Outils mathématiques pour la physique (PCSI)/Changement de référentiels

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Outils mathématiques pour la physique (PCSI)/Changement de référentiels
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     Les changements de référentiels sont utilisés en physique lors de l'étude du mouvement de points mais aussi
     Les changements de référentiels sont utilisés en physique lors de l'utilisation de champ vectoriel dépendant implicitement du temps ainsi que
     Les changements de référentiels sont utilisés dans d'autres domaines comme celui de la S.I. [1], d'où
     Les changements de référentiels sont utilisés en physique le classement de ce chapitre dans la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) »,
     Les changements de référentiels sont utilisés en physique d'autant plus que les démonstrations des propriétés ont un aspect fortement mathématique.

Position du problème

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     Soit un 1er référentiel d'espace [2] appelé « référentiel absolu » et
     Soit un 2ème référentiel d'espace [2] en mouvement relativement au précédent et appelé « référentiel d'entraînement »,
     Soit nous nous proposons d'étudier l'influence d'un changement de référentiel sur la variation de grandeurs vectorielles dépendant du temps selon .

     Préliminaire : le temps étant absolu [3], une grandeur scalaire, non spécifique d'un référentiel [4], [5] et
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur scalaire, dépendant du temps selon ,
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur scalaire, a une dérivée temporelle restant invariante par changement de référentiel car la définition n'en dépend pas, en effet
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur scalaire, a une dérivée temporelle restant invariante par changement de référentiel que ce soit dans ou , la dérivée temporelle se définit
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur scalaire, a une dérivée temporelle restant invariante par changement de référentiel selon avec les valeurs
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur scalaire, a une dérivée temporelle restant invariante par changement de référentiel et indépendantes des référentiels [4], [5]
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur scalaire, a une dérivée temporelle restant invariante par changement de référentiel et de même que Par contre
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle dépendant du temps selon ,
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle a une dérivée temporelle dépendant a priori du référentiel dans laquelle elle est effectuée comme sur l'exemple décrit ci-après :
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle soit la grandeur « champ de pesanteur terrestre » [6] noté plus simplement  ;
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle considérons d'abord comme 1er référentiel la Terre et le repère cartésien lui étant lié avec le 3ème vecteur de base vertical ,
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle considérons d'abord comme 1er référentiel la dérivée temporelle de y est nulle c.-à-d.  ;
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle considérons maintenant comme 2ème référentiel un référentiel tournant relativement à
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle considérons maintenant comme 2ème référentiel un référentiel tournant à vitesse angulaire constante autour d'un axe horizontal
     Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle considérons maintenant comme et le repère cartésien lié à avec le 3ème vecteur de base initialement vertical ,
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle considérons maintenant comme 2ème référentiel la dérivée temporelle de n'y est plus nulle c.-à-d. ,
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle considérons maintenant comme 2ème référentiel la composante sur le 3ème vecteur de base cartésienne variant sinusoïdalement
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle considérons maintenant comme 2ème référentiel avec une fréquence égale à la fréquence de rotation de dans et
         Préliminaire : le temps étant absolu, une grandeur vectorielle considérons maintenant comme 2ème référentiel avec une amplitude égale à [7].

     Nous nous intéressons donc à l'influence d'un changement de référentiels d'espace sur la dérivée temporelle de grandeur vectorielle
     Nous nous intéressons donc à l'influence d'un changement de référentiels d'espace connaissant le mouvement d'entraînement du référentiel d'entraînement relativement au référentiel absolu
     Nous nous intéressons donc à l'influence d'un changement de référentiels d'espace en restreignant cette étude aux entraînements de translation et de rotation autour d'un axe fixe dans les deux référentiels,
 Nous nous intéressons donc à l'influence d'un changement de référentiels d'espace et en commençant par l'influence sur les vecteurs vitesses d'un point ainsi que les vecteurs accélérations du même point.

Cas d'un entraînement de translation

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Présentation du changement de référentiels lors d'un entraînement de translation

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     Soit un référentiel d'espace [2] appelé « référentiel absolu » et
     Soit un autre référentiel d'espace [2] en mouvement de translation relativement au précédent et appelé « référentiel d'entraînement » ;
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation les propriétés suivantes :
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « les vecteurs de base cartésienne du repère lié à identifiables aux vecteurs de base cartésienne du repère lié à » car
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « le 1er étant en translation par rapport au 2nd, toute direction de garde la même direction dans et
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « dériver par rapport au temps une grandeur vectorielle dans est équivalent à
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « dériver par rapport au temps cette même grandeur vectorielle dans »,
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « la raison étant explicitée ci-dessous en repérage cartésien avec utilisation de la 1ère propriété mais
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « la raison restant valable dans tout repérage dont le repérage intrinsèque :
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « notant la base cartésienne commune des repères liés à et ,
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « le champ vectoriel a les mêmes composantes cartésiennes dans les deux repères associés aux deux référentiels soit
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « le champ vectoriel et
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « sa dérivation par rapport à revient à dériver uniquement ses composantes cartésiennes,
     Soit un autre référentiel d'espace un entraînement de translation « sa dérivation par rapport à les vecteurs de base cartésienne étant constants dans les deux repères

     D'après ce qui précède il est donc inutile de préciser dans quel référentiel la dérivée temporelle est effectuée puisque celle-ci est invariante par changement de référentiel soit

la valeur commune étant simplement notée .

Loi de composition des vecteurs vitesses dans le cas où les deux référentiels sont en translation l'un par rapport à l'autre

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     Notant l'origine du repère associé à et celle du repère associé à , on obtient, par loi de Chasles [8], le lien intrinsèque entre vecteurs positions d'un point mobile ,

«» et,

     la dérivation temporelle, indépendante du repère dans lequel elle est effectuée, conduisant à

«»,

     on en déduit, avec les définitions des vecteurs vitesses dans de et de « vecteur vitesse absolue de encore noté »,
     on en déduit, avec les définitions des vecteurs vitesses dans de et de « vecteur vitesse absolue de encore noté », ainsi que
on en déduit, avec les définitionscelle du vecteur vitesse dans de ,                      « vecteur vitesse relative de encore noté »,
     on en déduit, la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entrainement de translation

«» ou, noté plus simplement
«» [9], [10], [11].                                  

