Outils mathématiques pour la physique (PCSI)/Barycentre d'un système de points

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     On va se limiter au cadre de la géométrie élémentaire pour introduire la notion de barycentre d'un système de points avec son utilisation pratique en physique.

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Barycentre de deux points

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     Cette notion peut être introduite dès lors qu'on associe à chaque point une grandeur additive, non nulle caractérisant le point,
     Cette notion peut être introduite dès lors qu'on dit alors que les points sont « pondérés » par cette grandeur, celle-ci définissant le cœfficient affecté au point [1].

Définition du barycentre d'un système de deux points pondérés

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     Soit le système de deux points pondérés  , les cœfficients affectés aux points étant tous deux  , on appelle
     Soit le barycentre de ce système de deux points pondérés le point   tel que « ».

     Condition d'existence et d'unicité : Supposons l'existence du barycentre du système   et
     Condition d'existence et d'unicité : appliquons la relation de Chasles [2]     que l'on reporte dans la définition de   soit
     Condition d'existence et d'unicité :   d'où l'équation suivante   ;
     Condition d'existence et d'unicité : on en déduit une C.N. [3] d'existence du barycentre du système   qui est « » et
     Condition d'existence et d'unicité : on en déduit sous cette condition on obtient une solution unique « ».
     Condition d'existence et d'unicité : Conclusion : le barycentre du système   n'existe et est unique que si « ».

     Remarque : On peut prolonger la définition du barycentre du système   au cas où   à condition d'admettre que le barycentre puisse être un point à l'infini sur une direction, ainsi
     Remarque : de   on déduit que « le barycentre du système   avec   est le point à l'infini de la direction  » [4].

Vecteur position du barycentre du système de deux points pondérés

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       étant un point quelconque de l'espace, on utilise la relation de Chasles [2] pour réécrire   que l'on reporte dans la définition du barycentre « » [5]  
       étant un point quelconque de l'espace,     « » [6] soit,
       étant un point quelconque de l'espace, dans le cas d'un barycentre restant à distance finie c.-à-d. « », « ».

Méthode de construction du barycentre du système de deux points pondérés

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Exposé de la méthode de construction du barycentre du système   par utilisation du théorème de Thalès [7]

     Le point   étant un point quelconque peut être choisi en un des points par exemple    
     la formule précisant le vecteur position du barycentre se réécrit selon  
     la formule précisant le vecteur position du barycentre établissant que le point   se trouve sur la droite   plus précisément

  • si   et   sont tous deux  ,   se trouve sur le segment  
    si   et   sont tous deux  ,   situé, à partir de   à la fraction   de la longueur du segment  ,
    si   et   sont tous deux  ,   les points  ,   et   sont alignés dans l'ordre   ;
  • si   est   et   de valeur absolue  ,   se trouve au-delà du segment  
    si   est   et   de valeur absolue  ,   situé, à partir de   à la fraction   de la longueur du segment  ,
    si   est   et   de valeur absolue  ,   les points  ,   et   sont alignés dans l'ordre   ;
  • si   est   et   de valeur absolue  ,   se trouve en-deçà du segment  
    si   est   et   de valeur absolue  ,   situé, à partir de   à la fraction   de la longueur du segment  ,
    si   est   et   de valeur absolue  ,   les points  ,   et   sont alignés dans l'ordre  .

     Exemple de construction : Soit à construire le barycentre du système  
     Exemple de construction : d'après ce qui précède on en déduit   c.-à-d. que
     Exemple de construction : d'après ce qui précède   se trouve sur le segment   au   de la longueur du segment à partir de  
     Exemple de construction : voir construction ci-dessus utilisant le théorème de Thalès [7].

Propriété d'homogénéité

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     Si   est le barycentre du système   avec  ,   « pour tout réel  , le barycentre du système   est encore  ».

     Démonstration : la définition du barycentre du système   étant  [5], multipliant cette dernière par   et
        Démonstration : la définition du barycentre du système   étant  , utilisant la distributivité de la multiplication par un scalaire relativement à l'addition vectorielle  
     Démonstration : la définition du barycentre du système   étant   c.-à-d. la définition du barycentre du système  .

Cas particulier : isobarycentre d'un système de deux points

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     On parle d'« isobarycentre d'un système de deux points » quand les cœfficients qui leur sont affectés sont égaux ou si tous les cœfficients sont égaux à   ;

     propriété : l'isobarycentre d'un système de deux points est le milieu du segment joignant les deux points.

