En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Mécanique 1 (PCSI) : Description et paramétrage du mouvement d'un point : Systèmes de coordonnées Mécanique 1 (PCSI)/Description et paramétrage du mouvement d'un point : Systèmes de coordonnées », n'a pu être restituée correctement ci-dessus.
Le vecteur position de se décompose dans la base cartésienne selon «» dans laquelle «» définissent les « coordonnées cartésiennes du point », avec « son abscisse », « son ordonnée » et « sa cote ».
Système de coordonnées cylindriques (ou cylindro-polaires), base cylindrique liée au point repéré
Pour définir un repérage cylindro-polaire d'axe pour le point , on conserve le repérage cartésien du projeté orthogonal de sur l'axe et on modifie le repérage du projeté orthogonal de sur le plan en le repérant, dans ce plan, par sa distance à et par l'angle que fait avec l'axe
Repérage cylindro-polaire d'axe fixé d'un point dans la composante d'espace du référentiel d'étude
On définit la « base cylindro-polaireou cylindrique liée à », «» [6] orthonormée directe [1]l'espace étant orienté à droite [2] avec
le 1er vecteur de la base «»,
le 2nd vecteur de la base « dans le plan directement au précédent » [7]on peut encore le définir par «» [8] et
le 3ème vecteur de la base « identique au 3ème vecteur de la base cartésienne ».
Remarque : comme la base orthonormée cartésienne du plan , la base orthonormée polaire permet d'exprimer tout vecteur du plan , à la différence près que ces vecteurs de base polaire dépendent de l'abscisse angulaire du point alors que les vecteurs de base cartésienne sont constants.
Composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur position d'un point M dans la composante d'espace du référentiel d'étude
Pour définir un repérage sphérique de pôle et d'axe pour le point «», on définit le « demi-plan contenant l'axe et passant par , appelé demi-plan méridien », repéré par l'angle qu'il fait avec le demi-plan méridien de référence [10],[11] ; la position du point est alors repérée dans ce demi-plan méridien par sa distance au pôle [12] et par l'angle positif que fait avec l'axe [13] ; dans ce cas le repérage sphérique utilise une longueur et deux angles ;
si le point «», le « demi-plan méridien n'est pas défini en fait tous les demi-plans contenant conviennent» et on repère le point sur par sa distance au pôle et par l'angle positif que fait avec l'axe cet angle valant si est du côté positif de l'axe et s'il est du côté négatif ; dans ce cas un des angles restant indéfini, le repérage sphérique utilise une longueur et un angle.
Repérage sphérique de pôle et d'axe fixés d'un point dans la composante d'espace du référentiel d'étude
On définit la « base sphérique liée à », «» [18] orthonormée directe [1]l'espace étant orienté à droite [2] avec
le 1er vecteur de la base «»,
le 2nd vecteur de la base « dans le demi-plan méridien directement au précédent » [19],[20] et
le 3ème vecteur de la base « au demi-plan méridien et orientant ce dernier » soit «» [21].
Remarque : comme la base orthonormée cylindro-polaire du demi-plan méridien orienté par , la base orthonormée sphérique de ce même demi-plan méridien orienté par permet d'exprimer tout vecteur du demi-plan méridien, à la différence près que ces vecteurs de base sphérique dépendent de la colatitude du point alors que les vecteurs de base cylindro-polaire sont constants pour un demi-plan méridien fixé.
Composantes sphériques du vecteur position d'un point M dans la composante d'espace du référentiel d'étude
Le vecteur position s'exprimant en repérage cartésien sous la forme «» a pour « composantes cartésiennes » Le vecteur position s'exprimant en repérage cartésien sous la forme «» a pour s'identifiant aux coordonnées cartésiennes de ;
le mouvement du point défini de façon intrinsèque par l'« équation horaire vectorielle paramétrique » l'est, de façon équivalente, le mouvement du point défini de façon intrinsèque par la donnée des « trois équations horaires scalaires paramétriques» lesquelles sont encore le mouvement du point défini de façon intrinsèque par la donnée les « trois équations scalaires paramétriques de la trajectoire du point » ;
pour déterminer les « deux équations cartésiennes scalaires de » [24] il convient d'éliminer le paramètre entre ces trois équations
La définition intrinsèque du vecteur vitesse de étant «» et les vecteurs de base cartésienne étant des vecteurs constants nous trouvons les composantes cartésiennes du vecteur vitesse en dérivant par rapport à l'équation horaire vectorielle de «» et en utilisant la linéarité de l'opération dérivation temporelle, soit «», les « composantes cartésiennes de étant » ; «», la « norme du vecteur vitesse se calculant selon et s'exprime en ».