Loi de composition des vecteurs accélérations dans le cas où les deux référentiels sont en translation l'un par rapport à l'autre

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     Dérivant par rapport à la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de translation «» [12] on obtient,
     Dérivant par rapport à la dérivation temporelle étant indépendante du référentiel dans lequel on effectue la dérivation lorsque les deux référentiels sont en translation l'un par rapport à l'autre,

«»,

     on en déduit, avec les définitions des vecteurs accélérations dans de et de « vecteur accélération absolue de encore noté »,
     on en déduit, avec les définitions des vecteurs accélérations dans de et de « vecteur accélération absolue de encore noté », ainsi que
on en déduit, avec les définitionscelle du vecteur accélération dans de ,                      « vecteur accélération relative de encore noté »,
     on en déduit, la loi de composition des vecteurs accélérations lors d'un entrainement de translation

«» ou, noté plus simplement
«» [13], [10], [14].                                

Cas d'un entraînement de rotation autour d'un axe fixe

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Présentation du changement de référentiels lors d'un entraînement de rotation autour d'un axe fixe

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     Soit le référentiel [2] en rotation autour d'un axe fixe dans le référentiel [2],
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, dans , les 1ers tournent relativement aux 2nds lesquels y sont fixes
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « les dérivées temporelles d'une grandeur vectorielle dans et dans » [15],
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « la raison étant explicitée ci-dessous en repérage cartésien mais
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « la raison restant valable dans tout repérage dont le repérage intrinsèque :
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « notant la base cartésienne du repère lié à et
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « décomposant le champ vectoriel dans cette base liée à soit
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, décomposant le champ vectoriel «»,
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « dans la dérivation par rapport à n'agit que sur les composantes cartésiennes,
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « dans les vecteurs de base cartésienne y étant constants soit
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, dans «» alors que
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « dans la dérivation par rapport à agit sur les composantes cartésiennes mais aussi
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « dans la dérivation par rapport à agit sur les vecteurs de base du repère lié à
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « dans la dérivation par rapport à agit sur non constants dans soit
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, dans «
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, dans «
                              Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, dans « » d'où
     Soit les vecteurs de base cartésienne des repères liés à et à ne peuvent pas être identifiés en effet, « l'affirmation «».

Loi de composition des vecteurs vitesses dans le cas où l'un des référentiels est en rotation autour d'un axe fixe de l'autre référentiel

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Établissement de la loi de composition des vecteurs vitesses dans le cas où le référentiel d'entraînement est en rotation autour d'un axe fixe du référentiel absolu et en utilisant (partiellement) la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement

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Schéma de situation d'un référentiel d'entraînement en rotation autour d'un axe fixe du référentiel absolu avec le vecteur rotation instantanée , le 3ème vecteur de la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement étant choisi sur identique au 3ème vecteur de la base cartésienne du repère lié au référentiel absolu

     Le référentiel d'entraînement est en rotation autour d'un axe fixe du référentiel absolu ,
     Le référentiel d'entraînement est en rotation avec pour vecteur rotation instantanée le plus souvent constant [16] mais
     Le référentiel d'entraînement est en rotation avec pour vecteur rotation instantanée pouvant, a priori, dépendre de  ;

     pour simplifier l'exposé nous avons choisi le 3ème vecteur de la base cartésienne du repère lié au référentiel absolu
     pour simplifier l'exposé nous avons choisi le 3ème vecteur porté par l'axe ainsi que
     pour simplifier l'exposé nous avons choisi le 3ème vecteur de la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement
     pour simplifier l'exposé nous avons choisi le 3ème vecteur égal au précédent à savoir «» [17] ;

     notant l'origine du repère associé à et
     notant celle du repère associé à ,
     notant on obtient, par loi de Chasles [8], le lien intrinsèque entre vecteurs positions d'un point mobile ,

«» et,

     la dérivation temporelle dans le repère lié à définissant dans le membre de gauche le vecteur vitesse absolue du point

«»,

     « le 1er vecteur du membre de droite étant le vecteur vitesse absolue de l'origine du repère lié au référentiel d'entraînement soit encore noté », il reste à analyser
     « le 2ème vecteur » [18] et pour cela nous décomposons le vecteur position du point défini dans le référentiel d'entraînement sur la base cartésienne de ce dernier soit
            « le 2ème vecteur » et pour cela nous décomposons «» puis
            « le 2ème vecteur » et pour cela nous effectuons la dérivation temporelle dans le référentiel absolu et
            « le 2ème vecteur » et pour cela nous obtenons «» ;
            « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois 1ers termes du 2ème membre le vecteur vitesse relative du point les vecteurs de base du repère lié à
            « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois 1ers termes du 2ème membre le vecteur vitesse relative du point y étant supposés constants, c.-à-d.
            « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois 1ers termes du 2ème membre « encore noté
              « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois 1ers termes du 2ème membre « » et,
            « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois derniers termes du 2ème membre la dérivée temporelle du vecteur effectuée dans avec
           « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois derniers termes du 2ème membre le point coïncident [10] de à la date les composantes de                 « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois derniers termes du 2ème membre le point coïncident de à la date dans la base cartésienne du
                « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois derniers termes du 2ème membre le point coïncident de à la date repère lié à y étant
                « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois derniers termes du 2ème membre le point coïncident de à la date supposées constantes
           « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois derniers termes du 2ème membre «
           « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois derniers termes du 2ème membre «
           « le 2ème vecteur » et pour cela nous y reconnaissons dans les trois derniers termes du 2ème membre « encore noté » ;

     finalement la relation se réécrit «» soit,

     finalement « la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entrainement de rotation » ou noté plus simplement
   finalement « la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entrainement de rotation «» [19], [20] ;

     finalement étant en rotation autour de l'axe fixe dans , le mouvement absolu de est un mouvement circulaire de vecteur rotation instantanée
     finalement étant en rotation autour de l'axe fixe dans , le vecteur vitesse absolue de a pour expression intrinsèque [21] «, avec
          finalement étant en rotation autour de l'axe fixe dans , le vecteur vitesse absolue de a pour expression intrinsèque « point fixe quelconque de l'axe » d'où

     finalement étant en rotation autour de l'axe fixe dans , le vecteur vitesse d'entraînement du point [20] s'écrivant «» [22],

     finalement « la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de rotation » se réécrit selon « avec ».