Barycentre de trois points

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     On généralise aisément la notion de barycentre à un système de trois points pondérés  

Définition du barycentre d'un système de trois points pondérés

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     Soit le système de trois points pondérés  , les cœfficients affectés aux points étant tous trois  , on appelle
     Soit le barycentre de ce système de trois points pondérés le point   tel que « ».

     Condition d'existence et d'unicité : Supposons l'existence du barycentre du système   et
     Condition d'existence et d'unicité : appliquons les relations de Chasles [2]   que l'on reporte dans la définition de   soit
     Condition d'existence et d'unicité :   d'où l'équation suivante   ;
     Condition d'existence et d'unicité : on en déduit une C.N. [3] d'existence du barycentre du système   qui est « » et
     Condition d'existence et d'unicité : on en déduit sous cette condition on obtient une solution unique « ».
     Condition d'existence et d'unicité : Conclusion : le barycentre du système   n'existe et est unique que si « ».

     Remarque : On peut prolonger la définition du barycentre du système   au cas où   si on admet que le barycentre puisse être le point à l'infini d'une direction, ainsi
     Remarque : de   on déduit que « le barycentre du système des trois points   avec  
     Remarque : de   on déduit que « le barycentre du système des trois points   est le point à l'infini de la direction de  » [4].

Vecteur position du barycentre du système de trois points pondérés

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       étant un point quelconque de l'espace, on utilise les relations de Chasles [2] pour   que l'on reporte dans la définition du barycentre « » [8]  
       étant un point quelconque de l'espace,  [9] soit,
       étant un point quelconque de l'espace, dans le cas d'un barycentre restant à distance finie c.-à-d. « », « ».

Propriétés de commutativité et d'associativité de la prise de barycentre, notion de barycentre partiel

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     La définition du barycentre d'un système de deux  ou trois  points pondérés ne précisant pas l'ordre des points, la prise de barycentre est évidemment commutative ;

     la prise de barycentre du système des trois points pondérés   avec  
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative si  , cela se traduisant alors, avec   point quelconque pris pour origine, selon
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position   du barycentre du système des trois points pondérés  
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position   peut se réécrire en réduisant l'une quelconque des sommes vectorielles selon
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position   peut se réécrire en réduisant   où les éléments du triplet
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position     sont respectivement les « barycentres partiels » du système des deux points
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position   pondérés  ,   et   ; ainsi
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position   la somme vectorielle   peut se réécrire selon
      la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative le vecteur position   la somme vectorielle   d'où
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative trois façons de réécrire le vecteur position   du barycentre du système des trois points pondérés  
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative trois façons de réécrire en utilisant l'un des trois barycentres partiels  
     la prise de barycentre du système des trois points pondérés est associative trois façons de réécrire « ».

Méthode de construction du barycentre du système de trois points pondérés

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     La méthode la plus simple consiste à définir le barycentre partiel entre deux points judicieusement choisis par exemple entre   et  , le barycentre partiel étant   puis
     La méthode la plus simple consiste à déterminer le barycentre   du système des deux points pondérés   lequel
     La méthode la plus simple consiste à déterminer le barycentre   s'identifie au barycentre du système des trois points pondérés   :

 
Disposition des trois atomes d'une molécule d'eau dans le but de déterminer leur barycentre, chaque atome étant affecté de son nombre de masse [10]

     Exemple de construction du barycentre du système des trois atomes d'une molécule d'eau, chaque atome étant affecté de son nombre de masse [10] :
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué de deux atomes d'hydrogène, notés   et   pour les distinguer [11]
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué de deux atomes d'hydrogène, liés à un atome d'oxygène, noté  ,
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué l'angle entre les liaisons étant   et
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué la longueur de chaque liaison   étant la même égale à  [12],
     Exemple de construction une molécule d'eau est constitué le nombre de masse d'un atome d'hydrogène étant   et celui d'un atome d'oxygène   ;
     Exemple de construction on cherche donc le barycentre   du système des trois atomes pondérés   et pour cela
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre   des deux atomes d'hydrogène   et   qui est
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre   au milieu du segment joignant ces derniers [13], il est donc
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre   sur la bissectrice de l'angle   situé
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre   à la distance   de l’atome d'oxygène, soit numériquement,
     Exemple de construction on détermine d'abord l'isobarycentre   à la distance   en   ou  , puis
     Exemple de construction on détermine le barycentre   des deux points pondérés  ,   étant sur la bissectrice de l'angle  
     Exemple de construction on détermine le barycentre   des deux points pondérés  ,   étant tel que  [14],
     Exemple de construction on détermine le barycentre   des deux points pondérés  ,   étant à la distance   en   soit  .

