de découplage du système des deux équations différentielles linéaires à cœfficients réels constants est celle « par combinaison linéaire réelle », elle est exposée en détail dans le paragraphe « mise en pratique du découplage par combinaison linéaire » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) », mais
       ce n'est pas ce qui est fait ici : on propose les combinaisons linéaires réelles à utiliser il est d'ailleurs possible de les deviner quand il s'agit simplement de somme et de différence et souhaitable de le vérifier avant d'amorcer la méthode de recherche plus générale des combinaisons linéaires réelles d'où une grande simplification de la méthode.
  74. La tension aux bornes du condensateur étant définie comme la d.d.p. entre l'armature portant la charge et celle portant la charge .
  75. Le choix de sens des tensions correspond à la convention générateur pour le conducteur ohmique et la bobine.
  76. En effet, quand est , l'interrupteur est équivalent à un court-circuit d'une part avec d'autre part et,
       En effet, quand est , la tension aux bornes de l'interrupteur dans le sens du courant doit compenser celle aux bornes du condensateur de capacité c'est-à-dire d'une part avec d'autre part.
  77. En effet .
  78. En effet .
  79. En effet pour .
  80. Le facteur de qualité étant supposé très grand, le 1er terme du discriminant est très petit d'où le signe du discriminant.
  81. Voir le paragraphe « continuité de l'énergie électrostatique (instantanée) stockée dans un condensateur parfait d'un circuit réel et conséquences » du chap. de la leçon « Signaux physiques (PCSI) ».
  82. Ceci est en accord avec l'équation différentielle écrite pour tout , l'excitation y étant discontinue de 1ère espèce à voir le paragraphe « discontinuité de 1ère espèce d'une fonction scalaire d'une variable en une valeur de cette dernière » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » introduisant cette discontinuité à un instant quelconque s'il y a un saut fini de la fonction à cet instant, la discontinuité de 1ère espèce se reportant sur et les primitives successives et étant continues voir le paragraphe « nature de la discontinuité de la solution générale d'une équation différentielle linéaire à cœfficients constants hétérogène du 2ème ordre connaissant la nature de la discontinuité de l'excitation » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  83. Correspondant à la 3ème réduction canonique possible.
  84. 84,0 et 84,1 Développement Limité.
  85. 85,0 et 85,1 Voir le paragraphe « D.L. à l'ordre un de quelques fonctions usuelles » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  86. La pseudo-période étant inversement proportionnelle à la pseudo-pulsation, ce résultat se déduit du paragraphe « D.L. en l'infiniment petit d'ordre un de quelques fonctions usuelles » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » précisant «».
  87. Voir le paragraphe « tracé du portrait de phase de la charge du condensateur d'un R L C série soumis à un échelon de tension suivant le cœfficient d'amortissement » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) ».
  88. Le 1er terme ayant une amplitude petite par rapport au 2ème peut être supprimé.
  89. Cela revient à dire que pendant le temps de variation d'une période du cosinus l'amplitude peut être considérée comme constante d'où son absence de dérivation.
  90. Voir le paragraphe « bilan de puissance d'un R L C série soumis à un échelon de tension d'amplitude E » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) » dans le cas où .
  91. Voir le paragraphe « bilan d'énergie d'un R L C série soumis à un échelon de tension sur l'intervalle de temps [ 0+ ; t ] » du chap. de la leçon « Signaux physiques - bis (PCSI) » dans le cas où l'amplitude de l'échelon est nulle et en prolongeant le résultat du paragraphe précité à l'intervalle .
  92. La chaleur dissipée dans le conducteur ohmique devrait être notée mais on évite cette notation car est déjà utilisé pour le facteur de qualité.