Détermination des dérivées temporelles, dans le référentiel absolu, des vecteurs de la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement

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     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de rotation
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour déterminer la dérivée temporelle de chaque vecteur de base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour déterminer la dérivée temporelle dans le référentiel absolu à savoir «, ou » et pour cela
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses on définit un « point fixe de par » que l'on dérive par rapport à dans le référentiel absolu d'où
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses «[23], soit encore
           On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses « [24] et finalement
           On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses « avec l'expression de leurs vecteurs vitesses d'entraînement [21]
           On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses « par factorisation vectorielle à gauche par [25]
           On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses « [26] » par définition du point  ;
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses finalement on retient «», de même la démonstration étant la même,
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses finalement on retient «» ou
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses finalement on retient «» [27].

     Remarque : il est aussi possible de déterminer «, ou » sans utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de rotation [28] ;
     Remarque : cet établissement est facilité avec le choix de [29] portés par l'axe de rotation voir figure plus haut de ce chapitre,
     Remarque : cet établissement est facilité avec le choix plaçant les deux 1ers vecteurs de base cartésienne du repère lié à
     Remarque : cet établissement est facilité avec le choix plaçant dans un même plan à que les deux 1ers vecteurs de base cartésienne du repère lié à ,
     Remarque : cet établissement est facilité avec le ce qui permet de définir l'angle instantané de rotation de relativement à «» et par suite
     Remarque : cet établissement est facilité avec le ce qui permet de définir le vecteur rotation instantanée de par rapport à «» ;
     Remarque : on peut alors en déduire «» dans lequel on peut affirmer «» [30] d'où «» soit enfin, comme «»,
     Remarque : on peut alors en déduire la réécriture de la dérivée cherchée selon «» C.Q.F.D. [31] ;
     Remarque : on peut aussi écrire «» dans lequel on peut affirmer «[30] d'où » soit enfin, comme «»,
     Remarque : on peut alors en déduire la réécriture de la dérivée cherchée selon «» C.Q.F.D. [31].

Autre façon d'établir la loi de composition des vecteurs vitesses dans le cas où le référentiel d'entraînement est en rotation autour d'un axe fixe du référentiel absolu par utilisation exclusive de la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement

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     Supposant l'évaluation directe des dérivées temporelles, dans le référentiel absolu , des vecteurs de base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement
     Supposant l'évaluation directe voir le paragraphe « détermination des dérivées temporelles, dans le référentiel absolu, des vecteurs de la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement
     Supposant l'évaluation directe voir le paragraphe « (remarque) » plus haut dans ce chapitre c.-à-d. sans utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de rotation à savoir
     Supposant l'évaluation directe des dérivées temporelles, «, et » [27] ;

     avec l'origine du repère associé à et celle du repère associé à , on a obtenu, par loi de Chasles [8], le lien intrinsèque entre vecteurs positions d'un point mobile , à savoir
         avec l'origine du repère associé à et celle du repère associé à , on a obtenu, par loi de Chasles, «» [32] et,
     avec l'origine du repère associé à et celle du repère associé à , on a obtenu, après avoir effectué la dérivation temporelle dans le repère lié au référentiel absolu
     avec l'origine du repère associé à et celle du repère associé à , on a obtenu, pour définir, dans le membre de gauche, le vecteur vitesse absolue du point
     avec l'origine du repère associé à et celle du repère associé à , on a obtenu, [32] soit encore
     avec l'origine du repère associé à et celle du repère associé à , on a obtenu, «» ;

     décomposant le vecteur position du point défini dans le référentiel d'entraînement sur la base cartésienne de ce dernier soit « » puis
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons «» ;
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois 1ers termes du 2ème membre le vecteur vitesse relative du point , c.-à-d.
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois 1ers termes du 2ème membre «» et
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois derniers termes du 2ème membre les expressions des dérivées temporelles de , vecteurs de
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois derniers termes du 2ème membre base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement ,
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois derniers termes du 2ème membre dérivation effectuée dans le référentiel absolu , c.-à-d.
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois derniers termes du 2ème membre [33]
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois derniers termes du 2ème membre «
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois derniers termes du 2ème membre « 
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois derniers termes du 2ème membre « » en factorisant vectoriellement
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois derniers termes du 2ème membre « » à gauche par [25] soit
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons dans les trois derniers termes «» soit
     effectuant la dérivation temporelle dans le référentiel absolu , nous obtenons «» ;

     finalement, en ajoutant à pour obtenir le vecteur vitesse absolue du point soit «» dans lequel
     finalement, le vecteur vitesse absolue du point correspondant à un mouvement circulaire d'axe , de vecteur rotation instantanée , s'écrit «» [21] d'où
     finalement, la réécriture du vecteur vitesse absolue du point «
     finalement, la réécriture du vecteur vitesse absolue du point « » en factorisant vectoriellement à gauche par [25] ou encore,
     finalement, la réécriture du vecteur vitesse absolue du point «» par utilisation de la relation de Chasles [8] ;
     finalement, reconnaissant dans « le vecteur vitesse d'entraînement du point », nous retrouvons

la loi de composition des vecteurs vitesses « lors d'un entraînement de rotation avec ».