Isobarycentre d'un système de trois points non alignés, conséquence sur la propriété des médianes d'un triangle quelconque

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     On parle d'« isobarycentre d'un système de trois points » quand les cœfficients qui leur sont affectés sont égaux ou si tous les cœfficients sont égaux à  .

 
Schéma d'un triangle   quelconque avec tracé des trois médianes   issue de  ,   issue de   et   issue de  , propriété de concours de ces trois médianes en   appelé centre de gravité du triangle

     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points   peut se déterminer en faisant intervenir l'un des trois isobarycentres partiels
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points    dans ce qui suit les trois points sont non alignés de façon à former un triangle  :
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  utiliser l'isobarycentre partiel du système   qui est   milieu du segment  [13] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  en déduire   comme barycentre du système des deux points   donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  en déduire   tel que   établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  en déduire   se trouve sur la médiane   au   de la longueur de la médiane à partir de   ou
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  utiliser l'isobarycentre partiel du système   qui est   milieu du segment  [13] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  en déduire   comme barycentre du système des deux points   donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  en déduire   tel que   établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  en déduire   se trouve sur la médiane   au   de la longueur de la médiane à partir de   ou enfin
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  utiliser l'isobarycentre partiel du système   qui est   milieu du segment  [13] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  en déduire   comme barycentre du système des deux points   donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  en déduire   tel que   établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de trois points  en déduire   se trouve sur la médiane   au   de la longueur de la médiane à partir de   ;

     Propriété : on en déduit que les trois médianes d'un triangle quelconque sont concourantes, le point de concours  , appelé « centre de gravité du triangle »,
     Propriété : on en déduit que les trois médianes d'un triangle quelconque sont concourantes, le point de concours  , étant, sur chaque médiane, au   de sa longueur à partir du sommet ;

     Propriété : le centre de gravité   du triangle   est donc défini par « »,
     Propriété : le centre de gravité   son vecteur position relativement à un point   quelconque étant « » [15].

Barycentre de n points

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     On généralise la notion de barycentre à un système de n points pondérés,  [16]  

Définition du barycentre d'un système de n points pondérés

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     Soit le système de   points pondérés  , les cœfficients affectés aux points étant tous  , on appelle
     Soit le barycentre de ce système de n points pondérés le point   tel que « ».

     Condition d'existence et d'unicité : On admet qu'une C.N. [3] d'existence du barycentre du système   est « » et
     Condition d'existence et d'unicité : On admet que sous cette condition on obtient une solution unique.

Notion d'espace affine de direction l'espace vectoriel associé

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     Étant donné un espace vectoriel   sur le corps des réels   on appelle
     Étant donné un espace affine   de direction   l'ensemble non vide muni d'une application   qui, à chaque bipoint   de   associe un élément de   noté  
     Étant donné un espace affine   de direction   l'ensemble non vide muni d'une application   vérifiant les deux propriétés suivantes :
     Étant donné un espace affine   de direction   l'ensemble non vide muni d'une application   vérifiant  « , la relation de Chasles [2]  
          Étant donné un espace affine   de direction   l'ensemble non vide muni d'une application   vérifiant  « , la relation de Chasles s'applique dans  » et
     Étant donné un espace affine   de direction   l'ensemble non vide muni d'une application   vérifiant  « ,  , il existe un translaté unique de   par  » c.-à-d.
     Étant donné un espace affine   de direction   l'ensemble non vide muni d'une application   vérifiant  « ,  , «  tel que  » [17].

     On définit la dimension de l'espace affine   par celle de l'espace vectoriel   qui lui est associé ;

     exemples : espace affine de dimension   encore appelé « droite affine » dont la direction est l'espace vectoriel généré par un vecteur   ;

     exemples : espace affine de dimension   encore appelé « plan affine » dont la direction est l'espace vectoriel généré par   deux vecteurs non colinéaires ;

     exemples : espace affine de dimension  [18] dont la direction est l'espace vectoriel généré par   trois vecteurs non coplanaires ;

     exemples : espace affine de dimension   dont la direction est l'espace vectoriel généré par  ,   formant une famille libre [19],
     exemples : espace affine de dimension    non concevable par notre cerveau dont l'imaginaire ne peut représenter que trois dimensions au maximum [20] .