Exemple : mouvement du point défini par les trois équations horaires scalaires «», le vecteur vitesse a pour « composantes cartésiennes », Exemple : mouvement du point M défini par les trois équations horaires scalaires sa norme valant «».
Composantes cartésiennes du vecteur accélération du point repéré dans le référentiel d'étude
La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant «» et les vecteurs de base cartésienne étant des vecteurs constants nous trouvons les composantes cartésiennes du vecteur accélération en dérivant «» par rapport à et en utilisant la linéarité de l'opération dérivation temporelle, soit
«», les « composantes cartésiennes de étant » ; la « norme du vecteur accélération se calculant selon et s'exprimant en ».
Exemple : mouvement du point défini par les trois équations horaires scalaires «», le vecteur accélération a pour « composantes cartésiennes », Exemple : mouvement du point M défini par les trois équations horaires scalaires il est donc constant, à , et sa norme vaut «».
Composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur position, du vecteur vitesse et du vecteur accélération du point repéré dans le référentiel d'étude
Le vecteur position s'exprimant en repérage cylindro-polaire ou cylindrique d'axe sous la forme «» [9] a pour « composantes cylindro-polaires » Le vecteur position s'exprimant en repérage cylindro-polaire ou cylindrique d'axe sous la forme «» a pour des « coordonnées cylindro-polaires » de ;
le mouvement du point défini de façon intrinsèque par l'« équation horaire vectorielle paramétrique » l'est, de façon équivalente, le mouvement du point défini de façon intrinsèque par la donnée des « trois équations horaires scalaires paramétriques» [26] lesquelles sont encore le mouvement du point défini de façon intrinsèque par la donnée les « trois équations scalaires paramétriques de la trajectoire du point » ;
pour déterminer les « deux équations cylindro-polaires scalaires de » [27] il convient d'éliminer le paramètre entre ces trois équations
Exemple : soit le mouvement d'un point défini par les trois équations horaires scalaires cylindro-polaires «» lesquelles sont aussi les trois équations scalaires cylindro-polaires paramétriques de la trajectoire du point , nous nous proposons de déterminer la nature de la trajectoire en établissant ses deux équations cylindro-polaires ;
Exemple : une 1ère équation sans calcul « équation cylindro-polaire d'un tuyau cylindrique d'axe et de rayon » ;
Exemple : une 2ème équation s'obtient en éliminant entre les deux dernières équations paramétriques soit que l'on reporte dans donnant « équation cylindro-polaire d'une nappe en colimaçon » [28] ;
Exemple : la trajectoire étant d'équations cylindro-polaires «» avec « constante » c.-à-d. Exemple : la trajectoire étant l'intersection d'un tuyau cylindrique d'axe et d'une « nappe en colimaçon » voir ci-contre Exemple : la trajectoire est une hélice circulaire « droite » [29] dont la constante définit le « pas de l'hélice » [30].
Repérage polaire de Mxy, base polaire qui lui est liée, dérivée de ses vecteurs de base polaires relativement à l'abscisse angulaire de Mxy repéré dans le référentiel d'étude
Le « repérage de , projeté orthogonal de sur le plan », utilisant les « coordonnées partielles » des coordonnées cylindro-polaires ou cylindriques de , Le « repérage de , est appelé « repérage polaire de », la « base partielle » de la base cylindro-polaire ou cylindrique liée à définit la « base polaire liée à ».