Loi de composition des vecteurs accélérations dans le cas où l'un des référentiels est en rotation autour d'un axe fixe de l'autre référentiel

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Établissement intrinsèque de la loi de composition des vecteurs accélérations dans le cas où l'un des référentiels est en rotation autour d'un axe fixe de l'autre référentiel

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     La méthode la plus rapide pour établir la loi de composition des vecteurs accélérations lors d'un entraînement de rotation
     La méthode la plus rapide consiste à dériver temporellement, dans le référentiel absolu, la loi de composition des vecteurs vitesses lors du même entraînement
     La méthode la plus rapide consiste à dériver temporellement, dans le référentiel absolu, « avec »,
     La méthode la plus rapide consiste à dériver temporellement, dans le référentiel absolu, « avec étant un point fixe quelconque de l'axe de rotation ;
     La méthode la plus rapide consiste à dérivant temporellement dans [34] on obtient «» dans laquelle
          La méthode la plus rapide consiste à dérivant temporellement dans on obtient « le 1er membre est le vecteur accélération absolue du point » ;
          La méthode la plus rapide consiste à dérivant temporellement dans on obtient aucun des termes du 2ème membre ne peut être défini sans transformation au préalable, on les étudie séparément :      La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose [35] «» ou encore,
             La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose «» [23] soit
             La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose «» [36] ensuite,
             La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose «» [37] enfin,
             La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose «» [38] et
             La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose «» en factorisant vectoriellement
                La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose «» à gauche par [25] ou,
                La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose « [39] soit,
             La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose «» avec la définition de ou,
             La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose le 1er terme du 2ème membre étant le vecteur accélération relative du point
             La méthode la plus rapide pour transformer «» on pose «» ;

     La méthode la plus rapide pour transformer «» on explicite selon [38] avant de le dériver temporellement dans d'où, par dérivation d'un produit vectoriel,
     La méthode la plus rapide pour transformer «» [40] ou encore,
     La méthode la plus rapide pour transformer «» par utilisation de la loi de composition des vecteurs vitesses soit,
     La méthode la plus rapide pour transformer «» par distributivité de la multiplication vectorielle
           La méthode la plus rapide pour transformer «» par distributivité relativement à l'addition vectorielle [41] ou encore,
     La méthode la plus rapide pour transformer «» utilisant, dans le 2ème terme, l'expression du
           La méthode la plus rapide pour transformer «» utilisant, vecteur vitesse d'entraînement du point [38] ;
     La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre «» ne dépendant que de la position de [42] et
        La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre «» non de son mouvement relatif dans ,
     La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre peut être assimilé au « vecteur accélération d'entraînement du point à l'instant » [43] lequel
     La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre peut être assimilé au « a pour valeur le vecteur accélération absolue du point coïncident
     La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre peut être assimilé au « a pour valeur le vecteur accélération absolue de à l'instant [10] ;
     La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre or le mouvement absolu du point coïncident étant un mouvement circulaire d'axe et
     La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre or le mouvement absolu du point coïncident étant un de vecteur rotation instantanée ,
     La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre or son vecteur accélération absolue est donné par son expression intrinsèque
   La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre or son vecteur accélération absolue «[44]
   La méthode la plus rapide pour transformer l'ensemble des deux 1ers termes du 2ème membre or son vecteur accélération absolue avec le projeté de sur [45] » ; on vérifie aisément que
La méthode la plus rapide pour transformer cet ensemble des deux termes «[42] prenant pour valeur
La méthode la plus rapide pour transformer cet ensemble des deux termes «» s'identifie au « vecteur accélération d'entraînement
   La méthode la plus rapide pour transformer cet ensemble des deux termes «» s'identifie au « du point » ; finalement
     La méthode la plus rapide pour transformer «» [46] ;

     La méthode la plus rapide ajoutant les deux transformations de «» et de «» pour obtenir «» on aboutit à
     La méthode la plus rapide «»,
     La méthode la plus rapide « ce dernier vecteur accélération » étant appelé « vecteur accélération complémentaire ou de Coriolis [47] du point » et étant « noté »,
     La méthode la plus rapide « c'est une composante spécifique d'un entraînement de rotation de autour d'un axe fixe de .

     Conclusion : la loi de composition des vecteurs accélérations lors d'un entraînement de rotation se réécrit donc sous la forme

«» avec
«» [48] le vecteur accélération d'entraînement de
dans lequel « est le projeté de sur , étant un point quelconque de » et
«» le vecteur accélération complémentaire ou de Coriolis [47] du point .

Établissement non intrinsèque de la loi de composition des vecteurs accélérations dans le cas où le référentiel d'entraînement est en rotation autour d'un axe fixe du référentiel absolu, en utilisant la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement

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     Si cette méthode non intrinsèque n'est pas la plus rapide, elle est néanmoins intéressante par le fait qu'elle n'est sujette à aucune embûche majeure [49]

     Partant de la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de rotation «» avec «» [38] ou,
     par utilisation de la relation de Chasles [8] et
     par utilisation de la distributivité de la multiplication vectorielle relativement à l'addition vectorielle [41] «» soit encore,
     en reconnaissant dans le dernier terme du 2nd membre l'expression intrinsèque du vecteur vitesse absolue de [50] «» d'où
     la réécriture de la loi de composition des vecteurs vitesses sous une forme ne faisant intervenir que le vecteur position relative du point et
     la réécriture de la loi de composition des vecteurs vitesses sous une forme ne faisant intervenir que sa dérivée temporelle effectuée dans
     la réécriture de la loi de composition des vecteurs vitesses sous une forme ne faisant intervenir que à l'exception des grandeurs ne dépendant pas de c.-à-d. et soit

«» ;

     introduisant les vecteurs de base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement , vecteurs notés [51] ainsi que
     introduisant les composantes du vecteur position relative du point notées [51], le vecteur vitesse absolue du point se réécrit

«» ;

     effectuant la dérivation temporelle de la relation ci-dessus dans le référentiel absolu , nous obtenons

«» soit,

     effectuant la dérivation temporelle en reportant «» [33], la réécriture du vecteur accélération absolue du point selon

«» ou,

     effectuant la dérivation temporelle grâce à la factorisation vectorielle à gauche par [25] dans le 2ème terme et le facteur entre accolades du 5ème terme,

«» et,

     effectuant la dérivation temporelle en reconnaissant les grandeurs relatives suivantes «»,