     Propriété : si on fixe un point origine   dans l'espace affine  , il existe une application   de   dans sa direction  
     Propriété : si on fixe un point origine   dans l'espace affine  , il existe une application   qui, à tout point   de   associe le vecteur   ; cette application   est alors bijective [21].

Isobarycentre d'un système de quatre points non coplanaires, conséquence sur la propriété des médianes d'un tétraèdre quelconque

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     On parle d'« isobarycentre d'un système de quatre points » quand les cœfficients qui leur sont affectés sont égaux ou si tous les cœfficients sont égaux à  .

 
Schéma d'un tétraèdre   quelconque avec tracé de trois des quatre médianes   issue de  ,   issue de  ,   issue de     issue de   n'ayant pas été tracée pour ne pas surcharger , propriété de concours de ces quatre médianes en   appelé centre de gravité du tétraèdre

     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points peut se déterminer en faisant intervenir l'un des quatre isobarycentres partiels
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  dans ce qui suit les quatre points sont non coplanaires [22] de façon à former un tétraèdre  :
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  utiliser l'isobarycentre partiel   du système  ,
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points    étant le centre de gravité de la face  [23] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   comme barycentre du système   donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   tel que   établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   se trouve sur la médiane  [24]
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   se trouve au   de la longueur de la médiane à partir de   ou
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  utiliser l'isobarycentre partiel   du système  ,
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points    étant le centre de gravité de la face  [23] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   comme barycentre du système   donc
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   tel que   établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   se trouve sur la médiane  [24]
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   se trouve au   de la longueur de la médiane à partir de   ou
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  utiliser l'isobarycentre partiel   du système  ,
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points    étant le centre de gravité de la face  [23] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   comme barycentre du système   donc tel que   établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   se trouve sur la médiane  [24] au   de la longueur de la médiane à partir de   ou enfin
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  utiliser l'isobarycentre partiel   du système  ,   étant le centre de gravité de la face  [23] puis
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   comme barycentre du système   donc tel que   établissant que
     Propriété : l'isobarycentre du système de quatre points  en déduire   se trouve sur la médiane  [24] au   de la longueur de la médiane à partir de   ;

     Propriété : on en déduit que les quatre médianes d'un tétraèdre quelconque sont concourantes, le point de concours  , appelé « centre de gravité du tétraèdre »,
     Propriété : on en déduit que les quatre médianes d'un tétraèdre quelconque sont concourantes, le point de concours  , étant, sur chaque médiane, au   de sa longueur à partir du sommet ;

     Propriété : le centre de gravité   du tétraèdre   est donc défini selon la relation « »,
     Propriété : le centre de gravité   son vecteur position relativement à un point   quelconque étant « » [25].

Notion de fonction vectorielle de Leibniz

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     On se place dans un espace affine   de direction l'espace vectoriel   tous deux de dimension   ;

     soient   une famille de   points de   et   une famille de   scalaires réels, on appelle

fonction vectorielle de Leibniz [26] associée au système de   points pondérés   de l'espace affine  ,
« l'application   de   dans   qui, au point   associe le vecteur  ».

     Propriétés : si  , la fonction vectorielle de Leibniz [26] associée au système de   points pondérés   de l'espace affine  
           Propriétés : si  , la fonction vectorielle de Leibniz s'annule pour un unique point   définissant le barycentre du système des   points pondérés   ;

en conclusion « si  », «  tel que  » ;

     Propriétés : « si  », la fonction vectorielle de Leibniz [26] associée au système de   points pondérés   de l'espace affine  
           Propriétés : « si  », la fonction vectorielle de Leibniz peut être simplifiée en utilisant le barycentre   du système des   points pondérés  
           Propriétés : « si  », la fonction vectorielle de Leibniz peut être simplifiée selon « » ;

     Propriétés : « si  », avec   choisi comme origine du vecteur position du barycentre   du système des   points pondérés  , on obtient

« ».

