Sujet sur Discussion utilisateur:Ambre Troizat

Bonjour,

• Lionel Scheepmans
• Manny (discussion)
• Ereduverseau (discussion)
• Claude PIARD (discussion)
• Deux Cent Seize (discussion)
• Louvois33 (discussion)
• @JackPotte, @Psychoslave, @Lmaltier

Je suis à un moment difficile de mon travail de recherche. Je me pose beaucoup de questions sur l'avenir de ce travail. En particulier sur le statut de ce travail, eu égard au sujet de ce travail : la fonction travail dans nos sociétés humaines sous les formes particulières que sont les systèmes esclavagistes.

Je viens de découvrir que Wikiversité est un "projet pour apprendre plein de choses avec les connaissances des autres".

C'est certainement une reformulation de :

Notes sur les licences

Les travaux de recherche, hébergés dans l’espace de noms Recherche de Wikiversité sont soumis aux mêmes licences CC-BY-SA 3.0 et GFDL qui en autorisent la réutilisation à des fins commerciales, mais garantit le référencement des auteurs et contributions. Je lis chez Lionel Scheepmans "La différence entre free software et open source deviendra ensuite encore plus floue après l'arrivée de l'expression générique, Free/Libre Open Source Software (FLOSS). Tout un brouillard conceptuel donc, qui aura pour conséquence de détourner l'importance du concept de copyleft qui sans aucun doute doit être perçu comme très dérangeant pour tous ceux qui désirent faire du profit en exploitant le travail d’autruit" (Chapitre 2 : Histoire et préhistoire d'un mouvement mondial et numérique)".

Est-ce pour cela, Lionel, que tu as préféré indiquer dans le descriptif de ton travail "aide" plutôt que "contribution" (idem). Merci à tous pour vos contributions. Bon dimanche.

À vrai dire, le mot aide m'est venu à l'esprit comme ça et j'ai pas réfléchis plus que cela. Mais il me plait mieux que contribution qui a une connotation plus spontanée alors que aide sous entend une demande comme ce fut le cas.

Concernant les licences le copyleft est une close cruciale puis qu'elle indique que tout travail dérivé doit être soumis à la même licence que le travail récupéré. Sur wikiversité, c'est donc une façon de gagantir qu'un travail de recherche réutilisé ne pourra légalement jamais servir a produire un autre travail dont le partage fera l'objet de conditions d'accès ou de vente.

Pour le copyleft, tu veux rire ?

Ah non. J'ai plutôt envie pleurer quand je constate que tout le monde s'en fou. Car le problème vois- tu c'est que la fondation, en tant que simple hébergeur, n'a pas la légitimité d'entamer des poursuite pour les nombreux cas de non respect de la clause copileft. Alors que c'est elle qui récolte les dons et quiben a les moyen.

En faite c'est seulement les auteurs qui pourraient le faire. Et personne ne le fait, même pour une photo alors que la paternité est unique et très facile a prouver. Comme le proposait l'avocat bénévole qui a aider le lancement de wikipédia au totout début et avant de partir dégouté lors le statut de membre a été supprimer dans les statuts de la fondation, il faudrait en faite lancer un association qui qui aurait pour but de défendre les droits des éditeurs. En mettant par exemple des avocats à dispositions de telle sorte à ce que l'aspect virale de la clauee copy left le devienne vraiment et que tout média qui réutilise le travail réalisé dans les projets éditoriaux wikimédia et sur commons publie eux aussi sous licence cc.by.sa. Cette association pourrait aussi à l'occasion faire contrepoids à la fondation et les associations locale qui lui sont soumisent à travers leurs finanacements.

Je t'entends 5/5 !

Et moi aussi, j'ai envie de pleurer.

Je suis allée sur la page Laboratoire d'étude du mouvement Wikimédia.

Faculté:Socio-anthropologie/Travaux de recherche en sociologie où j'ai lu : "Les laboratoires sont des collections d’études et recherches autour d’un même thème. Placer les liens dans la section ci-dessus". Je ne donne pas le même sens au mot "Laboratoire". Pour moi, un laboratoire est un atelier, voire un ensemble d'ateliers de travail sur des thèmes qui émergent de la recherche. J'y ai trouvé : Recherche:L’émergence des banques de données posomégaliques: enjeux, et prospections pour le mouvement de la culture libre. J'en suis heureuse. Je me disais bien qu'il devait y avoir un écrit quelque part... Merci pour ce résultat de ta thèse. (voir banques de données posomégaliques). @Psychoslave, as-tu quelque chose à ajouter ?

Je me rends compte que c'est une bonne chose d'être obligée de lever le nez bien au-dessus de sa propre mare. Je me souviens quand le professeur disait "Développez ! Mais développez donc !" et que la classe, en souffrance se regardait avec désespoir. Personne n'osait demander comment développer.

A partir de ta recherche, je parcours les projets Wikimedia. Ma foi, c'est, il me semble une méthode de lecture banale pour un Wikimédien... Mais il ne faut pas avoir peur de se faire mal à la tête.

Enfin, je suis en train de tenir un atelier presque toute seule.

Un atelier de quoi ?

Exemple : Réaliser sa bibliographie avec Wikidata.

Impossible. Il doit bien avoir des personnes intéressées par ce type d'atelier !? As-tu assisté au MOOC qui a été fait sur Wikidata ? Je suis sûr que tu y trouverais plein d'informations utiles et peut-être même des réponses à tes questions.

Je me suis inscrite mais je n'ai pas pu suivre.