«» soit encore,

     effectuant la dérivation temporelle ayant, dans , un mouvement circulaire autour de , de vecteur rotation instantanée , «» [52],
     effectuant la dérivation temporelle la réécriture du vecteur accélération absolue du point en regroupant les termes identiques ou semblables

«» soit finalement,

     effectuant la dérivation temporelle en factorisant vectoriellement à gauche par [25] dans la 1ère expression entre accolades du 2nd membre suivi de l'utilisation de la relation de Chasles [8] et
     effectuant la dérivation temporelle en factorisant vectoriellement à gauche doublement par dans la 2ème expression entre accolades du 2nd membre suivi de l'utilisation de la relation de Chasles [8]

«» [53]
«» dans laquelle      
l'ensemble des deux derniers termes s'identifie au vecteur accélération d'entraînement du point » soit
« ;

     effectuant la dérivation temporelle finalement on obtient pour « loi de composition des vecteurs accélérations lors d'un entraînement de rotation »

«» avec
le vecteur accélération complémentaire ou de Coriolis [47] du point égal à «» et
le vecteur accélération d'entraînement du point égal à «» dans lequel
est un point fixe de et le projeté orthogonal de sur l'axe .

Cas particulier très fréquent : entraînement de rotation uniforme du référentiel d'entraînement autour d'un axe fixe du référentiel absolu

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     Dans le cas très fréquent où la rotation d'entraînement est uniforme c.-à-d. telle que le vecteur rotation instantanée est un vecteur constant noté ,
     Dans le cas très fréquent « la loi de composition des vecteurs accélérations lors d'un entraînement de rotation uniforme » se réécrit sous la forme «» avec
     Dans le cas très fréquent « la loi de composition des vecteurs accélérations « le vecteur accélération d'entraînement de » où est le projeté de sur et
     Dans le cas très fréquent « la loi de composition des vecteurs accélérations « le vecteur accélération complémentaire ou de Coriolis [47] du point ».

Changement de référentiel de définition de la dérivée temporelle d'une grandeur vectorielle, formule de Bour

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Position du problème

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     Considérant un 1er référentiel d'espace [2] appelé « référentiel absolu » et
     Considérant un 2ème référentiel d'espace [2] en mouvement relativement au précédent et appelé « référentiel d'entraînement »,
     nous nous proposons d'étudier l'influence d'un changement de référentiel sur la variation de grandeurs vectorielles dépendant du temps selon , c.-à-d.
     nous nous proposons de trouver le lien existant entre la dérivée temporelle de effectuée dans «» et
     nous nous proposons de trouver le lien existant entre celle effectuée dans «» connaissant le mouvement d'entraînement de dans ,
     nous nous proposons de trouver le lien toutefois nous nous limiterons, dans l'exposé, au cas où cet entraînement est une rotation autour d'un axe fixe dans les deux référentiels
     nous nous proposons de trouver le lien toutefois nous nous limiterons, dans l'exposé, au cas où cet entraînement est une rotation avec le vecteur rotation instantanée [54].

Formule de Bour

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Énoncé de la formule de Bour

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Début d’un théorème
Fin du théorème

Démonstration dans le cas d'un entraînement de rotation autour d'un axe fixe dans les deux référentiels

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     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de rotation
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour déterminer la dérivée temporelle de la grandeur vectorielle dans le référentiel absolu et
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position dans le référentiel d'entraînement «»
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position que l'on dérive par rapport à dans le référentiel absolu d'où
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position «[23] ou
       On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position « [36] ou encore,
       On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position « [37] et finalement
       On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position « [38] ou
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position après factorisation vectorielle à gauche par [25]
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position après factorisation vectorielle à gauche dans les deux derniers termes,
       On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position « [58] puis,
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position après une nouvelle utilisation de la relation de Chasles [8]
       On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position « » soit enfin,
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position par définition du point , la relation cherchée finale
     On peut utiliser la loi de composition des vecteurs vitesses pour cela on définit un point par son vecteur position « » C.Q.F.D. [31].

     Remarques : On peut utiliser la formule de Bour [55] pour évaluer la dérivée temporelle des vecteurs de base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement
          Remarques : On peut utiliser la formule de Bour pour évaluer la dérivée temporelle des vecteurs de base cartésienne du repère en mouvement de rotation de vecteur rotation instantanée
          Remarques : On peut utiliser la formule de Bour pour évaluer la dérivée temporelle des vecteurs de base cartésienne du repère en mouvement de rotation autour d'un axe fixe
          Remarques : On peut utiliser la formule de Bour pour évaluer la dérivée temporelle des vecteurs de base cartésienne du repère en mouvement de rotation autour d'un axe fixe du référentiel absolu ,
     Remarques : on obtient alors «», «» et «» [59], [60].

     Remarques : L'application de la formule de Bour [55] au vecteur rotation instantanée d'entraînement de rotation de autour de l'axe fixe de
          Remarques : L'application de la formule de Bour au vecteur rotation instantanée nous conduit à «»
          Remarques : L'application de la formule de Bour au vecteur rotation instantanée nous conduit à « il est inutile de préciser le référentiel dans lequel est effectuée la dérivation temporelle.

     Remarques : Enfin, la formule de Bour [55] ayant été démontrée par utilisation de la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de rotation autour d'un axe fixe dans les deux référentiels,
     Remarques : Enfin, il ne faut pas utiliser la formule de Bour [55] pour établir la loi de composition des vecteurs vitesses [61].