     Remarque : « si  », on démontre que la fonction vectorielle de Leibniz [26] associée au système de   points pondérés de l'espace affine   à savoir  
           Remarque : « si  », on démontre que la fonction vectorielle de Leibniz est constante ;
     Remarque : « si  », « avec  » la constante s'écrit «  avec   le barycentre du système des   points pondérés autres que  »,
Remarque : « si  », en effet si  , « la somme   se réécrit  »   « l'existence et l'unicité du barycentre   des   points pondérés
Remarque : « si  », en effet si  , « la somme   se réécrit  »   « l'existence et l'unicité du barycentre   des  » soit
Remarque : « si  », en effet si  , « la somme   se réécrit  »   « » ou encore
Remarque : « si  », en effet si  , « la somme   se réécrit  »   « » que l'on reporte dans la définition de
Remarque : « si  », en effet si  , « la somme   se réécrit  »   « » la fonction vectorielle de Leibniz [26]
     Remarque : « si  », « avec  » la constante s'écrit « » soit, par utilisation de la relation de Chasles [2]
     Remarque : « si  », « avec  » la constante s'écrit « » C.Q.F.D. [27].

Utilisation de la notion de barycentre à la détermination de lieu de points défini par une relation scalaire particulière

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Lieu des points M tel que le rapport des distances à deux points distincts d'un espace affine euclidien à trois dimensions soit égal à un réel positif différent de un

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     Espace vectoriel euclidien : un espace vectoriel est dit « euclidien » si on définit sur lui un produit scalaire de deux vecteurs [28].

     Espace affine euclidien : un espace affine est dit « euclidien » si l'espace vectoriel direction de l'espace affine est « euclidien »,
     Espace affine euclidien : un espace affine est dit « euclidien » la conséquence étant la possibilité de mesurer distances et angles dans l'espace affine « euclidien » ;

     Espace affine euclidien : la distance entre deux points de l'espace affine « euclidien »   de direction l'espace vectoriel   est l'application   de   dans   défini par

« » ;

     Espace affine euclidien : l'angle entre deux bipoints de l'espace affine « euclidien »   de direction l'espace vectoriel   est l'application   de   dans  [29] défini par

« » [30].

     Problème posé : Trouver le lieu des points   de l'espace affine « euclidien » de dimension   tel que,   étant deux points distincts de cet espace,
     Problème posé : Trouver le lieu des points   de l'espace affine « euclidien » de dimension   tel que, le rapport des distances séparant   de chacun des points est un réel  ,  , ou
     Problème posé : Trouver le lieu des points   de l'espace affine « euclidien » de dimension   tel que « » [31].

     Solution : La relation de définition de   étant «  avec  »,   et  ,
     Solution : La relation de définition de   peut se réécrire « » ou encore « » soit finalement
     Solution : La relation de définition de   peut se réécrire « » [32] ;

     Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles « » en utilisant respectivement les barycentres   du système des deux points pondérés  ,
        Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles « » en utilisant respectivement chaque barycentre existant et étant unique car
        Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles « » en utilisant respectivement la somme des cœfficients affectant les points de chacun des systèmes est non nulle [33]
Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectoriellessoit « »
        Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles ce qui permet de réécrire la relation de définition du lieu cherché des points   selon « » ou,
        Solution : on réalise alors la réduction des sommes vectorielles ce qui permet de réécrire avec  , « » soit enfin

« le lieu des points   tel que   est la sphère de diamètre  » où
«  est le barycentre du système  » et «  celui du système  ».

Notion de fonction scalaire de Leibniz

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     On se place dans un espace affine euclidien   de direction l'espace vectoriel euclidien   tous deux de dimension   ;

     soient   une famille de   points de   et   une famille de   scalaires réels, on appelle

fonction scalaire de Leibniz [26] associée au système de   points pondérés   de l'espace affine euclidien  ,
« l'application   de   dans   qui, au point   associe le scalaire  ».

     Propriétés : « si  », la fonction scalaire de Leibniz [26] associée au système de   points pondérés   de l'espace affine euclidien  
           Propriétés : « si  », la fonction scalaire de Leibniz peut être réduite, en utilisant   le barycentre du système des n points pondérés  , selon
           Propriétés : « si  », la fonction scalaire de Leibniz peut être réduite, « » [34] ;

     Propriétés : « si  », en effet, par relation de Chasles [2],       soit,
          Propriétés : « si  », en effet, en reportant dans la relation de définition de la fonction scalaire de Leibniz [26] et
          Propriétés : « si  », en effet, en factorisant dans les produits de scalaires et les produits scalaires de vecteurs [35]
          Propriétés : « si  », en effet, « » ou,
          Propriétés : « si  », en effet, par définition «  du barycentre   du système des   points pondérés  » [36],
          Propriétés : « si  », en effet, la fonction scalaire de Leibniz [26] se réécrit « » ;

     Propriétés : « si  », avec   choisi comme origine du vecteur position du barycentre   du système des   points pondérés  , on obtient

« ».