Dérivée des vecteurs de base polaires relativement à l'abscisse angulaire de Mxy repéré dans le référentiel d'étude
Les « vecteurs de base polaires de » dépendant de l'abscisse angulaire de , leur dérivée par rapport à cette dernière est a priori non nulle ;
pour évaluer chacune d'elle on utilise leur décomposition dans la base cartésienne du plan selon «» [31],
leur dérivée par rapport à donnant, compte-tenu du fait que les vecteurs de base cartésiennes sont constants d'une part et leur dérivée par rapport à donnant, compte-tenu du fait que la dérivée d'un ou d'un par rapport à son argument s'obtient en ajoutant à l'argument [32] d'autre part, leur dérivée par rapport à donnant, «».
À retenir dérivées des vecteurs de base et par rapport à :
«» et «» ;
quand on dérive un vecteur unitaire d'un plan par rapport à l'angle qu'il fait avec une direction fixe de ce plan, on obtient un vecteur unitaire de ce plan directement au vecteur initial, ainsi dérivant par rapport à l'angle qu'il fait avec , on obtient se déduisant de par rotation de , dérivant par rapport à l'angle qu'il fait avec , on obtient se déduisant de par rotation de ; on peut encore écrire avec le vecteur unitaire au plan et orientant les angles de ce dernier
«» et «».
Composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur vitesse du point repéré dans le référentiel d'étude
La définition intrinsèque du vecteur vitesse de étant «» et les « vecteurs de base cylindro-polaires [33] dépendant de fonction de », on trouve les composantes cylindro-polaires ou cylindriques du vecteur vitesse en dérivant « » par rapport à , avec «» [34] soit La définition intrinsèque du vecteur vitesse de étant «» puis, La définition intrinsèque du vecteur vitesse de étant on évalue en utilisant la formule de dérivation de fonction composée appliquée à soit La définition intrinsèque du vecteur vitesse de étant «» [35] d'où finalement l'expression du vecteur vitesse en repérage cylindro-polaire La définition intrinsèque du vecteur vitesse de étant «» [36], La définition intrinsèque du vecteur vitesse de étant les « composantes cylindro-polaires de étant » [37] ; La définition intrinsèque du vecteur vitesse de étant la norme du vecteur vitesse se calculant selon « et s'exprimant en ».
Exemple : mouvement de défini par les trois équations horaires scalaires cylindriques «» qualifié de « mouvement hélicoïdal droit uniforme », Exemple : mouvement de défini par les trois équations horaires scalaires cylindriques le vecteur vitesse a pour « composantes cylindriques » [38], Exemple : mouvement de défini par les trois équations horaires scalaires cylindriques sa norme valant «» ou encore, Exemple : mouvement de défini par les trois équations horaires scalaires cylindriques en introduisant le pas de l'hélice, «» [39].
Composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur accélération du point repéré dans le référentiel d'étude
La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant «» et les vecteurs de base cylindro-polaires [33] dépendant de qui est fonction de , on trouve les composantes cylindro-polaires ou cylindriques du vecteur accélération en dérivant «» par rapport à en utilisant «» [34] ce qui nous conduit à La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant «» puis, La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant on évalue en utilisant la formule de dérivation de fonction composée appliquée à soit La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant «» [40], évaluée précédemment valant «» [41], La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant d'où une 1ère expression du vecteur accélération en repérage cylindro-polaire nécessitant un regroupement de termes La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant «», ou La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant en regroupant les termes ayant même vecteur de base polaire, l'expression finale du vecteur accélération en repérage cylindro-polaire La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant «» [36], La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant les « composantes cylindro-polaires de étant » [42] ; La définition intrinsèque du vecteur accélération de étant la norme du vecteur accélération se calculant selon « et s'exprimant en ».