Notes et références

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  1. Science Industrielle ou Science de l'Ingénieur.
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 et 2,7 Nous nous plaçons dans l'hypothèse newtonienne de séparation de l'espace et du temps le temps étant alors qualifié d'« absolu », tout ce qui suit devenant faux en relativité restreinte et encore plus en relativité générale.
  3. C.-à-d. indépendant du référentiel d'espace.
  4. 4,0 et 4,1 Il faut bien sûr que la fonction scalaire ne décrive pas une propriété spécifique d'un référentiel comme par exemple le nombre de points matériels présents à un instant dans une boule centrée sur l'origine du repère lié au référentiel et de rayon fixé, sa valeur serait évidemment différente en prenant l'autre référentiel.
  5. 5,0 et 5,1 La non spécificité relativement à un référentiel est évidemment le cas quasi-général d'une fonction scalaire, c'est la raison pour laquelle cette condition n'est quasi jamais indiquée.
  6. On considère le champ de pesanteur terrestre en un point fixe relativement à la Terre, sa dépendance éventuelle relativement au temps nécessitera de définir le référentiel dans lequel on étudie sa variation.
  7. Il en est d'ailleurs de même de la composante suivant le vecteur de base cartésienne initialement horizontal et à l'axe de rotation,
       Il en est d'ailleurs de même de la composante suivant le vecteur de base cartésienne horizontal à l'axe de rotation restant quant à elle toujours nulle
  8. 8,0 8,1 8,2 8,3 8,4 8,5 8,6 et 8,7 Michel Chasles (1793 - 1880) mathématicien français à qui on doit d'importants travaux en géométrie projective ainsi qu'en analyse harmonique ; la relation dite de Chasles, connue depuis très longtemps, porte son nom pour lui rendre hommage.
  9. Si on choisit un point fixe dans c.-à-d. tel que on retrouve que a le même vecteur vitesse absolue que l'origine du repère lié à car , ce qui est en accord avec le mouvement de translation de relativement à .
  10. 10,0 10,1 10,2 et 10,3 On appelle « point coïncident deà l'instant» le point lié à c.-à-d. n'ayant aucun mouvement propre dans on peut aussi dire qu'il y est fixe et dont le mouvement dans est celui d'entraînement de relativement à dont la position à l'instant dans est la même que celle de au même instant on peut aussi dire que est l'empreinte que laisse dans à l'instant , cette empreinte garde la même position dans pour tout alors que change de position relativement à en particulier à un instant le point laissera une empreinte dans en une position différente.
  11. On définit le mouvement d'entraînement du point à l'instant comme le mouvement absolu du point coïncident de à l'instant , le vecteur vitesse d'entraînement de à l'instant étant donc le vecteur vitesse absolue de point coïncident de à l'instant , soit «» ici on précise que la dérivation temporelle doit être effectuée dans bien que ce ne soit pas utile dans le cas de deux référentiels en translation, pour que cette définition reste valable dans le cas où un référentiel est en rotation autour d'un axe fixe dans l'autre référentiel ;
       dans le cas de en translation relativement à , tous les points fixes de ayant le même mouvement dans , celui de l'origine du repère lié à , on en déduit « » ;
       la loi de composition des vecteurs vitesses se réécrit donc sous la forme «» nous montrerons que cette forme est en fait indépendante du mouvement d'entraînement du point avec toutefois le vecteur vitesse d'entraînement de à l'instant prenant une expression adaptée à chaque entraînement possible et si n'est pas en translation relativement à a priori on aura .
  12. Voir le paragraphe « loi de composition des vecteurs vitesses dans le cas où les deux référentiels sont en translation l'un par rapport à l'autre » plus haut dans ce chapitre.
  13. Si on choisit un point fixe dans c.-à-d. tel que on retrouve que a le même vecteur accélération absolue que l'origine du repère lié à car , ce qui est en accord avec le mouvement de translation de relativement à .
  14. Ayant défini le mouvement d'entraînement du point à l'instant comme le mouvement absolu du point coïncident de à l'instant , le vecteur accélération d'entraînement de à l'instant étant donc le vecteur accélération absolu de point coïncident de à l'instant , soit «» ici on précise que la dérivation temporelle doit être effectuée dans bien que ce ne soit pas utile dans le cas de deux référentiels en translation, pour que cette définition reste valable dans le cas où un référentiel est en rotation autour d'un axe fixe dans l'autre référentiel ;
       dans le cas de en translation relativement à , tous les points fixes de ayant le même mouvement dans , celui de l'origine du repère lié à , on en déduit « » ;
       la loi de composition des vecteurs accélérations se réécrit donc sous la forme «» mais si les deux vecteurs accélérations du 2ème membre se retrouve quel que soit le mouvement d'entraînement du point avec toutefois le vecteur accélération d'entraînement de à l'instant prenant une expression adaptée à chaque entraînement possible et si n'est pas en translation relativement à a priori on aura «», cette forme n'est toutefois pas indépendante du mouvement d'entraînement du point car, dès que l'entraînement contient une rotation il faut ajouter un 3ème vecteur accélération appelé « accélération complémentaire ou de Coriolis » ;
       Gaspard-Gustave Coriolis (1792 - 1843) mathématicien et ingénieur français à qui on doit la notion d'accélération complémentaire à ajouter dans la loi de composition des vecteurs accélérations lors d'un changement de référentiels en rotation l'un par rapport à l'autre ainsi que la pseudo-force « dite de Coriolis » qu'il est nécessaire d'ajouter au bilan des forces appliquées pour traduire le mouvement du point par rapport à un référentiel d'étude non galiléen plus précisément en rotation autour d'un axe fixe relativement à un référentiel galiléen.
  15. Il devient alors indispensable de préciser dans quel référentiel on effectue la dérivation temporelle car n'a alors plus aucun sens dans la mesure où il peut s'agir de ou de avec si le référentiel est en rotation autour d'un axe fixe du référentiel .
  16. C.-à-d. correspondant à un entraînement de rotation uniforme.
  17. Ce choix n'est pas indispensable mais pratique, la rotation d'un point fixe dans se faisant alors dans un plan à , ses vecteurs vitesse et accélération absolues n'ont que deux composantes sur et sur  ;