     Remarque : « si  », ayant admis que la fonction vectorielle de Leibniz [26]   associée au système de   points pondérés de l'espace affine euclidien   à savoir
                     Remarque : « si  », ayant admis que la fonction vectorielle de Leibniz   associée à   est constante s'écrivant, « si  » [37],
                Remarque : « si  », ayant admis que la fonction vectorielle de Leibniz «  avec   le barycentre du système des   points pondérés autres que  » [38] soit
          Remarque : « si  », la réduction de la fonction scalaire de Leibniz [26] selon « » avec   point arbitrairement fixé ;

          Remarque : « si  », en effet « si   avec  »,       l'existence et l'unicité du barycentre   des   points pondérés autres que   ;

          Remarque : « si  », en effet « si     étant un point de   choisi arbitrairement, l'utilisation de la relation de Chasles [2] conduisant à   donne,
          Remarque : « si  », en effet « si   en reportant dans la définition de la fonction scalaire de Leibniz [26] avec    
          Remarque : « si  », en effet « si   « » obtenue
          Remarque : « si  », en effet « si   en factorisant dans les produits de scalaires et les produits scalaires de vecteurs [35] et en utilisant la nullité de la somme des cœfficients, ou encore,
          Remarque : « si  », en effet « si   « » où « [39] dans la mesure où  » C.Q.F.D. [27].

Prolongement de la notion de barycentre à un système continu de points pondérés

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     On considère maintenant un système continu de points en chacun desquels est affectée une densité de cœfficient continue par morceaux,
   On considère maintenant un système continu ces points décrivant une courbe, une surface ou une expansion tridimensionnelle continues dans un espace affine euclidien à trois dimensions
   On considère maintenant un système continu ces points décrivant une courbe, une surface ou une expansion tridimensionnelle continues dans un espace affine dans lequel est définie l'intégrabilité.

Barycentre d'un système continu de points décrivant une courbe continue en chacun desquels est affectée une densité linéique de cœfficient continue par morceaux

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     Soit une courbe continue   de point générique   affecté d'une densité linéique de cœfficient   continue par morceaux, on y définit
     Soit le barycentre   de ce système de points   par « » [40]  est l'abscisse curviligne du point générique sur  [41] ;

     on établit [42] que la condition d'existence et d'unicité du barycentre   du système de points   est « » [40] ;

     on démontre aussi [42] que le vecteur position du barycentre   du système de points   avec   point quelconque de l'espace affine euclidien à trois dimensions
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre   du système de points   avec   point quelconque de l'espace affine dans lequel est définie la courbe  
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre   du système de points   s'écrit « » [40].

Barycentre d'un système continu de points décrivant une surface continue en chacun desquels est affectée une densité surfacique de cœfficient continue par morceaux

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     Soit une surface continue   de point générique   affecté d'une densité surfacique de cœfficient   continue par morceaux, on y définit
     Soit le barycentre   de ce système de points   par « » [43]  est l'aire élémentaire définie au point générique sur  [44] ;

     on établit [42] que la condition d'existence et d'unicité du barycentre   du système de points   est « » [43] ;

     on démontre aussi [42] que le vecteur position du barycentre   du système de points   avec   point quelconque de l'espace affine euclidien à trois dimensions
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre   du système de points   avec   point quelconque de l'espace affine dans lequel est définie la surface  
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre   du système de points   s'écrit « » [43].

Barycentre d'un système continu de points décrivant une expansion tridimensionnelle continue en chacun desquels est affectée une densité volumique de cœfficient continue par morceaux

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     Soit une expansion tridimensionnelle continue   de point générique   affecté d'une densité volumique de cœfficient   continue par morceaux, on y définit
     Soit le barycentre   de ce système de points   par « » [45]  est le volume élémentaire défini au point générique dans  [46] ;

     on établit [42] que la condition d'existence et d'unicité du barycentre   du système de points   est « » [45] ;

     on démontre aussi [42] que le vecteur position du barycentre   du système de points   avec   point quelconque de l'espace affine euclidien à trois dimensions
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre   du système de points   avec   point quelconque de l'espace affine dans lequel est définie l'expansion  
           on démontre aussi que le vecteur position du barycentre   du système de points   s'écrit « » [45].