Vois-tu, aujourd'hui j'ai passé 4 heures sur l’œuvre méthématiques de M. Clermont. L'auteur existait mais Wikidata a répondu négativement à ma requête. Les ouvrages sont des XVII & XVIIIèmes. Bon, j'ai fait, j'ai défait. J'ai fini par comprendre que j'avais besoin de 4 items : l'auteur, ses deux ouvrages le recueil publié en 1755. Ce recueil est sur Commons mais au format pdf. Alors que le djvu est sur IA. Pourquoi ? Je vais devoir poser la question sur Wikisource. Crois-tu qu'il existe beaucoup de personnes qui s'intéressent aux questions de l'esclavage en passant par les programmes des ingénieur-professeurs à l'école des cadets de Strasbourg ?

As-tu un lien vers le Mooc Wikidata ?

Non et malheureusement, je vais devoir suspendre cette discussion jusqu'à lundi. Je viens de découvrir tardivement que j'ai deux heures de cours à donner vendredi à 14 h sur l'Anthropologie anarchiste. L'occasion de me lancer dans la création de mon premier cours sur Wikiversité, sauf que j'aurais préféré faire les choses à mon aise ... À bientôt !

Publications - Éric Guichard

<https://cv.archives-ouvertes.fr/eric-guichard>.

• Bruno Bachimont, Pierre-Antoine Chardel, Franck Cormerais, Éric Guichard, Armen Khatchatourov. Les humanités numériques, entre méthodes et disciplines, existent-t-elles vraiment ?. MasterClass DNHD#2. "Analyser le web: de l’existence des méthodes aux possibilités de l’accès", Lab E3d du MICA (Médiations, Informations, Communications, Arts); Université Bordeaux-Montaigne, Feb 2020, Bordeaux, France. ⟨hal-03124707⟩
• Éric Guichard. Culture de l’écrit, culture numérique. Journée d'étude GRCDI-ESPE de Caen et Rouen, « La culture numérique : au-delà des discours, un objet d’enseignement ? », Oct 2014, Rennes, France. ⟨sic_01480876⟩
• Variations autour des Humanités Numériques : Eric GUICHARD

Lionel Scheepmans

Merci. Pour répondre à ta question « Crois-tu qu'il existe beaucoup de personnes qui s'intéressent aux questions de l'esclavage en passant par les programmes des ingénieur-professeurs à l'école des cadets de Strasbourg ? » Ben j'en ai aucune idée en faite. Belle fin de journée !

C'est une question de probabilités. Et puis, les héros n'ont pas besoin de formation. Les Humains oui. Et je m'intéresse à la formation de mes personnages.

Mais, la question n'est pas de s'intéresser à un thème en particulier mais le développement d'outils numériques pour la recherche en général et les SHS en particulier. Toutes les disciplines scientifiques utilisent une bibliographie. Font des analyses comparatives des textes. L'histoire, plus que toutes les autres, c'est sa nature.

Si nous prenons l'exemple de OHM OpenHistoricalMap / View créé par des wikimédiens italiens. Crois-tu qu'il y ait tant de chercheurs assez fous pour s'intéresser à l'archéologie, à l'anthropologie, à l'histoire au point de créer un outil numérique ? Il a bien fallu créer un atelier de travail. Il faut adapter le code source pour le français, j'imagine. Puis transférer les résultats Wikidata vers OHM. On pourra déjà faire quelque chose avec les ressources bibliographiques qui sont d'ores et déjà dans Wikidata, les textes juridiques qui abolissent l'esclavage, la fouille des revues et des ouvrages publiés depuis l'Antiquité. C'est obligatoirement un projet multilingue et universel. Ce qui nous éloignerait du discours victimaire.

https://grcdi.hypotheses.org/372

Plein de réflexion super intéressantes. Faut que je jette un œil sur ce projet.

Ce n'est pas depuis hier que je poursuis cette chimère. OpenStreetMap a été invité à mon initiative à Fontenay-sous-Bois. Une histoire en plusieurs étapes. Voir notre visuel pour la journée du dimanche 24 juillet 2011. Entre Tour de France et Sciences ouvertes. Nous nous formions aux logiciels libres et à l'openAccess. Et ça traîne, et ça traîne...

Ambre, Je suis en train d'écouter le Dictionnaire des biens communs avec le lecteur TTS de mon smartphone. C'est vraiment un ouvrage très complet sur les questions de tu soulèves dans ce post.

Peux-tu donner un lien ? Merci. J'abandonne les recherches au bout de 5 mn. Sinon, il ne me reste pas assez de temps pour moi. Sur facebook, j'abandonne quelque fois à 0 mn...

J'ai quitté Facebook pour gagner en temps de cerveau disponible. Tu devrais essayer. C'est radicale. Le lien est déjà disponible dans mon précédent message. Il te suffisait de cliquer sur Dictionnaire des biens communs. À propos de temps disponible, je ne suis pas sur que je vais en avoir assez pour suivre les nombreuses discussion que tu ouvres sur Wikiversité...

Non, je ne peux quitter facebook. C'est le lieu de travail de mon association.

Merci pour le lien. Mais toujours échec... <https://www.youtube.com/watch?v=fzk3x5iog64>

Aucune discussion ne se poursuit Donc, je laisse les branches sèches pour voir si elles reverdiront...

Je n'avance pas dans mes affaires. Lors d'une prochaine saison peut-être. Une belle journée à toi ! De Lionel Scheepmans

Bon travail.