       Ce choix n'est pas indispensable mais pratique, dans le cas où est en mouvement dans , c'est son point coïncident à l'instant qui a un mouvement de rotation dans un plan à , ainsi les vecteurs vitesse et accélération d'entraînement de qui prennent pour valeur les vecteurs vitesse et accélération absolues de son point coïncident à l'instant considéré n'ont que deux composantes sur et sur mais bien sûr les vecteurs vitesse et accélération relative de peuvent avoir des composantes sur les trois vecteurs de base , et .
  18. Qui aurait été le vecteur vitesse relative du point si la dérivation avait été effectuée dans le référentiel d'entraînement mais cela n'a pas été le cas !
  19. Si on choisit un point fixe dans c.-à-d. tel que on retrouve que a le même vecteur vitesse absolue que son point coïncident au même instant car , ce qui est en accord avec la définition du point coïncident.
  20. 20,0 et 20,1 Ayant défini le mouvement d'entraînement du point à l'instant comme le mouvement absolu du point coïncident de à l'instant , le vecteur vitesse d'entraînement de à l'instant a donc pour valeur le vecteur vitesse absolue de point coïncident de à l'instant , soit «».
  21. 21,0 21,1 et 21,2 Voir le paragraphe « expression intrinsèque du vecteur vitesse du point M sur sa trajectoire circulaire à l'instant t » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  22. On définit le champ des vecteurs vitesses d'entraînement relativement au point , ce champ prenant pour valeur le vecteur vitesse absolue du point coïncident de à l'instant mais attention il faut distinguer le champ de sa valeur et ceci en particulier quand on dérive temporellement :
       en effet dériver temporellement dans , le point y étant fixe « » alors que
       en effet effectuer la dérivation temporelle de dans conduit à « » par définition de et par suite
       en effet on peut affirmer qu'a priori «».
  23. 23,0 23,1 et 23,2 Par utilisation de la relation de Chasles simultanément à la linéarité de l'opérateur dérivation temporelle.
       Michel Chasles (1793 - 1880) mathématicien français : voir la note « 8 » pour plus de détails.
  24. Par utilisation de la loi de composition des vecteurs vitesses aux deux points fixes et de .
  25. 25,0 25,1 25,2 25,3 25,4 25,5 et 25,6 Opération inverse de la distributivité de la multiplication vectorielle relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « propriétés (de la multiplication vectorielle) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  26. Par utilisation de la relation de Chasles.
       Michel Chasles (1793 - 1880) mathématicien français : voir la note « 8 » pour plus de détails.
  27. 27,0 et 27,1 Cette dernière dérivée est nulle si le vecteur a été choisi sur l'axe comme sur le cas de la figure mais ce choix, même s'il est très souvent fait, n'est pas indispensable.
  28. Cette façon de procéder rend les résultats indépendants de la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de rotation et donc
       Cette façon de procéder autorise l'utilisation de ces résultats pour établir la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un tel entraînement, démonstration non intrinsèque traitée dans le paragraphe « autre façon d'établir la loi de composition des vecteurs vitesses dans le cas où le référentiel d'entraînement est en rotation autour d'un axe fixe du référentiel absolu par utilisation exclusive de la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement » plus loin dans ce chapitre.
  29. Ce qui a pour 1ère conséquence .
  30. 30,0 et 30,1 Selon la propriété suivante « la dérivée d'un vecteur unitaire d'un plan fixe par rapport à l'angle qu'il fait avec une direction fixe de ce plan est le vecteur unitaire du plan qui se déduit du vecteur unitaire dérivé par rotation de » vue au paragraphe « dérivée des vecteurs de base polaires relativement à l'abscisse angulaire de Mxy dans le référentiel d'étude (plus précisément la propriété énoncée dans l'encadré à retenir) » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  31. 31,0 31,1 et 31,2 Ce Qu'il Fallait Démontrer.
  32. 32,0 et 32,1 Voir le paragraphe « loi de composition des vecteurs vitesses dans le cas où les deux référentiels sont en translation l'un par rapport à l'autre » plus haut dans ce chapitre.
  33. 33,0 et 33,1 Voir le paragraphe « détermination des dérivées temporelles, dans le référentiel absolu, des vecteurs de la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement (remarque) » plus haut dans ce chapitre.
  34. Cette démonstration peut être qualifiée d'« intrinsèque » car elle est faite sans intervention d'une quelconque base liée à l'un ou l'autre référentiel.
  35. Dans le but de pouvoir appliquer la loi de composition des vecteurs vitesses.
  36. 36,0 et 36,1 Par définition des vecteurs vitesses absolues des points et .
  37. 37,0 et 37,1 Par utilisation de la loi de composition des vecteurs vitesses aux deux points et , étant mobile dans et y étant fixe et par suite .
  38. 38,0 38,1 38,2 38,3 et 38,4 Voir le paragraphe « établissment de la loi de composition des vecteurs vitesses dans le cas où le référentiel d'entraînement est en rotation autour d'un axe fixe du référentiel absolu et en utilisant (partiellement) la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement (en fin de paragraphe) » plus haut dans ce chapitre.
  39. Par définition de la vitesse relative du point et nouvelle application de la relation de Chasles.
       Michel Chasles (1793 - 1880) mathématicien français : voir la note « 8 » pour plus de détails.
  40. Le point étant fixe dans peut aussi être utilisé comme origine du vecteur position de dans et par suite sa dérivée temporelle est effectivement le vecteur vitesse absolue de .
  41. 41,0 et 41,1 Voir le paragraphe « propriétés (de la multiplication vectorielle) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  42. 42,0 et 42,1 Le 2ème terme du 2ème membre se transforme aisément par utilisation d'une formule du double produit vectoriel selon avec le projeté de sur voir le paragraphe « formules du double produit vectoriel » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ainsi que le paragraphe « expression intrinsèque du vecteur accélération du point M sur sa trajectoire circulaire à l'instant t (plus particulièrement avec choix d'un point de l'axe autre que le centre du cercle) » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  43. Cela résulte de la non dépendance du mouvement relatif du point mais il pourrait y avoir, dans le reste de la décomposition de , d'autres termes ne dépendant pas du mouvement relatif de et qui pourraient constituer une partie du vecteur accélération d'entraînement du point à l'instant nous pouvons vérifier, a posteriori, que ce n'est pas le cas d'où l'assimilation