Notes et références

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  1. Si les points sont étudiés dans le cadre gravitationnel à une échelle où les atomes sont considérés comme insécables, la grandeur en question va être la masse du point effectivement additive  ce qui cesserait d'être le cas à l'intérieur d'un atome à cause de la conversion masse énergie  ;
       si les points sont étudiés dans le cadre électrostatique, la grandeur en question va être la charge du point effectivement additive  
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 et 2,7 Michel Chasles (1793 - 1880) mathématicien français à qui on doit d'importants travaux en géométrie projective ainsi qu'en analyse harmonique ; la relation dite de Chasles, connue depuis très longtemps, porte son nom pour lui rendre hommage.
  3. 3,0 3,1 et 3,2 Condition Nécessaire.
  4. 4,0 et 4,1 Ceci est une extension de la définition du barycentre qu'a priori nous n'utiliserons pas.
  5. 5,0 et 5,1 Voir le paragraphe « définition du barycentre d'un système de deux points pondérés » plus haut dans ce chapitre.
  6. Cette propriété est encore connue sous le nom de « réduction de somme vectorielle » : pour tout point   de l'espace la somme   se réduit à l'aide du barycentre   du système   en  .
  7. 7,0 et 7,1 Thalès de Milet (vers -625, -547) philosophe et savant grec n'ayant apparemment rien écrit mais qui fut néanmoins l'auteur de nombreuses recherches en mathématiques dont le théorème portant son nom.
  8. Voir le paragraphe « définition du barycentre d'un système de trois points pondérés » plus haut dans ce chapitre.
  9. Cette propriété est encore connue sous le nom de « réduction de somme vectorielle » : pour tout point   de l'espace la somme   se réduit à l'aide du barycentre   du système   en  .
  10. 10,0 et 10,1 Nombre de masse d'un atome : nombre de nucléons que contient ce dernier.
  11. Mais ils sont bien entendu identiques.
  12. Un angström   étant un sous-multiple de l'unité de longueur du S.I. bien adapté aux distances atomiques  Anders Jonas Ångström (1814 - 1874) astronome et physicien suédois qui fut l'un des fondateurs de la spectroscopie et l'un des pionniers dans l'étude des spectres, il découvrit la présence d'hydrogène dans le spectre solaire en  , pour lui rendre hommage on donna son nom à une unité de longueur précisant l'ordre de grandeur dans les distances atomiques .
  13. 13,0 13,1 13,2 et 13,3 Voir le paragraphe « isobarycentre d'un système de deux points » plus haut dans ce chapitre.
  14. Voir le paragraphe « vecteur position du barycentre du système de deux points pondérés » plus haut dans ce chapitre.
  15. Si on particularise   par exemple en   on en déduit   en accord avec la réduction de la somme vectorielle     traduisant que   est l'isobarycentre partiel de  .
  16. C.-à-d. au moins  .
  17. L'application qui, à un point   de l'espace affine  , associe son translaté   par un vecteur   est appelé « translation de vecteur  ».
  18. Représentant l'« espace affine de la physique newtonienne à trois degrés de liberté ».
  19. On rappelle qu'un ensemble de vecteurs   forme une famille libre si  .
  20. La seule façon de concevoir un espace affine de dimension   est d'imaginer les quatre sous espaces affines de dimension   de direction l'un des quatre sous espaces vectoriels de dimension   généré par   ou   ou   ou  .
  21. On rappelle qu'une application est bijective ssi tout élément de son ensemble d'arrivée a un et un seul antécédent.
  22. Le caractère « non coplanaire » des quatre points implique que l'espace affine dans lequel baignent ces quatre points est de dimension  , on dit, dans ces conditions, que cet espace affine de dimension   est généré par les quatre points non coplanaires, ceci se justifiant par le fait que l'ensemble de tous les barycentres de ces quatre points affectés de cœfficient quelconque génère l'espace affine ;
       dans le cas où les quatre points seraient coplanaires sans être alignés, ils généreraient un espace affine de dimension  , ceci se justifiant par le fait que l'ensemble de tous les barycentres de ces quatre points coplanaires mais non alignés affectés de cœfficient quelconque constitue l'espace affine de dimension   ;
       dans le cas où les quatre points seraient alignés, ils généreraient un espace affine de dimension  , ceci se justifiant par le fait que l'ensemble de tous les barycentres de ces quatre points alignés affectés de cœfficient quelconque constitue l'espace affine de dimension  .