Autre forme de l'accélération orthoradialeforme « semi-intégrée » [43] : à partir de «» on met « en facteur » [44] de façon à pouvoir reconnaître, Autre forme de l'accélération orthoradiale forme « semi-intégrée » : dans le facteur restant, la dérivée temporelle d'une fonction du temps soit «» Autre forme de l'accélération orthoradiale forme « semi-intégrée » : dans laquelle on vérifie que le facteur entre crochets « est égal à » d'où Autre forme de l'accélération orthoradiale forme « semi-intégrée » : la forme « semi-intégrée » de l'accélération orthoradiale «» [45],[46].
Exemple : mouvement de défini par les trois équations horaires scalaires cylindriques «» qualifié de « mouvement hélicoïdal droit uniforme », Exemple : mouvement de défini par les trois équations horaires scalaires cylindriques le vecteur accélération a pour « composantes cylindriques Exemple : mouvement de défini par les trois équations horaires scalaires cylindriques le vecteur accélération » [47], Exemple : mouvement de défini par les trois équations horaires scalaires cylindriques sa norme valant «» [48].
Détermination géométrique des composantes cartésiennes et cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur déplacement élémentaire du point repéré dans le référentiel d'étude, déduction des composantes correspondantes du vecteur-vitesse
Rappel de la notion de déplacement élémentaire d'un point le long d'une courbe ainsi que du lien entre vecteur déplacement élémentaire et vecteur vitesse
« est la différentielle du vecteur position du point décrivant la courbe soit » [49] ; le vecteur déplacement élémentaire le long de la courbe est tangent à la courbe en , dans la mesure où [50].
Détermination géométrique des composantes cartésiennes du vecteur déplacement élémentaire du point repéré dans le référentiel d'étude
Détermination géométrique des composantes cylindro-polaires (ou cylindriques) du vecteur-déplacement élémentaire du point repéré dans le référentiel d'étude
Dans le paragraphe « vecteur déplacement élémentaire du point M, autre définition de son vecteur vitesse » du chap. de la leçon « Mécanique 1 (PCSI) » ayant établi «», on peut déduire simplement le vecteur vitesse du point à l'instant en divisant le vecteur déplacement élémentaire défini à partir du point à l'instant par la durée élémentaire correspondant au déplacement d'où l'expression du vecteur vitesse :
en repérage cylindro-polaire ou cylindrique « soit » [51],[36].
Détermination géométrique des composantes sphériques du vecteur déplacement élémentaire du point repéré dans le référentiel d'étude, déduction des composantes correspondantes du vecteur-vitesse
L'équation horaire vectorielle du mouvement de repéré dans le référentiel d'étude étant «» ou, en utilisant la base sphérique liée à «» [53], «» égal à la fonction vectorielle du temps «» établissant que la connaissance de l'équation horaire du mouvement de dans le référentiel d'étude L'équation horaire vectorielle du mouvement de est équivalente à celle des « trois équations horaires sphériques paramétriques de » dans le référentiel d'étude, L'équation horaire vectorielle du mouvement de est équivalente à celle ces « trois équations horaires sphériques étant aussi les trois équations sphériques paramétriques de la trajectoire de ».
Remarque : on rappelle que le vecteur position du point repéré dans le référentiel d'étude a pour composantes sphériques «» c.-à-d. Remarque : utilisant « uniquement la 1ère équation horaire sphérique » du point mais Remarque : « les deux autres équations horaires sphériques » du point sont néanmoins nécessaires pour savoir dans quelle direction positionner le point à l'instant Remarque : « les deux autres équations horaires sphériques celle de , étant toujours colinéaire à , ce qui nécessite de connaître «»
Déduction des composantes correspondantes du vecteur vitesse du point repéré dans le référentiel d'étude
l'expression du vecteur vitesse en repérage sphérique «» soit finalement
«» [51],[36], les « composantes sphériques de étant » [54] ; la « norme du vecteur vitesse se calculant selon et s'exprimant en ».
Exemple : mouvement du point défini par les trois équations horaires scalaires sphériques «» Exemple : qualifié de « mouvement loxodromique de sphère uniforme » [56], le vecteur vitesse ayant pour « composantes sphériques Exemple : » soit, avec «», «» [57] et « Exemple : » dont on déduit finalement Exemple : mouvement du point les « composantes sphériques de » [58] et Exemple : mouvement du point sa norme valant «», c.-à-d. Exemple : mouvement du point sa norme valant une constante, justifiant le caractère « uniforme » du mouvement.