  44. Voir le paragraphe « expression intrinsèque du vecteur accélération du point M sur sa trajectoire circulaire à l'instant t (plus particulièrement avec choix d'un point de l'axe autre que le centre du cercle) » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » ;
       cette expression se détermine à partir de par utilisation d'une formule du double produit vectoriel introduite au paragraphe « formules du double produit vectoriel » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » à savoir «».
  45. C.-à-d. le centre du cercle décrit par dans le référentiel absolu .
  46. On notera que «» la raison ayant déjà été donnée à la note « 22 » de ce chapitre, « prenant pour valeur ».
  47. 47,0 47,1 47,2 et 47,3 Gaspard-Gustave Coriolis (1792 - 1843) mathématicien et ingénieur français à qui on doit la notion d'accélération complémentaire à ajouter dans la loi de composition des vecteurs accélérations lors d'un changement de référentiels en rotation l'un par rapport à l'autre ainsi que la pseudo-force « dite de Coriolis » qu'il est nécessaire d'ajouter au bilan des forces appliquées pour traduire le mouvement du point par rapport à un référentiel d'étude non galiléen plus précisément en rotation autour d'un axe fixe relativement à un référentiel galiléen.
  48. La dérivée temporelle du vecteur rotation instantanée gardant la même valeur dans le référentiel d'entraînement il devient inutile d'indiquer le référentiel dans lequel la dérivation est effectuée d'où «» que nous noterons simplement «», voir justification ci-dessous :
       introduisant un « point tel que », l'évaluation de la dérivée temporelle « se réécrit alors » par utilisation de la relation de Chasles et de la linéarité de la dérivation temporelle, définissant ainsi la différence entre le vecteur vitesse absolue du point et celui du point c.-à-d. «» ;
       on y applique la loi de composition des vecteurs vitesses soit «» avec
       on y applique «» d'une part et
       on y applique «» par utilisation de la relation de Chasles puis par distributivité de la multiplication vectorielle relativement à l'addition vectorielle voir le paragraphe « propriétés (de la multiplication vectorielle) » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » ou encore « » d'autre part,
       on y applique soit finalement «».
  49. La principale embûche de la méthode intrinsèque est d'écrire égal à alors que ce dernier prenant pour valeur doit être identifié à et non à d'où l'introduction possible dès le début d'une erreur, la méthode intrinsèque ne peut donc pas être utilisée sans réflexion contrairement à la méthode non intrinsèque exposée ci-après de pratique plus automatique.
  50. L'origine du repère associé à y étant un point fixe décrivant dans un mouvement circulaire d'axe et de vecteur rotation instantanée d'où l'expression intrinsèque de son vecteur vitesse absolue voir le paragraphe « expression intrinsèque du vecteur vitesse du point M sur sa trajectoire circulaire à l'instant t » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  51. 51,0 et 51,1 Dans le but de simplifier l'exposé.
  52. Voir le paragraphe « expression intrinsèque du vecteur accélération du point M sur sa trajectoire circulaire à l'instant t (plus particulièrement avec choix d'un point de l'axe autre que le centre du cercle) » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  53. Ce dernier terme peut être réécrit en utilisant une formule du double produit vectoriel selon «» avec « le projeté orthogonal de sur l'axe voir le paragraphe « formules du double produit vectoriel » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » à savoir «» ainsi que l'application de cette formule au cas présent dans le paragraphe « expression intrinsèque du vecteur accélération du point M sur sa trajectoire circulaire à l'instant t (plus particulièrement avec choix d'un point de l'axe autre que le centre du cercle) » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) ».
  54. Bien que la formule que nous établirons soit indépendante de cette limitation.
  55. 55,0 55,1 55,2 55,3 et 55,4 Jacques Edmond Émile Bour (1832 - 1866) est un mécanicien et mathématicien français à qui on doit, entre autres, un travail sur la déformation des surfaces résolu en formant les équations différentielles de toutes les surfaces déformées à partir d'une surface donnée, ainsi que sur la relativité des mouvements dont la formule portant son nom ; il mourût à l'âge de ans.
  56. La formule de Bour est encore connue sous le nom de « formule de dérivation vectorielle ».
  57. Cette formule est encore applicable pour un entraînement de translation car dans ce cas et par suite est indépendant du référentiel,
       Cette formule est encore applicable pour un entraînement de rotation instantanée autour d'un axe non fixe dans et
       Cette formule est encore applicable pour un entraînement quelconque se décomposant en une translation instantanée de vecteur vitesse et
       Cette formule est encore applicable pour un entraînement quelconque se décomposant en une rotation instantanée autour d'un axe passant par non fixe dans
  58. Le 1er terme résultant de la définition du vecteur vitesse relative du point .
  59. S'il est nécessaire d'évaluer cette dernière dérivée parce qu'elle n'est pas nulle par exemple parce qu'on aurait choisi non porté par l'axe de rotation.
  60. Bien entendu, dans la mesure où on a démontré la formule de Bour par utilisation de la loi de composition des vecteurs vitesses lors d'un entraînement de rotation autour d'un axe fixe dans les deux référentiels, si on utilise «» ainsi que les deux autres relations analogues pour démontrer la loi de composition des vecteurs vitesses, il est ABSOLUMENT NÉCESSAIRE de démontrer autrement ainsi que les deux autres relations analogues comme cela a été proposé dans la remarque du paragraphe « détermination des dérivées temporelles, dans le référentiel absolu, des vecteurs de la base cartésienne du repère lié au référentiel d'entraînement » plus haut dans ce chapitre
  61. Ce qui serait pourtant bien tentant, la seule condition pour l'utiliser serait alors de démontrer la formule de Bour autrement
       Si la formule de Bour avait été démontrée autrement on définirait alors les vecteurs positions dans et à partir d'un point fixe dans les deux, par exemple point fixe de l'axe fixe et
       Si la formule de Bour avait été démontrée autrement on aurait, en appliquant la formule de Bour à , la relation vectorielle suivante « » soit «» ce dernier terme s'identifiant à «» mais cette démonstration ne peut être acceptée que si la formule de Bour n'est pas démontrée par utilisation de la loi de composition des vecteurs vitesses