  23. 23,0 23,1 23,2 et 23,3 Voir le paragraphe « isobarycentre d'un système de trois points non alignés, conséquence sur la propriété des médianes d'un triangle quelconque » plus haut dans ce chapitre.
  24. 24,0 24,1 24,2 et 24,3 On appelle « médiane d'un tétraèdre » tout segment joignant un sommet quelconque au centre de gravité de la face opposée à ce sommet ; il y a donc quatre médianes dans un tétraèdre quelconque.
  25. Si on particularise   par exemple en   on en déduit   en accord avec la réduction de la somme vectorielle     traduisant que   est l'isobarycentre partiel de  .
  26. 26,00 26,01 26,02 26,03 26,04 26,05 26,06 26,07 26,08 26,09 26,10 et 26,11 Gottfried Wilhelm Leibniz (1646 - 1716) entre autres philosophe, scientifique, mathématicien allemand dont la contribution principale, dans le domaine mathématique, est l'invention du calcul infinitésimal  calcul différentiel et calcul intégral  dont la paternité doit être partagée avec Isaac Newton (1643 - 1727) philosophe, mathématicien, physicien et astronome britannique, surtout connu pour avoir fondé la mécanique classique et avoir développé le calcul infinitésimal, les deux mathématiciens l'ayant en fait développé plus ou moins indépendamment.
  27. 27,0 et 27,1 Ce Qu'il Fallait Démontrer.
  28. Voir le paragraphe « définition intrinsèque du produit scalaire de deux vecteurs » du chap.  de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  29. L'angle introduit étant non algébrisé.
  30. Voir le paragraphe « fonction inverse de la fonction cosinus : fonction arccosinus » du chap.  de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  31. Le cas   est exclu car la méthode de résolution qui va être envisagée nécessite   d'une part et d'autre part le lieu des points   tel que   est connu, c'est, par définition, le plan médiateur du segment  .
  32. On étend l'identité   définie dans   muni de la multiplication scalaire à l'espace vectoriel « euclidien »    donc muni de la multiplication scalaire entre vecteurs car « euclidien »  selon   pour tout  .
  33.   étant   et  ,  .
  34. Dans le cas où  , cette réduction est à comparer à celle de la fonction vectorielle de Leibniz     de même forme à l'exception du fait que la fonction vectorielle de Leibniz au point   y est nulle par définition du barycentre du système de points pondérés.
  35. 35,0 et 35,1 La factorisation dans une somme de produits scalaires de vecteurs est l'opération inverse de la distributivité de la multiplication scalaire relativement à l'addition vectorielle, voir le paragraphe « autres propriétés (2ème propriété de la multiplication scalaire) » du chap.  de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  36. Voir le paragraphe « définition du barycentre d'un système de n points pondérés » plus haut dans ce chapitre.
  37. Si le cœfficient non nul était   il suffirait de remplacer l'indice   par l'indice  .
  38. Voir le paragraphe « notion de fonction vectorielle dans le cas où  » plus haut dans le chapitre.
  39. Voir le paragraphe « notion de fonction vectorielle de Leibniz (remarque) » plus haut dans ce chapitre.
  40. 40,0 40,1 et 40,2 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales curvilignes sur une portion de courbe continue » du chap.  de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  41. Voir le paragraphe « abscisse curviligne d'un point sur une courbe continue » du chap.  de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  42. 42,0 42,1 42,2 42,3 42,4 et 42,5 Mais nous ne le ferons pas.
  43. 43,0 43,1 et 43,2 Voir le paragraphe « les deux types d'intégrales surfaciques et les grandes lignes de la méthode d'évaluation » du chap.  de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  44. Voir le paragraphe « pratique courante définissant l'aire élémentaire en un point d'une surface » du chap.  de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  45. 45,0 45,1 et 45,2 Voir le paragraphe « les deus types d'intégrales volumiques » du chap.  de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».
  46. Voir le paragraphe « pratique courante définissant le volume élémentaire en un point d'une expansion tridimensionnelle » du chap.  de la leçon « Outils mathématiques pour la physique (PCSI) ».