Compléments : détermination des dérivées partielles des vecteurs de base sphériques liés, dans le référentiel d'étude, au point M en fonction de la colatitude et de la longitude de ce dernier, conséquences sur l'étude du mouvement du point en repérage sphérique
Détermination des dérivées partielles des vecteurs de base sphériques liés, dans le référentiel d'étude, au point M en fonction de la colatitude et de la longitude de ce dernier
À partir de la notion de dérivées partielles d'une fonction scalaire de deux variables indépendantes [59] à revoir dans le paragraphe « définition des dérivées partielles » du chap. de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) » [60], on introduit celle de dérivées partielles d'une fonction vectorielle de deux variables indépendantes [59] de la même façon c.-à-d. en figeant une variable et en dérivant la fonction vectorielle de la variable laissée libre par rapport à cette dernière [61].
Détermination des dérivées partielles du premier vecteur de base sphérique lié au point M repéré dans le référentiel d'étude
«» en se plaçant dans le demi-plan méridien, lequel est figé pendant le temps de la dérivation, et en appliquant la propriété “ quand on dérive un vecteur unitaire dans un plan fixe par rapport à l'angle que fait ce vecteur avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan fixe directement au vecteur que l'on dérive ” et
«» en utilisant la « décomposition de dans la base cylindro-polaire du demi-plan méridien à savoir » selon «», suivi de l'utilisation de «», les autres facteurs ne dépendant pas de .
Détermination des dérivées partielles du second vecteur de base sphérique lié au point M repéré dans le référentiel d'étude
«» en se plaçant dans le demi-plan méridien, lequel est figé pendant le temps de la dérivation, et en appliquant la propriété “ quand on dérive un vecteur unitaire dans un plan fixe par rapport à l'angle que fait ce vecteur avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan fixe directement au vecteur que l'on dérive ” et
«» en utilisant la « décomposition de dans la base cylindro-polaire du demi-plan méridien à savoir » selon «», suivi de l'utilisation de «», les autres facteurs ne dépendant pas de .
Détermination de la dérivée du troisième vecteur de base sphérique lié au point M repéré dans le référentiel d'étude
«» en utilisant la propriété “ quand on dérive un vecteur unitaire dans un plan fixe par rapport à l'angle que fait ce vecteur avec une direction fixe du plan, on obtient le vecteur unitaire du plan fixe directement au vecteur que l'on dérive ” soit «» [62] suivi de la « décomposition du 1er vecteur de base cylindro-polaire, vecteur du demi-plan méridien, dans la base sphérique de ce demi-plan à savoir » selon «».
Obtention des composantes sphériques du vecteur vitesse du point M repéré dans le référentiel d'étude par dérivation temporelle du vecteur position du point
Le vecteur position de à l'instant s'écrivant, en repérage sphérique, «», on obtient son vecteur vitesse au même instant par Le vecteur position de à l'instant s'écrivant, en repérage sphérique, «» ;
la « détermination de s'établit en utilisant la formule de dérivation de fonctions composées » dans laquelle la 1ère fonction est une fonction vectorielle de deux variables indépendantes [63] soit «» dans laquelle on utilise «» d'où
«» ; le report dans l'expression du vecteur vitesse du point nous conduit à «» [36] ; les « composantes sphériques de étant » [54] ; la « norme du vecteur vitesse se calculant selon et s'exprimant en ».
Quelques indications pour avoir la possibilité de déterminer les composantes sphériques du vecteur accélération du point M repéré dans le référentiel d'étude par dérivation temporelle du vecteur vitesse du point
Préliminaire : les composantes sphériques du vecteur accélération ne doivent « JAMAIS être utilisées de votre propre chef » car beaucoup trop compliquées [64].
Le vecteur vitesse de à l'instant s'écrivant, en repérage sphérique, «», on obtient son vecteur accélération au même instant en dérivant temporellement soit